Themes Dominants Le Malade Imaginaire

autant être assimilé à du « culturel » ? L’informel vaut-il alors pour l’implicite, la culture recouvrant alors l’« implicite » et ce qui relèverait du « formel » étant de l’« explicite » ? En quoi peut-on rapprocher culturel et « imaginé » ou « imaginaire » ? Avec ces trois perspectives, on peut rattacher celle de l’informel à une question épistémologique, celle de l’implicite à une question méthodologique et celle de l’imaginé (et de l’imaginaire) à une question anthropologique. Comment interpréter

l'environnement de ses auteurs Chapitre 1 : Les Schtroumpfs, produit d'une société Section 1 : Stratégies évolutives de Peyo au sein du champ de la bande dessinée A/ Une position dominée qui incite à des stratégies de subversion B/ Une position dominante contraignant à des stratégies de conservation Section 2 : Des aventures sous influences A/ Configuration du champ de production des Schtroumpfs B/ Inspirations sociétales et politiques p. 41 p. 41 p. 41 p. 58 p. 65 p. 67 p. 74 Chapitre 2 :

Justifiez votre réponse par le repérage, le classement et l'analyse de termes significatifs empruntés au texte. 2. Questions complémentaires 1. Qu’ont en commun les expressions soulignées ? Quel effet produisent-elle s ? Une perception est dominante dans le texte. Laquelle ? Justifiez votre réponse par un repérage précis. Compte tenu du titre du conte, pouvez-vous interpréter l'importance accordée à celte perception ? Qui raconte l'histoire ? Le narrateur est-il identifiable ? TEXTE 3

de la rime, voire la ponctuation. Les codes classiques impliquent une longueur de une à douze syllabes, mais l’on peut observer des variations au cours des époques. On peut trouver des vers très brefs : un vers de 3 syllabes dans « Les Animaux malades de la peste » de La Fontaine met ainsi en valeur l’élément détaché : « Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. » Notons que La Fontaine, dans ses Fables, emploie des vers hétérométriques (c’est-à-dire de longueurs

la rime, voire la ponctuation. Les codes classiques impliquent une longueur de une à douze syllabes, mais l’on peut observer des variations au cours des époques. On peut trouver des vers très brefs : un vers de 3 syllabes dans « Les Animaux malades de la peste » de La Fontaine met ainsi en valeur l’élément détaché : « Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. » Notons que La Fontaine, dans ses Fables, emploie des vers hétérométriques (c’est-à-dire de longueurs

démoniaque étudié : l’une « tégumentaire », l’autre « de profondeur »… Nous souscrivons à certaines affirmations selon lesquelles la seule réalité que l’on puisse réellement connaître est celle de son propre imaginaire. Aussi avons-nous essayé de décortiquer la structure profonde de cet imaginaire à base mythologique qui aura permis à Charles Baudelaire d’articuler une œuvre poétique d’une grande cohérence et dont le succès et la communicabilité reposent, en grande partie, sur son universalité au niveau

sourire, filet de sang : élégant et dangereux. Arrière-plan : nuit, château hanté. Homme élégant, éclairé, qui regarde un autre, ds l’ombre (visage déformé, sourire inquiétant) : son double. Observation des couleurs : Quelles sont les couleurs dominantes ? Couleurs foncées (traditionnellement associées à la peur, à l’angoisse) + vert (chimie, produits dangereux).  Toutes les représentations mettent en valeur l’aspect inquiétant de ces êtres. Synthèse orale puis écrite : Points communs entre

fait qu'amplifier la perfection liée à l'agencement symétrique des éléments. Pour Baudelaire l'excellence passe inévitablement par : L'ordre et l'harmonie, reflet d'un idéal Baudelaire puise son énergie dans l'harmonie et l'ordre, deux notions dominantes. Les adjectifs « vaste » (vers 1) et « grands » (vers 3) rendent compte de la notion de grandeur et de liberté. « les portiques » (vers 1) et les « piliers  le goût de la symétrie, de la simplicité. « droits et majestueuses » (vers 3), tous harmonieusement

écrivain ou d'un metteur en scène. 1990 Avant-propos, Yves Mabin La bande dessinée, texte fait image, image faite texte, est sous sa forme actuelle née au xix e siècle, d’abord en Europe puis aux Etats-Unis. Jusqu’en 1945, l’école américaine est dominante. Depuis, les écoles belges et françaises ont renouvelé ce médium qui connaît un succès grandissant auprès de tous les publics de tous âges. Pour rendre compte de la diversité et de la qualité des auteurs français et francophones de ce genre littéraire

une oeuvre qui rappelait à plus d'un titre d'autres de ses nouvelles (les mêmes curiosités, les mêmes thèmes obsessionnels, les mêmes techniques de composition s’y retrouvent), mais qui fut rédigée par un homme très différent de celui qui écrivait de 1910 à 1930 : dépressif, hanté par le spectre d'une guerre totale dont il n'aura pas le courage d'attendre la fin, peu aidé par une épouse malade et elle aussi dépressive, suicidaire, il avait perdu sa légèreté d'analyste des coeurs, sa compréhension