Théâtre du Chêne noir

mouches ». Flaubert rejoue du théâtre avec sa sœur Caroline. Il a « près de 30 pièces » dont « L’Antiquaire ignorant qui se moque des antiquaires peu habiles ; et une autre qui est Les Apprêts pour recevoir le roi, et qui est farce ». Il a fait « un morceau de vers intitulé Ma mère qui est presque aussi bien que La Mort de Louis XVI ». Ernest Chevalier est invité à venir passer huit jours pour Pâques. Flaubert se réjouit de la visite prochaine d’Ernest Chevalier. « Le théâtre, les affiches, tout est prêt

fantaisies. Il s’amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d’inépuisables arabesques cee rude et mince étoffe de la vie. C’étaient des jeunes filles, de splendides chapes d’évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C’était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre. Maintenant

du Docteur Watson......................................105 IX - Deuxième rapport du Docteur Watson .....................................116 X - Extraits du journal de Watson...................................................142 XI - L'homme du pic Noir...............................................................157 XII - Mort sur la lande.....................................................................176 XIII - Filets tendus ................................................................

plongés chacun dans nos propres pensées, en apparence du moins, et depuis près d’un quart d’heure, nous n’avions pas soufflé une syllabe. Tout à coup Dupin lâcha ces paroles : – C’est un bien petit garçon, en vérité ; et il serait mieux à sa place au théâtre des Variétés. – Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, – répliquai-je sans y penser et sans remarquer d’abord, – tant j’étais absorbé, – la singulière façon dont 5 l’interrupteur adaptait sa parole à ma propre rêverie. Une minute après, je revins

p. 679): "Être un homme utile m'a paru toujours quelque chose de bien hideux", qui se souvient sans doute de la Préface célèbre de Gautier à Mademoiselle de Maupin. 156. Allusion probable au corset, pour les femmes, et à la redingote et à "l'habit noir", aux "plis grimaçants, et jouant comme des serpents autour d'une chair mortifiée", dont Baudelaire reconnaît toutefois, dans le Salon de 1846, la "beauté", le "charme indigène", la "grâce mystérieuse" (Pl. II, p. 494). 157. Cf. ce passage de La Fanfarlo

.................................................................8 3. Le déiste.......................................................................................................................................................9 4. L’homme de théâtre .....................................................................................................................................9 5. Le conteur .................................................................................................

contigu à son coffre, assez pour roussir le bois. Ce poêle avait deux compartiments ; Ursus dans l’un faisait cuire de l’alchimie, et dans l’autre des pommes de terre. La nuit, le loup dormait sous la cahute, amicalement enchaîné. Homo avait le poil noir, et Ursus le poil gris ; Ursus avait cinquante ans, à moins qu’il n’en eût soixante. Son acceptation de la destinée humaine était telle ; qu’il mangeait, on vient de le voir, des pommes de terre, immondice dont on nourrissait alors les pourceaux

 La Cousine Bette, Colomba,  Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre­Dame de Paris,  Salammbô,  Madame  Bovary,  Adolphe,  M.  de  Camors,  L'Assommoir,  Sapho, etc., ose encore écrire : « Ceci est un roman et cela n'en est pas  un  »,  me  paraît  doué  d'une  perspicacité  qui  ressemble  fort  à  de  l'incompétence. 2  Généralement  ce  critique  entend  par  roman  une  aventure  plus  ou  moins vraisemblable, arrangée à la façon d'une pièce de théâtre en trois  actes  dont  le  premier 

fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre. Maintenant

une forme définies et que rien ne peut êtres ajouté ou enlevé sans détruire l’harmonie du tout. 3.) Parmi les vestiges romains les plus étudiés, trois (ou plutôt 4) monuments romains deviennent des sources d’inspiration pour la théorisation : - Le théâtre Marcellus et l’ordonnance régulière des arcades superposées sur deux registres (ordre dorique et ionique) - Le Colisée et la superposition des ordres selon Vitruve (ordre dorique, ionique et corinthien) - L’arc de triomphe de Constantin dont le motif