Théâtre des Noctambules

nue dans un intérieur est un de ses thèmes récurrents. Nighthawks est le tableau le plus célèbre de l’artiste mais aussi le plus marquant de l’art américain. Il est reprit, imité, retranscrit de nombreuses fois. Nous traduirions ce titre par « noctambule » ou « oiseau de nuit ». Ce tableau est peint en 1942, montrant des personnes dans un diner, à une heure avancé de la nuit. En voilà l’original et quelques reprises ; « C’est, je crois, l’un des meilleurs tableaux que j’ai peints. » Hopper

| |La tragédie du langage dans Rhinocéros d’EUGENE IONESCO | | |Le théâtre : texte et représentation | |Objet d’étude |L’absurde

culture est un défi pour la télévision publique. Ni le privilège d’une élite, ni l’apanage des noctambules, elle doit irriguer les grilles de programmes et se partager aux heures de grande écoute, avec le souci de s’adresser à tous. Le patrimoine est une passion française, tout comme la chanson. La télévision publique doit savoir porter ces passions à l’écran. Elle doit inviter les téléspectateurs au théâtre, à l’opéra. Faire naître le frisson du cinéma et le plaisir de la lecture, les deux pouvant

pour aller là ? » 10512- recueil (4e épreuve) 6/3/02 12:08 PM Page 121 | Guy de Maupassant LA PARURE 80 85 90 95 100 105 110 Il n’y avait pas songé ; il balbutia : « Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi…» Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : « Qu’as-tu ? qu’as-tu ? » Mais, par un

de Deauville, Honfleur et Cabourg savent user elles aussi de leur charme. Le Cotentin et le Sud Manche ont une beauté plus sauvage, alternant marais, falaises et longues plages de sable. Se dresse alors le majestueux Mont-Saint-Michel, entouré de sa baie, théâtre des plus grandes marées d'Europe. L’intérieur des terres vaut également le détour. Que ce soit Giverny et son héritage impressionniste, le Pays d’Auge et sa gastronomie, la Route des manoirs dans le Perche ou bien encore la Suisse Normande, tous ces

là également qu'il découvre le théâtre car les jésuites faisaient fréquemment jouer des pièces à leurs élèves. Son goût profond de la liberté vis à vis de toutes les règles théâtrales et la souveraineté de ses personnages sont hérités de la morale moliniste, morale de la volonté individuelle, en opposition au modèle janséniste de la grâce. Cette liberté d'esprit l'oppose aux tenants de la bienséance et le pousse à condamner les menaces rigoristes contre le théâtre d'un Nicole ou d'un Bossuet. Il

fêtards parisiens qui chantent, rient et beuglent. Bien qu'il ne le dise pas explicitement, la scène se situe évidemment le soir, à cette heure, que Baudelaire évoque dans Le Crépuscule du soir où les théâtres, les restaurants et les boîtes de nuit commencent à se remplir [2]. En apostrophant les noctambules parisiens qui se ruent sur les plaisirs nocturnes que leur offre la capitale, Baudelaire semble ne s'adresser qu'à une catégorie très restreinte de l'humanité, celle des citadins, et qui plus est

fois un vieux couple heureux, de Mohammed Khaïr Eddine (Seuil, 2002, 186 Mohammed Khair-Eddine, mort en 1995 à l’âge de 54 ans, a laissé un journal, On ne met pas en cage un oiseau pareil et des œuvres publiées à titre posthume : une pièce de théâtre, Les Cerbères, et ce récit, Il était une fois un vieux couple heureux. Le Journal fournit au sujet de cette dernière œuvre un témoignage exceptionnel, puisqu’il en commente à plusieurs reprises la gestation et la rédaction. Pour échapper à la douleur

Gainsbourg et cætera réunissant de nouveaux mixages de l'intégrale d'un concert au théâtre Le Palace de Paris restitue ce qui reste son meilleur enregistrement en public. Années 1980 : « Gainsbarre »[modifier] Se jugeant offensé par les propos calomnieux dans les articles de presse à son encontre, notamment au sujet de la marseillaise, et se sentant artiste incompris, il se réfugie dans la vie des milieux noctambules et interlopes, consommant un peu plus d'alcool et de tabac et délaissant la vie

de ma demeure perdue, cachée, noyée sous les feuilles des grands arbres, m'était si reposant et si bon, que j'hésitais chaque soir, pendant plusieurs heures, à me mettre au lit pour le savourer plus longtemps. Ce jour-là, on avait joué Sigurd au théâtre de la ville. C'était la première fois que j'entendais ce beau drame musical et féerique, et j'y avais pris un vif plaisir. Je revenais à pied, d'un pas allègre, la tête pleine de phrases sonores, et le regard hanté par de jolies visions. Il faisait