Theatre Folie

l’histoire ne pourra continuer. Mais, on sait que Maupassant est fasciné par la folie et les fous qui sont des thèmes très présents dans ses récits car il est lui-même atteint de la syphilis qui est une maladie qui attaque le système nerveux et qu’il a pu vivre avec. Il serait donc erroné de confondre l’auteur et le narrateur de cette histoire. Les thèmes principaux de ce conte est la folie, le surnaturel et le double. La folie est surtout présente quand le narrateur nous fait un bilan de sa santé en

la fois solaire et infernale. Il y a aussi des manifestations physique à cette passion « je vis, je rougis, je palis » il faut noter les champs lexicaux du corps et des éléments du corps métonymies qui soulignent l’aliénation corporelle de Phèdre (folie trouble mental égarement) par cet amour qu’il habite .Sa langue semble aussi aliénée par cette passion : l’anaphore « j’aime » et les hyperboles « par des vœux assidus […] je lui bâtis un temple […] à toute l’heure entourée  » témoignent d’une fatalité

mort en se jetant dans la baie de San Francisco, il la sauve de la noyade in extremis et la ramène chez lui. Il fait sa connaissance et est de plus en plus fasciné par la folie douce qui a poussé Madeleine à tenter de se suicider. Ils tombent amoureux l'un de l'autre, mais la jeune femme est victime d'une nouvelle crise de folie et se jette du haut de la tour d'une église. Scottie, paralysé par son acrophobie, n'a pas pu la suivre et l'empêcher de tomber. Après plus d'une année de dépression et de

Pierre, ses rêves de fugues, de fuites. On y voit des futurs plutôt sombre, de déprimes et de mort. Je pense que Maupassant voulait découvrir le monde, mais qu’il n’en a jamais eu l’occasion. Ce pourquoi il est dépressif et le ferra sombrer dans la folie puis à la mort à un âge prématuré.

bienvenue. Elle ne e se presente pas a la reception, elle est comme devorer par l’entreprise, elle est perdue. N°6 La folie d’amelieP 77 a 80 A la moitié de son stage, elle se trouve devant la tache de verifier les note de frais , elle va faire beaucoups d’erreurs. Tout ceci va la rendre folle( enchainement de nuits blanches afin de terminer a temps son travail) Elle raconte sa folie en enumerant ses symptomes comme le rire nerveux, les hallucinations, elle parle seule, ne se cotrole plus... Elle devient

au bois « qui poussait en toute innocence » et donc, que la chaise fait le bien et punit les malintentionnés par électrocution mais elle procure de la souffrance et de l’horreur. Ce texte peut être associé au film Les temps modernes pour relier la folie présente dans le film par la technologie présentée pour manger avec la chaise électrique.

« dissociation » En 1912, le psychiatre français Chaslin évoque la « Folie discordante » terme qu'il considérait comme synonyme de schizophrénie. La discordante se manifeste à travers les oppositions et les incohérences (entre les idées du délire et les états émotionnels qui les accompagnent entre le language et l'intelligence ..) les « folies discordante » sont l'hébéphrénie, la folie paranoide délirante (démence paranoide) la folie verbale et la folie motrice (catatonie). Le terme de discordance est toujours

comme le pense Descartes, « tout entière en un chacun »6 ? Ou au contraire peut-on perdre “un peu” de sa raison ? Dans ce cas, peut-on n’être que partiellement libre ? Force est de constater que certains philosophes ont “oublié” le problème de la folie dans leurs théories de la responsabilité. Pour sa part, Kant semble nier la culpabilité du fou : « Lorsque quelqu’un a délibérément occasionné un malheur et que, pour savoir s’il est coupable et de quelle culpabilité son acte relève, il faut donc,

il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise. Il finira par incendier sa demeure et, dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence, il entrevoit la mort comme ultime délivrance. L'aspect fantastique du récit vient du doute créé chez les lecteurs quant à la démence du narrateur – ou à la réalité des faits qu'il rapporte : sa cohabitation avec un être surnaturel. Dans ce livre le narrateur raconte sa folie et la terreur qu'il subit

pour laquelle il peut atteindre, à son insu, un degré de beauté bien supérieur. Cette conception de l’artiste semble en faire une créature hors norme, non seulement dotée de particularités quasi-divinatoires mais également capable de sombrer dans la folie pour créer. Pourtant, les artistes sont bien des êtres humains et si certains sont dotés d’une grande sensibilité (ce qui est aussi le cas d’hommes et de femmes qui n’ont aucun talent particulier), ce n’est pas une généralité. Puisque les artistes