Théâtre des Mathurins

originale, trois autres événements culturels sont prévus : un concert de l’Orchestre symphonique national du Liban dirigé par Jean Deroyer, à l’église Saint-Joseph des pères jésuites ; une pièce de théâtre, Une éternité, de Charif Ghattas (le 31 octobre à Tripoli, maison des Arts, et du 4 au 7 novembre au Théâtre Monnot) et puis la chanteuse Juliette qui donnera un concert exceptionnel au Music Hall, le dimanche 1er novembre à 21h. rganisé par le syndicat des importateurs de livres au Liban en partenariat

n’est pas très connue, après l’avoir été beaucoup, et on doit regretter qu’elle soit tombée dans l’oubli. A. Breton, soucieux de la maintenir dans les limites du roman noir traditionnel pour pouvoir lui préférer ses maîtres d’ombre, Walpole, Lewis et Mathurin, et fâché de son rationalisme conquérant qui lui fait « installer ses comptoirs », comptoirs très bien achalandés et très fréquentés, sur ce domaine interdit qu’est le monde des « vrais prodiges », ne veut voir en elle qu’une « reine du frisson »[4]

personnes que nous tenons à remercier. Ainsi, avons le devoir d’exprimer notre gratitude : à Monsieur Gbènoukpo DAH-LOKONON BODEHOU, notre maître de mémoire qui, malgré ses multiples occupations, n’a ménagé aucun effort pour suivre ce mémoire; à Monsieur Mathurin Cohovi MIAN, notre tuteur de stage pour son aide inestimable et sa disponibilité; à Monsieur Kpessou Pierre Simon SAI, pour sa disponibilité chaque fois que le besoin se fait sentir; aux Sieurs Horace ADOUKONOU, Hermann DJEDOU, Christian GBAGUIDI

pour la leçon chez des âmes tendres et craintives que de les y guider avec une trogne effrayante, les mains armées de fouet12 ! » Il y fait cependant de solides études et y acquiert le goût des livres (il lit Ovide, Virgile, Térence et Plaute), du théâtre (Gouvea encourageait la représentation des tragédies en latin) de la poésie (latine), et des joutes rhétoriques, véritable gymnastique de l’intelligence selon Érasme. On ne sait presque rien de sa vie de 14 à 22 ans. On retrouve le jeune Montaigne

mouches ». Flaubert rejoue du théâtre avec sa sœur Caroline. Il a « près de 30 pièces » dont « L’Antiquaire ignorant qui se moque des antiquaires peu habiles ; et une autre qui est Les Apprêts pour recevoir le roi, et qui est farce ». Il a fait « un morceau de vers intitulé Ma mère qui est presque aussi bien que La Mort de Louis XVI ». Ernest Chevalier est invité à venir passer huit jours pour Pâques. Flaubert se réjouit de la visite prochaine d’Ernest Chevalier. « Le théâtre, les affiches, tout est prêt

intimement complexe du tragique et du comique. La densité du monde est telle que le danger et la souffrance n’abolissent jamais complètement les petits ridicules du quotidien, le sourire et le rire. Hugo, aussi, l’avait bien perçu en préconisant, pour le théâtre romantique, le mélange des genres et bien avant lui Rabelais, évoquant la joie irrésistible de son géant à la naissance de son fils et sa tristesse infinie à la mort de sa femme. C’est en m’appuyant sur ce principe que j’ai voulu orienter

assure Kamel Chibli, un proche. Même affichage de sérieux avec les universités européennes internationales d’été organisées à Poitiers avec le sociologue Edgar Morin à la fin du mois. Enfin, tous les quinze jours, Royal reprendra ses soirées-débats au Théâtre Dejazet à Paris. Pour autant, Royal n’entend pas abandonner le terrain de l’international. Elle se rendra au siège de l’ONU à New York le 21 septembre pour préparer le sommet de Copenhague sur la lutte contre le réchauffement climatique. Nommée depuis

le combat est mis en scène en fonction d’un troisième personnage, le public témoin et arbitre. La considération de ce troisième personnage, qu’il s’agit de séduire et de persuader, constitue le double système d’énonciation (comparable à celui du théâtre) selon lequel fonctionnent les lettres. Pascal montre le dilemme dans lequel se trouvent les croyants : croire les invraisemblables accusations portées contre les Jansénistes par les Jésuites, ou considérer les Jésuites comme des imposteurs. Effet

ballade du noyé A l’amphithéâtre Le chien mort Inconsciente Sonnet Journaux intimes Page 7 Copyright Arvensa Editions Extrait Charles Baudelaire : Oeuvres complètes Charles Baudelaire Note autobiographique Fusées Mon cœur mis à nu Théâtre La fin de Don Juan Le marquis du Ier houzards L’ivrogne Liste de pièces projetées Critique littéraire Les contes normands et historiettes Baguenaudières Prométhée délivré Le siècle Les contes de Champfleury Notes analytiques et critiques

Et d’ailleurs, je voulais être à la fois son père, son bienfaiteur et, lâchons le mot, son amant ; faire d’une pierre deux coups, une bonne action et une bonne amie. J’ai été heureux cinq ans. La petite a l’une de ces voix qui sont la fortune d’un théâtre, et je ne peux la qualifier autrement qu’en disant que c’est Duprez en jupons. Elle m’a coûté deux mille francs par an, uniquement pour lui donner son talent de cantatrice. Elle m’a rendu fou de la musique, j’ai eu pour elle et pour ma fille une loge