The Libertines

et la morale chrétienne sont présentes. 
La pièce Dom Juan est une pièce qui s’oppose aux règles du théâtre  où il n’y a pas d’unité de lieu, d’action et de temps. Il met en scène du merveilleux et du fantastique avec comme personnage principal un libertin qui s’oppose à la religion. Le DON JUAN de Molière n'est pas qu'un séducteur, c'est un révolté qui renie tous les codes moraux et sociaux               Il faut savoir qu'en France, le 17 eme siècle est parcourue pas deux mouvement intellectuel et

pensées, les actions et les désirs intimes de chaque personnage. Ces lettres montrent la conquête de deux jeunes femmes, la jeune Cécile de Volanges et de la pieuse Présidente de Tourvel , par deux libertins: la marquise de Merteuil et son acolyte, le vicomte de Valmont, deux manipulateurs et libertins. C’est un roman inscrit dans la tradition du libertinage de mœurs, mais aussi un roman d'analyse psychologique dans la lignée de Julie ou la Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau publié en 1761

lettre LXXXI (81), écrite par la marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont celle-ci se pose en rivale de son correspondant en matière de libertinage, ce qui est au centre des débats est en effet la séduction, les stratégies développées par les libertins et les systèmes de défense mis en jeu dans la partie adverse. Le choix d’un vocabulaire guerrier est d’ailleurs significatif du plan sur lequel se situe les opérations : il s’agit de combat, de domination, de victoire ou de défaite. A travers le

cet anarchisme moral par l'appel à la communauté des biens. Ces libertins le sont donc à la fois sur le plan intellectuel et sur le plan des moeurs. Le déviationnisme religieux se voit ainsi très tôt associé à la dépravation des comportements et à la promiscuité, voire même à des tendances anarchistes redoutables à l'ordre social.    Le sens s'élargissant rapidement, libertin et athée ne tardent pas à devenir synonymes: le libertin n'est plus seulement le membre d'une secte, mais tout esprit irréligieux

de cacher le plus longtemps possible son penchant pour le jeune homme. Lorsque dans une discussion sur les déclarations d'amour le jeune Meilcour affirme que ces dernières l'incommodent, la Marquise de Lursay en déduit qu'il en a une à lui faire. Libertine, elle s'amusera de l'embarras de Meilcour, tout en gardant le parfait contrôle d'elle-même. De son côté, Meilcour, est convaincu qu'il n'a aucune chance auprès de la marquise. Lors d'une sortie à l'opéra, Meilcour croise le regard d'une inconnue

(présentatif). Il fait miroter le louis d’or devant le pauvre : c’est l’utilisation d’un jeu cruel favorisé par la répétition 4 fois du verbe « jurer » comme le diable qui tente le Christ. L’aspect libertin est présent dans la scène : il utilise la séduction pour le pauvre mais avec d’autres armes. Le jeu de corruption montre la perversion du code de charité de DJ : il veut faire l’aumône pour corrompre son prochain.

DJ, un portrait en action d’un maitre présenté tel un libertin débauché 1)Le séducteur l’épouseur du genre humain, énumération, multiplications Il va à l’encontre des droits sociaux de son époque (désir : diabolique) : transgressions religieuses 2) Un impie Il défie les lois sociales ET divines.Il nie toutes les lois religieuses,se montre athée. Contexte de la contre-réforme catholique : imprégnation religieuse, au 17e ,libertin : ne réclamait aucune autorité étrangere,autre que sa propre

réfléchir à une notion philosophique comme la liberté dans Jacques le fataliste, de Diderot. Puis l'ensemble des romans mémoires qui sont des mémoires des personnages. L'auteur prétend raconter la vraie histoire d'un personnage. Enfin, on trouve le roman libertin avec Laclos, Les liaisons dangereuses. Manon Lescaut s'inscrit dans différents genres. Séance 2: Lecture analytique La rencontre amoureuse C'est en fait un récit dans le récit. Second portrait de Manon et début du récit de Des Grieux. Le

est-il question? Mélite: Il est question de vous dire qu'un homme qui me tient à cœur, et qu'entraîné par ses vieux démons, m’a trahis. Eraste : Tirsis ?J’ai eu grâce de ses sentiments. Mélite : Maudit soit-il ! J’ai toujours ouï dire que les libertins ne font jamais une bonne fin ! Je ne pourrai le supporter davantage! Son inconstance et sa vision de l’amour sont inconcevables ! Eraste : Eh bien! je vous donne la liberté de parler et de me dire vos sentiments à propos de ce scélérat ! Mélite

provoquer le pouvoir céleste. Tout se passe comme si Don Juan par ses provocations ne cherche qu’à obliger le ciel à se manifester. Sganarelle décrit son maître comme «un Hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Saint, Ni Dieu» (acte 1, scène 1). Le côté libertin du personnage de Don Juan est ici découvert. Il consiste en une pensée individuelle basée sur ses propres croyances et non celles de l’église. Durant la pièce on s’aperçoit que l’église n’est pas l’adversaire directe de Don Juan, mais plutôt la majorité