Théâtre du Jeu de Paume

production? Le XVII siècle français est, par excellence, le siècle du théâtre pour deux raisons il s'agit d'un événement littéraire et artistique, une représentation dramatique est aussi une cérémonie, un rite social, prolongement des salons et de la cour et de plus la culture classique--impersonnelle, sociale, fondée sur la culture commune à tous les "honnêtes gens" a trouvé dans le théâtre son mode d'expression favori. Le théâtre obtint ainsi ses lettres de noblesse au XVII siècle, les poètes trouvent

philosophiques ; les femmes prennent une place de plus en plus importante dans la société ; des salles de théâtre se créent, encore mal équipées, mais animées par des troupes de premier ordre qui s’y fixent en permanence. Les nouveaux théoriciens, de Chapelain à l’abbé d’Aubignac, soutenus par Richelieu, bénéficient d’une bien plus large audience que leurs prédécesseurs. Et, surtout, le théâtre commence à trouver un statut dans la vie mondaine et sociale de l’époque. D’où une abondance, assez nouvelle

l’organigramme s’agrandit. Les nouvelles structures se développent surtout à partir de l’ancienne direction générale des Arts et des Lettres. En décembre 1961 par exemple, la sous-direction du Spectacle et de la Musique devient la Direction du Théâtre, de la musique et des spectacles. En 1969, six directions et une inspection générale, les Fouilles et l’Inventaire rattachés au Cabinet, font preuve de cette croissance administrative. L’organisation de l’administration centrale est complétée par

sont très déçus car le roi ne propose pas de réforme de la société ni du royaume. Le 17 juin 1789, le Tiers-Etat se déclare Assemblée Nationale. Le 20 juin 1789, les députés du Tiers-Etat et des députés du clergé prêtent Le serment du Jeu de Paume promettant de ne pas se séparer avant d’avoir rédigé une Constitution. B) Paris se révolte Inquiets de voir ses soldats autour de la capitale, les parisiens cherchent des armes pour se défendre. Le 14 juillet 1789, ils prennent la forteresse

en 1759), Diderot ou Rousseau que l'on découvre aussi comme romanciers aux côtés de Prévost, Bernardin de Saint-Pierre, Laclos ou Sade alors que le théâtre retient en particulier Marivaux et Beaumarchais. Sommaire   [masquer]  1 Contexte historique 2 La variété littéraire du XVIIIe siècle 2.1 La littérature d'idées : les Lumières 2.2 Le théâtre du XVIIIe siècle 2.3 Le roman du XVIIIe siècle 2.4 La naissance de l’autobiographie moderne au XVIIIe siècle 2.5 La poésie du XVIIIe siècle 2.6 Autres

MOLIERE Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622[2] et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus joué. Fils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, et nommé tapissier du roi. Sa mère, Marie Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette. De 1633 à 1639

Le temps ne doit pas dépasser 24h. Le théâtre devait faire preuve de bienséance, de sagesse ainsi que de vraisemblance. Molière, lors ce qu'il jouait avec sa troupe, s'est mis à écrire des pièces de comédie avec des personnages particuliers et avec un caractère marquant, interpellant le public. Pour cela, il s'attaque aux bourgeois pour leur prétention, leur souhaits de mariages d'intérêts, etc. Il amène un nouveau regard et une nouvelle critique au théâtre de manière générale, qui se répandra

France.svg Royaume de France[1] Décès 17 février 1673 Paris, Royaume de France Royaume de France Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622[2] et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus joué. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse

consacrer au théâtre. Mélite (1629), sa première pièce de théatre, rencontra à Paris un succès suffisant pour décider son auteur à continuer sa  carrière dramatique, qu'il ne quittera plus jusqu'en 1674. 1637: triomphe du CID. Reproché de ne pas avoir respecté les regles de vraisemblance, de bienséance et des trois unités.  Dans ses grandes tragédies des années 1640, Horace (1640), Cinna (1641), Polyeucte (1642) et Rodogune (1644), Corneille ne respecta pas beaucoup les regles du théatre classique

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622[2] et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus joué. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse qu'il veut libérer des contraintes absurdes. Très loin des rigueurs de la dévotion ou de l'ascétisme