Therese Raquin Reception Jeudi

[pic] Émile Zola THÉRÈSE RAQUIN (1867) [pic] Table des matières Préface de la deuxième édition 5 Chapitre 1 11 Chapitre 2 16 Chapitre 3 22 Chapitre 4 28 Chapitre 5 32 Chapitre 6 39 Chapitre 7 44 Chapitre 8 53 Chapitre 9 58 Chapitre 10 67 Chapitre 11 71 Chapitre 12 83 Chapitre 13 90 Chapitre 14 97 Chapitre 15 100 Chapitre 16 102 Chapitre 17

The Project Gutenberg EBook of Therese Raquin, by Emile Zola This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: Therese Raquin Author: Emile Zola Posting Date: October 6, 2011 [EBook #7461] Release Date: February, 2005 [This file was first posted on May 4, 2003] Language: French *** START OF THIS

dans Madame Bovary. Le naturalisme rejoint le réalisme dans ce projet de ne dépeindre la réalité qu’après des enquêtes préparatoires. Comme les frères Goncourt, Zola veut être un « raconteur du présent ». C’est ce qu’il est déjà en 1867, dans Thérèse Raquin, que l’on peut considérer comme un roman qui tend vers le naturalisme. Grâce à ses « carnets d’enquête », il peut entreprendre des descriptions très complètes, comme celles de la mercerie (chapitre I) et de la morgue (chapitre XIII), ou l’itinéraire

fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second Empire sont publiées. En 1867, il publie son premier chef d'œuvre : " Thérèse Raquin " roman dans lequel il applique les principes du naturalisme, un mouvement littéraire dont il deviendra le chef de file. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. -Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée

| |Mouvement(s) |Naturalisme | |Genre(s) |Roman, essai | |Œuvres principales | |Thérèse Raquin (Roman, 1867) | |Les Rougon-Macquart (fresque romanesque) dont | |L'Assommoir (1876), | |Nana (1879),

littéraire à l'Evénement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu'on appellera bientôt les impressionnistes par opposition aux peintres académiques 1867 Publication de Thérese Raquin 1868 Publication de Madeleine Férat Il imagine le cycle des Rougon Macquart qui prévoit une vingtaine de volumes. Il en remet le plan à son éditeur, Lacroix Il écrit dans des journaux d'opposition à l'Empire des articles de plus en plus virulents

littéraire à l'Evénement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu'on appellera bientôt les impressionnistes par opposition aux peintres académiques 1867 Publication de Thérese Raquin 1868 Publication de Madeleine Férat Il imagine le cycle des Rougon Macquart qui prévoit une vingtaine de volumes. Il en remet le plan à son éditeur, Lacroix Il écrit dans des journaux d'opposition à l'Empire des articles de plus en plus virulents

Paris France Langue d'écriture Français Mouvement Naturalisme Genres Roman, essai Œuvres principales Les Rougon-Macquart (fresque romanesque) dont : L'Assommoir (1876), Germinal (1885) Le Roman expérimental (Essai, 1880) Nana (1879), Thérèse Raquin, (1867) Compléments Engagement en faveur d'Alfred Dreyfus avec J'accuse…! paru le 13 janvier 1898 Inhumation au Panthéon de Paris le 4 juin 1908 Signature modifier Émile Zola (à l'état civil Émile Édouard Charles Antoine Zola[1])

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second Empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse,