Theodore Levitt

bourgeoisie . Il meurt a 37 ans, en 1867 a Paris . Paul Verlaine (1844-1896) Aussi écrivain sa famille appartiens à la petit bourgeoisie. A 14 il envoye un texte nommé LA MORT a Victor Hugo. A 21 ans Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle . Il épousa une femme qui laisse tomber pour aller voyager avec Arthur Rimbaud. Il tire 2 balles avec un revolver sur Rimbaud ,il est alors emprisonné 2 ans , après sa pénitence écrira LA SAGESSE

Sur les jeunes lèvres décloses ; Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Roi superbe, il plane irrité Dans des splendeurs d’apothéoses Sur les horizons grandioses ; Fauve dans la blanche clarté, Il brille, le sauvage Été. Théodore de Banville (1823-1891) Pourquoi on aime tellement regarder le soleil qui se couche ? Sur un lac doré, derrière une montagne rose Ou sur une plage déserte un soir d’été Cette boule de feu plongeant doucement dans la mer lointaine Le soleil

littérature dès son adolescence. Rencontres et Parcours -En 1870, rencontre de Georges Izambard, qui vient enseigner la rhétorique dans le lycée d’Arthur. Il initie Arthur RIMBAUD à la poésie. -En mai, Arthur adresse quelques-uns de ses poèmes à Théodore de Banville, afin d’être publié dans le Parnassien contemporain. Ce ne sera pas le cas mais une autre revue « La Charge »publiera les vers de Rimbaud. -En août, la France entre en guerre contre la Prusse. Arthur, alors âgé de 16 ans, fait sa première

considéré comme le moment où le Romantisme livre bataille et triomphe en France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet, Diaz de la Peña et Louis Boulanger (fig. 3). Fig. 1 Eugène DEVÉRIA La naissance d’Henri IV 1827 Huile sur toile, 0,65 x 0,54 m. Inv. 868.1

Théodore Géricault (1791-1824) Né le 26 septembre 1791 à Rouen, mort à Paris le 26 janvier 1824, Théodore Géricault est issu d’une famille bourgeoise royaliste, il suit ses parents qui s’installent à Paris en 1796. Le jeune Théodore, entre dans l’atelier de Carle Vernet(1758-1836)peintre spécialisé dans l’étude des chevaux. En 1810, il quitte l’atelier pour se joindre à celui de Pierre-Narcisse Guérin, maître de l’école néo-classique, puis le 5 février 1811 à l’école des Beaux-arts de Paris

poèmes que j’ai choisi, sont ceux qui m’ont le plus parle : • Commençons avec l’extrait du journal d’Anne Frank; C’est une lettre, alors je trouvais que c’était intéressant de l’introduire dans mon anthologie. • Sur le poème, Le printemps de Theodore de Banville, c’est surtout le mouvement dont il fait parti (parnassien) qui m’a convaincu :Préfère la forme, plutôt que le fond. • Villanelle, de Joachim du Bellay, est très originale, puisqu’il a écrit ce poème en hexasyllabe. • Allégorie, de

ici la défense des paladins, chevaliers du Moyen Age se battant pour des causes justes, et des poètes, comme François Villon, tandis qu’il critique vivement les institutions religieuses et pénales. Ce poème est une parodie du texte du Parnassien Théodore de Banville, intitulé « Ballade des pendus ». Si ce topos, notamment avec les textes de Banville et de Théophile Gautier (« Bûchers et tombeaux ») a été repris maintes fois, cela est dû au fait que ce dernier était « à la mode » à cette époque. Ainsi

la fois moderne et dramatique. L'expression de certaines figures, le coloris à la  fois sombre et intense crée une émotion particulière. Cette œuvre est à la fois contradictoire(contraire) mais en même  temps profondément personnel.     Théodore Géricault (1791-1824)   LE RADEAU DE LA MEDUSE En 1819, un nouveau Salon s'ouvre au Louvre. Géricault veut  réaliser une œuvre immense, spectaculaire. Cherchant son  inspiration dans les journaux, il y découvre l' "affaire de la  Méduse"

en lui dévoilant une vérité sur le monde ou soit en l'incitant à agir. ************* Enfin, certains poèmes ne servent ni a l'expression des sentiments du poète, ni à « éclairer » le lecteur. Certains poètes du XIXe siècle comme Théodore de Banville, Leconte de Lisle ou José-Maria de Heredia se regroupent autour d'un mouvement poétique, le parnasse, crée en réaction devant les excès sentimentaux des romantiques, qui mettent en avant l'expression des émotions aux dépens de la forme

poudroîment d’or du pollen qu’elle lance, S’épanouit la fleur des cactus embrasés. » Le parnassien contemporain est un livre qui se compose de trois volumes collectifs de poésie, publiés en 1866, 1871 et 1876. Il a été écrit par Leconte de Lisle, Théodore de Banville, Heredia, Gautier, Catulle Mendès, Baudelaire, Sully Prudhomme, Mallarmé, François Coppée, Charles Cros, Léon Dierx, Louis Ménard, Verlaine, Villiers de L'Isle-Adam, Anatole France et bien d’autres. C’est cette œuvre qui donnera son