Thérapie génique

Depuis la fin du XIXe siècle, cette évolution concerne le domaine de la thérapeutique avec en particulier la découverte de la radiothérapie puis plus tardivement la découverte du code génétique et ses éventuelles applications dans le domaine de la thérapie génétique. Enfin, la notion d'éthique médicale fait intervenir également les règles scientifiques qui imposent au corps médical dans son ensemble (y compris le corps paramédical avec les infirmières, les kinésithérapeutes, les podologues, les orthophonistes

l’activité des sels minéraux o L’oligothérapie = utilisation d’oligo-éléments (cobalt, nickel, souffre = modificateur de terrains) • Thérapie génique : médicament qui n’est pas une spécialité pharmaceutique, n’est pas fabriqué industriellement, permet de transférer du matériel génétique, ne concerne pas des cellules humaines ou animales. • Thérapie cellulaire : n’est pas une spécialité pharmaceutique, pas fabriqué industriellement, consiste en des cellules d’origines animales qui vont

Nouveau programme de Seconde - Partie III Cellule, ADN et unité du vivant (11 semaines) Situation d'appel. On peut partir des acquis et "connaissances citoyennes" des élèves: cancers, OGM, thérapie génique, génie génétique, évolution des êtres vivants (4ème). Un des objectifs de ce programme (GTD) est de donner aux élèves les connaissances scientifiques leur permettant d'avoir un avis critique concernant ces questions sur lesquelles ils pourraient avoir à prendre position

possibilité de diagnostic anténatal existe. Si l'enfant est reconnu malade, une interruption de grossesse peut être envisagée. Le dépistage des hétérozygotes peut être pratiqué dans les familles des memebres atteints de la maladie. Des programmes de thérapie génique sont possibles. *Le diagnostic néonatal Le diagnostic néonatal peut être effectué dès la naissance grâce au dosage de l'albumine dans le méconium (BM-test ®). L'absence de sécrétion de trypsine par le pancréas du foetus l'empêche de digérer

nouveaux médicaments et l’amélioration de leurs performances (thérapeutique). • La médecine régénérative. Les applications des nanotechnologies en cours de développement permettront en effet l’identification de pathologies, le choix de la thérapie appropriée et le suivi de ses effets, ainsi que le dépistage, chez un individu sain, des prédispositions génétiques à certaines maladies. Certaines analyses biomédicales pourront être effectuées dans de véritables laboratoires miniaturisés en n’utilisant

êtres humains mais à des monstres contre nature. Une autre raison citée dans le document serait la peur. « La responsabilité des chercheurs en génétique humaine » serait la possibilité de modifier le patrimoine génétique d’une cellule humaine par thérapie germinale (qui concerne les cellules reproductrices.) D’ou la peur de transmettre de génération en génération la modification génétique où encor la peur de subir des discriminations social ou autre si le patrimoine génétique d’un individu était

cellules différenciées obtenues par des techniques en cours de mise au point. Ces données ont ébranlé le monde scientifique, commercial et médiatique en laissant penser que les applications du clonage pourraient ouvrir des voies nouvelles pour la thérapie de maladies graves. Les cellules souches embryonnaires multipotentes constituent un potentiel thérapeutique très important. A l’image d’expériences menées sur des animaux (rats, souris, vaches) il devrait être possible de transplanter par exemple

Dans ce cas on donne au virus, transporteur du gène, le nom de « vecteur ». La mise au point de ces vecteurs fait aujourd'hui l'objet de nombreuses recherches dans le monde entier. Elles participent à l'élaboration de ce que l'on appelle « la thérapie génique », qui pourrait nous permettre un jour de guérir des maladies considérées jusqu'ici comme incurables. La mise au point des techniques de génie génétique dans les années 70 a conduit à utiliser les virus comme transporteurs de gènes. Paul Berg

qu'un nombre réduit de cellules seulement est à modifier). Le gène d'intérêt est isolé puis introduit dans l'organisme receveur, le plus souvent par un vecteur viral inoffensif qui le transmet à l'ADN de la cellule, comme pour un OGM. La thérapie génique pourrait facilement devenir une nouvelle méthode eugéniste efficace car l'implantation d'un gène intéressant chez l'embryon humain multiplierait les possibilités en ne se restreignant plus au choix d'une combinaison limitée par les génomes des

comportement. Les crottes de souris obèses contiennent moins de produits finaux de fermentation et moins de calories. 3) Facteurs héréditaires Les causes héréditaires sont peu à peu mieux connus. 6 ou 7 gènes seraient impliqués dans les formes mono géniques (dues à un seul gène) de l’obésité. Une vingtaine d'autres - à faible effet - causeraient ou faciliteraient des obésités dues à l'action conjointe de plusieurs gènes. Mais cela n’explique encore ni tous les mécanismes, ni toute l'héritabilité liée