Theatre Seulement Parole Artaud

écrivains du XXe siècle Le siècle s’ouvre par une « Belle Epoque » qui l’est d’abord pour les trois grands genres littéraires traditionnels : la poésie avec Apollinaire, le théâtre avec Paul Claudel et le roman avec Proust qui paraissent trouver le second souffle d’une modernité. Mais la Grande Guerre n’a pas seulement rompu cette renaissance des esprits et des œuvres. Elle a précipité la confrontation de la modernité littéraire, et plus largement esthétique, avec les réalités techniques, sociales

donc un gain et une perte. Elle permet sans doute de signaler un changement de problématique, une rupture dans le cadre de la postcolonialité. Mais, du côté de la perte, elle constitue un évitement de l’analyse du lien (de dépendance mais pas seulement) avec la littérature de l’ancienne métropole et ce sera aussi la perte de la dimension historique au profit d’une brusque scansion postcoloniale, postmoderne, etc. qui ne fait d’ailleurs que reproduire le « renversement » des indépendances. En

auteurs dramatiques recourent à des intrigues complexes, avec des actions multiples qui interfèrent, car le réel leur ~appar~dit trop opaque pour ~qu'une action unifiée les satisfasse. Les auteurs dramatiques usent souvent du procédé de théâtre dans le théâtre, dans de vertigineuses mises en abyme. Ex : Calder~ôn, La vie est un songe, Rotrou, La Véritable Histoire de Saint ~Genest. Les baroques cultivent surtout le roman d'aventures, inspiré du roman picaresque espagnol. Ex. ~: Cyrano de Bergerac:

lire 64 C) Sur le lyrisme ou la problématique lyrique 65 1) Ouvrages lus 65 2) Ouvrages ou travaux à lire 65 D) Sur les genres narratifs 66 1) Ouvrages lus 66 2) Ouvrages à lire 66 E) Sur le théâtre 66 Ouvrages à lire 66 F) Ouvrages de théorie et d’histoire littéraire 67 1) Ouvrages lus 67 2) Ouvrages à lire 67 G) Autres œuvres citées, romans symbolistes, récits poétiques 68 Ouvrages lus 68

suppose aucun cloisonnement entre la forme et le sens : idéalement, ce trajet doit se lire également à l’intérieur de chaque partie. Chaque genre sera respecté dans sa spécificité : le récit implique des procédures (le point de vue de la narration), le théâtre conduit à repérer des effets scéniques, la poésie doit être traitée comme la forme-sens par excellence. Quant aux phénomènes trans-génériques (théâtralisation du récit, par exemple), ils feront l’objet d’une attention toute particulière. Le commentaire

comme le happening, la performance ou les installations multimédias. De même, ses sources d’inspiration sont aussi bien à chercher du côté de l’histoire des pratiques musicales que de celles des arts plastiques, de l’architecture, de la danse, du théâtre, de la poésie, de la philosophie bouddhiste ou de la mycologie. Échappant au découpage catégoriel, l’œuvre de John Cage procède par dissémination, transposant les gestes d’une discipline à l’autre. Tenter d’établir une cartographie détaillée de ses

Sophocle 2.1.2 Résumé d’Œdipe Roi, Sophocle 2.2 La Machine Infernale, Jean Cocteau 2.2.1 Acte I 2.2.2 Acte II 2.2.3 Acte III 2.2.4 Acte IV 2.2.5 Résumé La Machine Infernale, Jean Cocteau PARTIE 2 A. INTRODUCTION AU THEATRE ET A LA FORME TRAGIQUE DU THEATRE 1. Le théâtre Présentation générale ; social et religieux, L’imitation et l’origine de la poésie (Aristote p.33)  1.2 l’utilisation du mythe Antique au XXème siècle 2. La tragédie ; origine, nature, représentation, du Dithyrambe au chœur

qui a déjà rompu avec sa famille, et qui se met à errer dans le monde, à la recherche, sans doute, de quelque rencontre de «l'Absolu». En fait, il rencontre d'abord un certain Arthur, qui fut poète de son vivant et s'en alla au Harrar, mais c'est seulement pour constater qu'ils ont fort peu de chose en commun. Mais, dans la même auberge, Anicet, par un enchaînement de circonstances remarquablement fortuites, rencontre une certaine Mirabelle, autour de laquelle s'est formée une société secrète de sept

qui a déjà rompu avec sa famille, et qui se met à errer dans le monde, à la recherche, sans doute, de quelque rencontre de «l'Absolu». En fait, il rencontre d'abord un certain Arthur, qui fut poète de son vivant et s'en alla au Harrar, mais c'est seulement pour constater qu'ils ont fort peu de chose en commun. Mais, dans la même auberge, Anicet, par un enchaînement de circonstances remarquablement fortuites, rencontre une certaine Mirabelle, autour de laquelle s'est formée une société secrète de sept

l’arbitraire des pouvoirs et l’exacerbation des tensions entre une caste de parvenus insolents et un peuple réduit à la plus abjecte sujétion. Ce faisant, il essaie d’aliéner la violence d’un monde scandaleux tout comme Magamou qui, se saisissant « d’une parole que personne ne lui a donnée » 3, refuse de guérir, « affrontant les préjugés et les interdits afin de mettre à nu les vices et travers, les infirmités et indigences sociales » 4.A défaut d’aliéner cette violence, Sony Labou Tansi essaie d’exorciser