Théâtre de la Place des Martyrs

  LA MAISON DE BERNARDA ALBA de Federico García Lorca mise en scène Carole Lorang PREMIÈRE EN FRANCE ©  2013  Mani  Müller     THÉÂTRE DES BOUFFES DU NORD 37 BIS, BOULEVARD DE LA CHAPELLE – 75010 PARIS / MÉTRO 2 LA CHAPELLE DU VENDREDI 7 AU SAMEDI 15 FÉVRIER 2014 DU MARDI AU SAMEDI À 20H30 RELÂCHE DIMANCHES ET LUNDIS réservation 01 46 07 34 50 (du lundi au vendredi de 17h à 19h, le samedi de 14h à 19h) / www.bouffesdunord.com tarif plein 18 à 29€ / tarif réduit 14 à 25€ / tarif

eux-même sous contrôle du gouvernement quand même. C- Les habitants ont le sentiment d’appartenir à la romanité. Ce qui est lié à la romanisation. La romanisation : On distingue une romanisation institutionnelle et juridique ( c’est la mise en place de cadres juridiques , politiques romains dans les provinces.) Et on distingue une romanisation culturelle (changement de mode de vie et de pensée). Les 2 aspects sont imbriqués car pour devenir citoyen romain il faut présenter un mode de vie proche

à Rouen le 6 juin 1606. Son père était maître des eaux et forêts et sa mère, fille d'un avocat. Aîné de cinq frères et sœurs, il fait ses études au Collège des Jésuites de Rouen. Il y découvre la rhétorique latine, les héros de l'Antiquité et le théâtre. Il devient avocat en 1628, non par vocation mais pour faire plaisir à son père, qui lui achète deux modestes charges dont il s’occupera jusqu'en 1651. Trop timide pour plaider, il préférera très vite s'orienter vers une carrière poétique et dramatique

Siècle d’Or » pour la littérature de cette période), en particulier pour la poésie et le théâtre. Calderón est l’un des dramaturges les plus connus de cette période ; on peut citer aussi les noms de Lope de Vega et Tirso de Molina (ce dernier est l’auteur d’une pièce intitulée El Burlador de Sevilla, soit « l’amuseur de Séville », dont le personnage principal est le modèle du Don Juan de Molière). Le théâtre de la Renaissance (en Espagne, mais aussi en France ou en Angleterre) revient fréquemment

1628 Son père lui achète deux modestes charges d'avocat. Timide et peu éloquent, Corneille renonce à plaider. 1629 Mélite, sa première création, est une comédie. Il la propose à une troupe d'acteurs itinérants, ceux qui fonderont plus tard le théâtre du Marais. Cette troupe présente la pièce à Paris. Cette comédie connaît un succès suffisant pour décider Corneille, qui n'a alors que 23 ans, à entreprendre une carrière théâtrale. De 1630 à 1636, Corneille écrit cinq nouvelles comédies et contribue

: des mouvements, des décors surchargés, des effets dramatiques, du spectaculaire. Les sujets représentés comme dans la peinture ou la sculpture sont souvent religieux (la Vierge, les saints, bibliques) et sont mis en scène spectaculairement : martyrs, extases, miracles. • Il peut être parfois pompeux, surchargé… Comme dans le Baroque tardif, le « Rococo ». • A partir de ces caractères communs, le Baroque s’est adapté aux pays dans lesquels il s’est imposé. Ses techniques : En particulier

état pourrait être renforcé par plusieurs actions, comme une chanson fredonnée au début, où un Hippolyte dessinant sur les murs ou mimant des situations. Concernant sa représentation scénique, nous avions évoqué ses similitudes avec la figure du martyr. Il serait intéressant d’appuyer cette dimension par un attribut religieux, tout en évitant les allusions au Christ, figure trop complexe et même contradictoire avec Hippolyte, le sacrifice de ce-dernier

------- Activité(s) Écrivain Naissance 19 décembre 1910 Paris, France Décès 15 avril 1986 Paris, France Langue d'écriture français Genre(s) roman, théâtre, poésie, essai Œuvres principales Le Condamné à mort (poésie, 1942) Notre-Dame-des-Fleurs (roman, 1944) Miracle de la rose (roman, 1946) Les Bonnes (théâtre, 1947). Querelle de Brest (roman, 1947) Journal du voleur (autobiographie, 1949) Jean Genet (Paris, 19 décembre 1910 - id., 15 avril 1986) est un écrivain

seule dans sa chambre laisse libre cours à ses sentiments et à sa rêverie dans un long monologue lyrique. Elle y révèle ses inquiétudes et donne en même temps des informations sur R.B et D.S. PROBLEMATIQUE : Quelles sont les fonctions de ce monologue, placé très tôt dans la pièce ? PLAN : Ce monologue est d’abord un monologue d’aveux, mais c’est aussi un autoportrait de la Reine qui tourne à un véritable portrait de R.B. I. Un aveu réticent La Reine, s’enfonçant dans sa rêverie, présente un aveu réticent :

dans la première partie du sixième chapitre d’Apocalypse dans lequel Jean décrit ce qu’il voit quand les sceaux sont ouverts l’un après l’autre. Dürer a placé cet enchaînement d’évènements sur une feuille. En premier, Jean voit un cheval blanc monté par un cavalier qui a une couronne sur sa tête. Il part comme vainqueur pour vaincre. Dürer a placé ce cavalier comme dernier sur l’image. Probablement pour suggérer qui il est déjà en route quand les autres cavaliers arrivent. Ce premier cavalier tient