Thémis

sein des nuages. C'est sur son double sommet, seul endroit de la terre respecté par les eaux, que s'arrêta la frêle barque qui portait Deucalion et Pyrrha son épouse. Ils adorèrent d'abord les Nymphes Coryciennes, les autres dieux du Parnasse, et Thémis qui révèle l’avenir, et qui rendait alors des oracles en ces lieux. Nul homme ne fut meilleur que Deucalion; nul plus juste que lui. Aucune femme n'égalait Pyrrha dans son respect pour les dieux. Lorsque le fils de Saturne a vu le monde changé en

Dalloz »), 2010, 5ème éd., 775 p. ‐ 2 ‐ ‐ ‐ ‐ JAN Pascal, Institutions administratives, Paris, Lexis Nexis (coll. « Objectif droit »), 2011, 4ème éd., 346 p. MAILLARD DESGREES DU LOÛ Dominique, Institutions administratives, Paris, PUF (coll. « Thémis »), 2011, 1ère éd., 512 p. OBERDORFF Henri, Les Institutions administratives, Paris, Dalloz (coll. « Sirey Université ème »), 2010, 6 éd., 324 p. SERRAND Pierre, Manuel d’institutions administratives françaises, Paris, PUF (coll. « Droit fondamental

droit : Homère et Hésiode (Thémis, Diké et Economia) De prime abord on ne trouve pas de textes ni de lois. Les premières notions de droit sont dans la poésie, dans l’art, dans la littérature. Chez Homère, 850 avant J.C, qui a écrit « L’Iliade et L’Odyssée » : il fait intervenir les dieux grecs systématiquement. Les dieux grecs jouent entre eux sur un échiquier. Homère se concentre sur les héros et leur rapport avec les dieux. On voit apparaître deux déesses : Thémis, qui symbolise la justice.

al. 1 C.c.Q. Louise Langevin, « Entre la non-reconnaissance et la protection : la situation juridique de l’embryon et du fœtus au Canada et au Québec » (2004) 56 R.I.D.C. 39; Marie-Josée Bernardi, Le droit à la santé du fœtus au Canada, Montréal, Thémis, 1995; Robert P. Kouri, « Réflexions sur le statut juridique du fœtus » (1980-81) 15 R.J.T. 193 [Statut juridique du foetus]. Dans le contexte de la common law, voir l’intéressante décision Dobson (Tuteur à l' instance) c. Dobson, [1999] 2 R.C.S.

| Protogénie | Éthlios, Étolos | | Séléné | Hersé, Pandia, le lion de Némée | | Sémélé | Dionysos | | Taygète | Lacédémon | | Thalie ou Arémosyne | Les jumeaux Paliques | | Thémis | Les Heures, les Moires, Astrée, Némésis | | Thémisto | Ister | Mythe d’Europe Selon une version du mythe, Europe, fille du roi de Tyr, une ville de Phénicie (actuel Liban) fait un rêve. Le matin venu, pour chasser

Chloris ,deux divinités des vents. Du ciel, tombent doucement des roses, dont la naissance aurait coïncidé avec celle de Vénus selon une légende antique. À sa droite, elle est reçue par un personnage féminin, l'une des Heures, filles de Zeus et de Thémis ou la divinité du printemps tentant, malgré le vent, de la couvrir d'un voile rouge parsemé de motifs floraux, pour cacher une nudité déjà bien dissimulée par la déesse elle-même. La mer dont on aperçoit peu l'horizon (pouvant rappeler la mer dans

glaive, droit et impitoyable, comme le fléau de la balance servira à punir les méchants. Selon Aristote, la justice peut être envisagée par le glaive qui représente la puissance distributive et la balance, sa mission équilibrante (sociale)La justice ou Thémis ou la Balance représente la vie éternelle, l’équilibre des forces déclenchées, les courants antagonistes, le résultat des actes, le droit et l’avoir, la loi, la discipline, l’adaptation aux nécessités économiques.Cette justice dont le chiffre symbolique

aborda d'abord sur l'île de Cythère, mais comme c'était une toute petite île, elle se rendit dans le Péloponnèse et finalement s'installa à Paphos, dans l'île de Chypre, qui allait devenir son centre de culte principal. A Paphos, les Saisons, filles de Thémis, se hâtèrent de la vêtir et de la parer. Quand elle parut dans l'Olympe tous les dieux, mais beaucoup moins les déesses, furent stupéfaits d'admiration: jamais une telle beauté n'avait été admirée: sa peau était de la blancheur du lait, ses cheveux

d’assistance et de sauvetage maritimes, 23 sept. 1910, décret 2 mars 1913, JO 15 mars 1913 B. Droit communautaire : II. Loi interne Code civil 2011, 25ème éd., Dalloz, Paris 2010 III. Ouvrages J. CARBONNIER, « Droit civil - Introduction », coll. Thémis, 27ème éd., PUF, Paris 2002 IV. Monographies H. BERGSON, « Les deux sources de la Morale et du Droit », (rééd.) 8ème éd., PUF, Paris 2000 V. Thèses C. ALBIGES, « De l’équité en droit privé », thèse, Montpellier I 1997, LGDJ, Paris 2000

La recherche de la justice doit-elle se contenter de satisfaire le sentiment du juste et de l'injuste ? La justice évoque souvent cette statue de Thémis aux yeux bandés avec une balance dans la main. La justice est voulue et désirée par tous comme aveugle donc neutre car nul n’a envie de faire les frais de l’injustice. Néanmoins il arrive que les institutions représentants la justice se trompent. La justice est un mot à plusieurs sens : la notion abstraite définit ce qui est idéalement juste,