Théâtre des Folies-Dramatiques

l’un des théoriciens de « l’art pour l’art », et le chef de file des "esthètes". Il est ainsi invité à donner une série de conférences aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris, où il écrit deux pièces de théâtre : la Duchesse de Padoue (1883), Véra ou les Nihilistes (1883). Il rencontre les principaux écrivains français de l’époque : Verlaine, Mallarmé, Zola, Daudet, et Hugo. De retour à Londres (1884), il épouse l’une de ses admiratrices, Constance Lloyd

risquer sur le théâtre des tentatives confiées jusqu'ici seulement au papier qui souffre tout; le public des livres est bien différent du public des spectacles, et l'on pouvait craindre de voir le second repousser ce que le premier avait accepté. Il n'en a rien été. Le principe de la liberté littéraire, déjà compris par le monde qui lit et qui médite, n'a pas été moins complètement adopté par cette immense foule, avide des pures émotions de l'art, qui inonde chaque soir les théâtres de Paris. Cette

l’un des théoriciens de « l’art pour l’art », et le chef de file des "esthètes". Il est ainsi invité à donner une série de conférences aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris, où il écrit deux pièces de théâtre : la Duchesse de Padoue (1883), Véra ou les Nihilistes (1883). Il rencontre les principaux écrivains français de l’époque : Verlaine, Mallarmé, Zola, Daudet, et Hugo. De retour à Londres (1884), il épouse l’une de ses admiratrices, Constance Lloyd

Biographies / Témoignages Chacun trouve son plaisir où il le prend. Licence : Domaine public 1 ... Jules Renard (1864-1910), membre de l'Académie Goncourt, auteur de romans (Ragotte), de nouvelles (Histoires naturelles) et de pièces de théâtre (Poil de Carotte, Le Pain de ménage), est particulièrement connu pour son « Journal », reflet de la vie littéraire et sociale de son époque. ... 2 - 1887 - Sans date. La phrase lourde, et comme chargée de fluides électriques de Baudelaire

trop différentes de celles du roman pour qu'on puisse raisonnablement penser qu’elle ait laissé quelque trace dans l'œuvre de fiction. Il faudrait donc plutôt remonter plus haut dans la vie de Prévost pour trouver la trace d’une relation amoureuse dramatique. Or, comme on l’a vu, en 1734, dans “Le pour et le contre”, il parla de lui en ces termes : «Vif et sensible au plaisir, j'avouerai, dans les termes de M. de Cambrai, que la sagesse demande bien des précautions qui m'échappèrent», évoqua la crise

différentes de celles du roman pour qu'on puisse raisonnablement penser qu’elle ait laissé quelque trace dans l'œuvre de fiction. Il faudrait donc plutôt remonter plus haut dans la vie de Prévost pour trouver la trace d’une relation amoureuse dramatique. Or, comme on l’a vu, en 1734, dans “ Le pour et le contre ”, il parla de lui en ces termes : « Vif et sensible au plaisir, j'avouerai, dans les termes de M. de Cambrai, que la sagesse demande bien des précautions

excessif. On trouve là une emphase qui devait être celle des théâtres antiques. D'ailleurs le catch est un spectacle de plein air, car ce qui fait l'essentiel du cirque ou de l'arène, ce n'est pas le ciel (valeur romantique réservée aux fêtes mondaines), c'est le caractère dru et vertical de la nappe lumineuse : du fond même des salles parisiennes les plus encrassées, le catch participe à la nature des grands spectacles solaires, théâtre grec et courses de taureaux : ici et là, une lumière sans ombre

d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? » Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : - 15 - « Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. » Son compagnon s’écria : « Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. » Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l’établissement

assez d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? » Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : « Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. » Son compagnon s’écria : « Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. » Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du FaubourgMontmartre. La façade illuminée de l’établissement

d'étendue, pas assez d'ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller?" Duroy, perplexe, ne savait que dire; enfin, il se décida: "Je ne connais pas les Folies-Bergère. J'y ferais volontiers un tour. " Son compagnon s'écria: "Les Folies-Bergère, bigre? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c'est toujours drôle." Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du FaubourgMontmartre. La façade illuminée de l'établissement