Théâtre de la Place des Martyrs

suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir, achevant les vieux vêtements du deuil de leur père. Elle, chétive pour ses vingt ans

Selon Bergson, le comique de répétition est "du mécanique plaqué sur du vivant" : cette définition s'applique bien à Orgon, qui ne réagit pas à ce que dit Dorine, mais à sa propre vision erronée de Tartuffe, qu'il prend pour une espèce de saint et de martyr. La compassion d'Orgon pour un Tartuffe qui apparaît toujours plus glouton et jouisseur est ainsi de plus en plus décalée et comique (d’autant que les souffrances d’Elmire semblent au contraire de plus en plus graves et réelles). La répétition de

le personnel du roman s’ organise donc par rapport à Nana , centrale et solaire , qui attire ou fait disparaitre dans son rayonnement des êtres fascinés par les apparitions ou les éclipses de ce nouvel astre dans l’ univers du spectacle et sur le théâtre du « monde ». Le texte qu’ on va étudier fait partie du chapitre six du roman. Nana va à la Mignotte , propriété de campagne achetée par son ami Steiner. Au début du chapitre , tous les hommes de son entourage y vont également , sous prétexte

une pièce de théâtre tragi-comique1 en vers (alexandrins essentiellement) de Pierre Corneille dont la première représentation eut lieu le 5 janvier 1637 au théâtre du Marais2. Selon une tradition peu convaincante3 rapportée par l'historien du théâtre Pierre-François Godard de Beauchamps, un conseiller à la Cour des Comtes de Rouen Rodrigue de Chalon, issu d'une famille espagnole, aurait initié Corneille à la langue et la littérature espagnoles et lui aurait suggéré la lecture d'une pièce de théâtre de Guillèn

(questionnaires organisés sous forme de plans) sur des passages clés de l’œuvre ; des groupements de textes qui éclairent le théâtre de Beaumarchais, la trilogie dramatique à laquelle appartient la pièce (avec Le Barbier de Séville et La Mère coupable) et le personnage de Figaro ; ainsi que différents supports consacrés à la mise en scène de Jean-Pierre Vincent au théâtre de Chaillot en 1987. Édition d’Antonia Zagamé. Texte intégral / Lycée général BARRIE PETER PAN -------------------------------

Préfecture rue Collège Fauriel rue r ue rue ot gn Cu pl. Jacquart T1 vers Hôpital Nord T2 vers Terrasse Praire Place Jean Jaurès 10 Braille rue on rth Be de Roc Centre ville Saint-Étienne r ue Cimetière du Crêt Tavernier rue Aubert in Co Le uzet Sa d Le tron on M rue Pa sse Louis de Synagogue rue all . Place J. Ploton 13 la le d‘Arco Se rue République rue Jea n d e la Fon tain e S im on éra tio n Lib Mi na rd

Golfe. Il s’agit d’un conflit presque classique opposant deux comunautés ethniques, dont l’une, les Serbes, refusent l’indépendance à la seconde, lesKosovars Albanais. Il faut donc se poser la question de savoir comment cette petite région a été le théatre d’autant d’intervention d’orgnisations internationales. Il faut aussi se poser la question des conséquences de ces interventions, en particulier celle de l’ONU, et leur repercussions sur la situation actuelle. Enfin, il faudra aborder la question

nous pencherons sur le symbole de l’intense sauvagerie qu’elle représente pour le XXème siècle et enfin, nous nous intéresserons au bilan de la guerre, du poids du souvenir et du deuil. I/ En quoi la 1ère guerre mondiale est-elle totale ? a) La place des femmes dans la guerre La Première Guerre mondiale bouleverse le quotidien des femmes françaises. Leurs conditions de vie sont dures en temps de guerre et leurs rôles dans la société évoluent avec le poids des circonstances et la mobilisation de

GREEN CHAPITRE IV La représentation de chose entre pulsion et langage* Il y a cent ans, Freud fut admis comme spectateur au théâtre des passions hystériques d'une Salpêtrière qui sentait alors le soufre, malgré la rigueur toute scientifique du magistère de Charcot. Dans le rapport qui rend compte de son séjour à Paris, il écrit : « Je subis l'attrait de cette personnalité et me résolus bientôt à ne fréquenter que ce seul hôpital et à ne suivre l'enseignement que de ce seul homme »1. Pourtant il

morts et de nombreux blessés parmi les grévistes. Le journaliste ouvrier August Spies et un des dirigeants locaux des Chevaliers du Travail, Albert Parsons, anarchistes tous les deux, convoquent un meeting de protestation le lendemain à 19h30 sur la place du marché aux foins, Haymarket Square. Le maire donne son autorisation et trois mille personnes se rassemblent pacifiquement. Mais l'orage menace. Alors que la réunion ne compte plus que quelques centaines de participants, un détachement de 180