Theophile Gautier Chinoiserie

croient pas en l'inspiration romantique. D'abord un écrivain romantique, Théophile Gautier, poète ayant vécu au 19ème siècle, s'éloigne de ce mouvement pour s’intéresser à l'art pour l'art. En 1857, il publie le recueil Émaux et Camées duquel est tiré Carmen. Ce poème fait référence au poème Carmen de Prosper Mérimée. Dans son texte, le poète fait un blâme puis une éloge de la femme Carmen. Nous verrons comment Théophile Gautier, en changeant le blâme apparent en éloge renforcée, construit avec humour

incriminent quelques expressions ou passages jugés choquants, Baudelaire oppose le sens général de son œuvre : « Le livre doit être jugé dans son ensemble, et alors il en ressort une terrible moralité. » C’est en vain qu’il fait intervenir ses amis, Théophile Gautier ou Prosper Mérimée. Barbey d’Aurevilly écrit un article qui fait l’éloge du livre, mais le journal refuse de le publier. La police saisit les exemplaires des Fleurs du mal. Le procès est fixé au 20 août. 352 Charles Baudelaire photographié vers

celle-ci se communique au lecteur. La Nouvelle fantastique Une nouvelle fantastique est celle qui raconte des événements irréels, incompréhensibles et illogiques. Par exemple: L’apparition de fantômes, vampires, démons etc.. Théophile GAUTIER Théophile Gautier est né le 30 août à Tarbes en 1811. Sa famille est issue d'une famille de petite bourgeoisie avec laquelle il vint s'établir rapidement à Paris. Il fait ses études au lycée Louis-le-grand et au lycée Charlemagne où il se lie d'amitié

d'Arménie, 1653), Scarron rédige également un roman, Le Roman comique, écrit dans un style satirique, direct et simple, à l'opposé des romans sentimentaux et littéraires qui étaient à la mode. Il est considéré comme son chef-d'œuvre et inspirera Théophile Gautier pour son Capitaine Fracasse, une parodie joyeuse du Roman comique de Scarron. La première partie est publiée en 1651, la seconde en 1657. Scarron meurt avant d'avoir écrit la troisième.  Présentation du texte : Au XVIIème siècle, le roman

Comédie-Française, mais dans une version censurée. Cette représentation, ainsi que la deuxième, le 27 février, donna lieu à ce que l’on a appelé “la bataille d’Hernani” : les poètes et écrivains, amis de l’auteur, “la bande d’Hugo”, comme dit Théophile Gautier, s’opposèrent violemment aux tenants de la tragédie classique que ce drame, dans sa conception et son écriture, bousculait. Malgré le charivari dans la salle de spectacle, la pièce eut un succès éclatant, comme en témoignent les trente-six représentations

poète le dédie a son ami proche Théophile Gauthier, lui aussi poète. Baudelaire commence l’écriture de son recueil en 1847, mais il ne le publie dans sa totalité qu’en 1857 par l’éditeur Poulet-Mallasis. Le recueil fait scandale. Quelques mois après cette publication, Baudelaire et son éditeur sont saisis en justice, ils sont accusés d’insanité et d’atteinte à la moralité publique. Même s’il est soutenu par beaucoup des grands auteurs comme Victor Hugo, Théophile Gauthier, Sainte-Beuve, le poète

forme que reprendront plus tard Baudelaire et Rimbaud. - Le goût du passé/nostalgie - La nature → romantisme noir : autre forme de romantisme. Macabre, courant gothique. Imagination morbide dérivant vers le fantastique « La comédie de la mort » de Gautier, dialogue entre une morte et les vers qui la dévorent II/ Le Parnasse Le Parnasse apparaît en réaction contre la « sensiblerie » romantique. Ce courant refuse à cette dernière son expression des sentiments pour se consacrer à une poésie plus formelle

« le premier voyant », « UN VRAI DIEU » Petit point sur les relations de Rimbaud avec ses prédécesseurs exprimé dans sa lettre à Paul Démeny du 15 mai 1871; « Musset est exécrable », « Hugo a été quelquefois voyant, mais est « trop cabochard », Théophile Gauthier est « très voyant ». La nouvelle école parnassienne a deux voyants : «Verlaine et Mérat » (Mérat est oublié aujourd’hui) 2/Une poésie qui reprend des formes déjà connues en poésie : -présence du sonnet -le poème narratif avec accents épiques

! ! ! ! ! ! ! Sommaire: ! ! 1. Paul Verlaine - « Initium » 2. Victor Hugo - « Aimons toujours ! Aimons encore » 3. Arthur Rimbaud - « Sensations » 4. Théophile Gautier - « Cher ange, vous êtes belle » Élégie VII. 5. Victor Hugo - « Demain dès l’aube » 6. Alfred De Musset - « À mon ami Alfred T. » ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Page 1 Préface: ! Ce florilège s’adresse aux personnes sensibles au beau langage qu’exprime la poésie. La poésie est, selon moi

spécifiquement à Victor Hugo, l’une, comme chacun le sait, des figures dominantes de la littérature française du XIXème siècle. Nombreux sont les travaux sur les échanges littéraires Franco-perses consacrés à Montesquieu, Diderot, Voltaire, Gobineau, Théophile Gautier ou encore Leconte de Lisle. Le mutisme concernant Victor Hugo m’a poussé naturellement à limiter mes recherches à sa poésie. J’ai choisi Les Orientales et La Légende des Siècles, œuvres majeures, véritables joyaux de la littérature française