Théodore Reinach

personnages et leur expression est mis en avant. L’œuvre la plus représentative de ce mouvement est Le Radeau de la Méduse de Théodore Géricault. Cette peinture renvoie à un funeste épisode de l’Histoire de la marine (cannibalisme entre les rares survivants du naufrage de la Méduse, réunis sur un frêle esquif). 6/10 17 17 Le Radeau de la Méduse, 1818-1819, Théodore Géricault, huile sur toile, Paris, Musée du Louvre. D’autres œuvres dénoncent la violence et/ou les horreurs de la guerre :

Dans le domaine du romantisme, on trouve aussi la musique Romantique -Frédéric Chopin (1810-1849) : qui écrit des compositions à caractère romantique On trouve aussi des traces de romantisme en peinture comme Le Radeau de la Méduse de Théodore Géricault en 1819 : Durant le Salon de 1819, sont œuvre va devenir une œuvre emblématique du romantisme. On trouve aussi le Voyageur au dessus de la mer des nuages, de Caspar David Friedrich en 1817 : Friedrich, romantique Allemand fait du paysage

Bonshommes » le 30 septembre. Il y rencontre une part essentielle des grands poètes de son temps. Il est successivement logé par Verlaine, non sans heurts avec la femme de ce dernier, puis chez Charles Cros, André Gill et même quelques jours chez Théodore de Banville. En mars 1872, les provocations de Rimbaud excèdent le milieu parisien depuis quelques temps. Pour sauver son couple et rassurer ses amis, Verlaine se condamne à éloigner Rimbaud de Paris. Rimbaud se fait oublier quelque temps en retournant

Baudelaire 3-AUTOMNE L’automne, Alphonse de Lamartine Les feuilles mortes, Pernette Chaponnière Matin d’octobre, François Coppée Fin d’année, Emilie Verhaeren Les oiseaux déguisés, Louis Aragon 4-HIVER Il fait froid, Victor Hugo L’hiver, Théodore de Banville Nuit de neige, Guy de Maupassant Janvier, William Chapman Caprice blanc, Emilie Nelligan

Le Romantisme Il apparait d’abord en littérature. En art, il se traduit par le rejet de l’Antiquité gréco-romaine et s’affirme contre le néo-classicisme qui représente lui la plus froide élégance. Le Romantisme est quant à lui, plein de puissance, de sensibilité, de passion et d’imagination. Mais cet art touche également le domaine de la culture, et entraine un bouleversement dans la littérature, le théâtre et la musique. Apparait pendant le 18ème siècle, s’impose en 1824 et s’estompe en 1850.

vigneronsEt les abeilles d’or qui volaient sur nos fronts,Le verger plein d’oiseaux, de chansons, de murmures,Les pêchers de la vigne avec leurs pêches mûres,Et j’entends près de nous monter sur le coteauLes joyeux aboiements de mon chien Calisto ! Théodore de Banville, septembre 1841 Horloge admirable Or, en aujourd’hui et mes heures,Marie du temps quotidienPour le travail et pour le painDes vies qui rient, des vies qui pleurent,Je vous salue, Marie-aux-heures ; Et vous salue, Marie-au-peuple

Analyse du radeau de la méduse de Géricault Le sujet : Le thème de cette oeuvre est un fait divers historique. En effet, le 17 juin 1816, une flottille française quittait l'île d'Aix pour emmener un groupe de fonctionnaires et de colons au Sénégal. Mal dirigé par un capitaine inexpérimenté, la frégate Méduse fit naufrage et quand les 365 passagers voulurent embarquer sur les canots de sauvetage, on s'aperçut que les embarcations n'étaient pas assez nombreuses. C'est alors que l'on construit

en Grèce, en Égypte, nourriront aussi diverses publications. En 1852, paraît Émaux et Camées, recueil de vers qu'il enrichit jusqu'en 1872 et qui fait de son auteur un chef d'école : Baudelaire dédie Les Fleurs du mal au « poète impeccable » et Théodore de Banville salue le défenseur de « l'art pour l'art », précurseur des Parnassiens à la recherche du beau contre les épanchements lyriques des romantiques et valorisant le travail de la forme (« Sculpte, lime, cisèle » écrit Gautier dans son poème

Émile Zola, L’Assommoir, III, La noce au Louvre, 1877. Zola a de fortes ambitions pour le roman au XIXème siècle. Il veut peindre la vie en ne méconnaissant pas ce qui la précède (hérédité). L’Assommoir est le 7ème volet des Rougon-Macquart (1877) qui est un des regards posés par Zola sur la société du Second Empire. Ce volet à choisi un quartier, la Goutte d’ Or, une microsociété misérable des êtres déracinés qui peuplent ce quartier (immigrés de fraîche date). Zola a choisi une nouvelle fois

savoir et son invention: ce seront ses premiers textes publiés, dans le Bulletin de l’académie de Douai. Les recueils poétiques qu’on lui prête ou qu’il vole, les récents fascicules du Parnasse contemporain lui révèlent bientôt un autre univers. Théodore de Banville, Gautier, Leconte de Lisle, autant de modèles qu’il admire et saura démarquer avec toute la vivacité de son génie, cependant que Hugo reste encore pour lui un inévitable sommet, dont il rejette l’emphase, mais retient la fantasia verbale