Texte De Husserl Verite Scientifique

(l’homme qui sait) mais dans un second temps. L’utilisation de la technique est nécessaire à la survie de l’homme tandis que la connaissance scientifique peut largement patienter. ex. Si on revient au temps du Paléolithique, les hommes avaient besoin de la technique afin de créer des outils par le travail et donc pour se nourrir  ; certes les connaissances scientifiques telles que la médecine aurait pu servir, mais le plus important à ce moment- là était de se nourrir. Cependant, certaines techniques

fabuleuses(1) qui fournissent les archétypes(2) et qui sont la base de notre vision du monde qui justifiait des phénomènes naturels en mettant en scène des dieux, des éléments surnaturels; jusqu'à ce que, progressivement, la philosophie et le raisonnement scientifique (vraiment apparus en Grèce avec les trois Milésiens(3) au début du VIe siècle avant notre ère) soient privilégiés pour leur plus grande crédibilité(4) et fiabilité(5). En effet La philosophie étant vue comme la plus prestigieuse des disciplines(6)

irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec autrui que le sujet peut sortir de sa subjectivité. Risque de solipsisme (certain de son existence mais doutant de la réalité du reste du monde)  LA CONSCIENCE Prendre

de ce genre d’invention style et écriture apparaissent comme des solutions (datées). * Je tiens à remercier Jean-Louis Chiss, Marie-Pierre Gaviano et Pascal Michon pour leurs observations critiques et leurs suggestions sur un premier état de ce texte. 1 Tractacus logico-philosophicus, 4.0031, traduction, préambule et notes de G.-G. Granger, Paris, Gallimard, coll. Bibliothèque de philosophie, (1922) 1993, p. 51. 2 Gilles Deleuze & Claire Parnet, Dialogues, Paris, Champs/Flammarion, 1996, p. 7.

séparation entre l’âme et le corps pour comprendre comment sa mort, ce qui implique deux possibilités : -soit qu’il y est une survie de l’âme après la destruction. -soit qu’il y est une vie antérieure à la vie du philosophe. Alors on travail dans un texte de Platon, « Phèdre », on y trouve un extrait « la procession des âmes ailées ». L’idée va être de nous donner un mythe afin de nous expliquer Mythe Mort comme destruction (la mort réelle) Mort comme déliaison (pensées / qui tente de séparer

de Denis Moreau, Le Livre de Poche, 2000 Descartes, Discours de la méthode, édition et commentaire d’Etienne Gilson, Vrin, 1925 (nouvelle éd. abrégée, 1987) Descartes, Méditations métaphysiques ; Meditationes de prima philosophia, texte latin et traduction du duc de Luynes revue par Descartes, présentation et nouvelle traduction (en regard) par Michelle Beyssade, Le Livre de Poche, 1990 Descartes, Méditations métaphysiques ; Objections et réponses, suivies de quatre lettres

· Thèse : vérité comme construction culturel et évolution dans le temps avec lequel les Grecs entretenaient des rapports ambivalents. Dimension mythique. · Résumé des grandes étapes de l’ouvrage · Enjeux : cet ouvrage ébranle nos plus intimes convictions et nous invite à réfléchir sur notre conception de la vérité, des vérités. · Nature :

qui énonce une vérité de fait, sans la poser comme nécessaire (par opposition à jugement apodictique). ataraxie (grec ataraxia, absence de troubles)  nom féminin PHILOSOPHIE Quiétude absolue de l'âme (principe du bonheur selon l'épicurisme et le stoïcisme). athanor (arabe al-tannûr, le four)  nom masculin Fourneau d'alchimiste. atman [atman] (mot sanskrit)  nom masculin Dans l'hindouisme, souffle vital, âme, personne axiome (grec axiôma, estimation)  nom masculin 1. Vérité non démontrable

depuis l'Antiquité en Occident et se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine, ou encore comme un savoir systématique. Différents buts peuvent lui être attribués, de la recherche de la vérité, et de la méditation sur le bien et le beau, à celle du sens de la vie, et du bonheur, mais elle consiste plus largement dans l'exercice systématique de la pensée et de la réflexion. Ancrée dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, la

ils ne sont pas dans la réalité sensible. Cependant, les rêves font partie du réel et marquent la mémoire autant que des situations perçues par les sens. Par conséquent, les rêves sont des phénomènes réels en dehors de la réalité sensible. Dans son texte intitulé L'allégorie de la caverne, Platon nous fait part de ses opinions sur le réel et ses représentations. Il croit fermement que les idées représentent la vraie réalité, et que le monde sensoriel serait une espèce d'illusion.Nous allons désormais