Texte De Hegel état De Nature

qu'on a pu collecter : grandes batailles, nombre de maîtresses du monarque, traités internationaux, heures des repas… Bien entendu, un tel catalogue non seulement ne saurait être exhaustif, mais n'aurait aucun sens. 2) L'histoire : un récit. Hegel( Hegel, La raison dans l'histoire, plon, coll 10/18) distingue trois façons d'écrire l'histoire. Il appelle la première « histoire originale » : « L'historien compose en un tout ce qui appartient au passé, ce qui est éparpillé dans le souvenir subjectif

« Peut-il exister des désirs naturels ? » Le sujet conduit à se demander quelle est la nature même du désir et à s'interroger sur la possibilité de désirs naturels pour mettre en évidence le rapport entre le désir et la connaissance. En soi, le désir est ce qui nous pousse vers une chose, un acte ou une personne. Mais il faut bien différencier le désir du besoin qui lui, est une nécessité de notre nature. Le désir relève de la quête de plaisir, perpétuellement insatisfaite puisqu'il s'agit de

rend-t-elle l'homme libre ?" HEGEL dit de l'homme qu'il "est un animal, et il le sait. Mais du fait qu'il le sait , il ne l'est plus" ainsi, la conscience, qui peut être justement vue comme cette chose qui sait qu'elle est, qui permet à l'homme de se représenter le monde, mais aussi d'agir sur ce dernier est donc que qui définit l'homme car il est le seul à la posséder. La conscience serait donc le propre de l'homme , et cette différence que met en lumière HEGEL entre l'homme et l'animal, est par

Rousseau. Pour les théoriciens du contrat social, l’Etat civil est l’émanation de la volonté humaine. Les hommes s’engagent les uns vis à vis des autres sur deux points fondamentaux : 1) sur la formation d’un Etat, chacun considérant qu’il est ds l’intérêt de tout un chacun de sortir de l’état de nature et de se donner une structure politique 2) les hommes s’engagent sur les principes de justice. De ce point de vue deux possibilités fondamentales se dessinent : soit l’option libérale, admettre un minimum

I - LES TERMES DU SUJET Le texte d'ALAIN ne comporte pas de concepts techniques ni spécifiquement philosophiques. ALAIN réfléchit ici sur l'idée d'opinion publique. Le candidat aura dû chercher à définir cette idée à son tour. II - ANALYSE DU PROBLEME La problématique s'élabore à partir de la notion d'opinion publique. Celle-ci est-elle l'opinion de tous les citoyens? D'une majorité d'entre eux ? Quel est donc le "public" qui serait l'auteur d'une opinion générale ? Il serait utile dans

pragmatique qui est de se faire comprendre, mais il exclu alors la fonction de décrire la réalité. Les sentiments ressenti pas un sujet sont nuancés, uniques et singuliers. Les sentiment s'exprime de manière impersonnelle «  nous n'apercevons de notre état d'âme que son déploiement extérieur. Nous ne saisissons de nos sentiments que leur aspect impersonnel». L'amour par exemple peut être plus ou moins intense et il est relatif aux contexte, aux souvenirs et à l'histoire du sujet. Il est impossible de

direction (la flèche du temps). Et pour que naisse l’histoire, non plus comme simple étude du passé mais comme conception d’un devenir orienté de l’humanité, un autre élément est encore nécessaire : la position d’une fin, i.e. la représentation d’un état vers lequel l’humanité s’acheminerait. C’est le Christianisme qui va fournir la matrice de l‘Histoire. En effet, il propose une conception du devenir de l’humanité marquée par un début : la Genèse. Vient ensuite le christ , qui révèle la fin dernière :

pouvoir. Il faut aussi un système militaire, diplomatique pour assurer les relations avec les autres (pouvoir politique qui organise l’interne et l’externe). Le droit et la politique = conditions de vie sociale. La différence est de degré plutôt que de nature. L’ordre interne a besoin de rapport de force (violence). L’externe est codé. Mondialisation : sens historique : toute société fait tjrs partie d’un champ historique politique plus large avec lequel elle fait système. Donc toute société fait partie

liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une obligation morale : 1) Obligation, contrainte ou effet de la volonté ? 2) Les critiques du devoir : INTRODUCTION : Le droit occupe dans

emprisonnement, la philosophie l'a fort bien vu, c'est qu'il est l'œuvre du désir, en sorte que c'est le prisonnier lui-même qui contribue le plus à serrer ses liens. Les amis de la science savent, dis je ( I ), que la philosophie, qui a pris leur âme en cet état, I'encourage doucement, s'efforce de la délivrer, en lui montrant que, dans l'étude des réalités, le témoignage des yeux est plein d'illusions, plein d'illusions aussi celui des oreilles et des autres sens, en l'engageant à se séparer d'eux, tant qu'elle