Thermes De Caracalla

de Nîmes, début du Ier siècle apr. J.‑C.). Les monuments civils romains, d'une taille et d'une complexité sans précédent, ne peuvent être construits avec le système grec du poteau et de la poutre: aqueducs (le pont du Gard), bains publics (thermes de Caracalla), basiliques (tribunaux), théâtres, arcs de triomphe, amphithéâtres (le Colisée), arènes, palais. À Rome, le Panthéon, reconstruit entre 118 et 128 apr. J.-C., sous Hadrien – il deviendra plus tard une église chrétienne –, illustre brillamment

siècle avant JC – Cité hellénique Empire Romain IIème siècle après JC Etude comparative entre les deux périodes autour des droits de cité. Introduction : Il faut définir les thermes du sujet ainsi que le cadre spatio-temporel, qu’il faut revoir avant d’énoncé la problématique. Le droit de cité est un thermes existant aussi bien qu’en grec qu’en latin, Latin « Jus civitatis » c’est le fait d’être reconnu comme un membre de la cité, d’être citoyen Cadre spatio-temporel : Ces deux périodes

l’Empereur, avoir la Paix. *Il y a provincialisation du pouvoir. Les Antonins sont natifs d’Espagne. Les Sévères d’Afrique du nord et de Syrie. (Volonté de promouvoir les provinciaux ? Constituer des réseaux de clients plus vastes ?). Edit de Caracalla : 212 de notre ère. Citoyenneté à tous les hommes libres de l’empire. Mesure intéressée pour les uns (accroissement du nombre des contribuables). Mesure révolutionnaire pour les autres (dépassement de la notion de Cité, prélude de l’Etat où la

gradins sont en demi cercle et font face à l'orchestre et à la scène. 2- Le cirque était hors des murailles. Il accueillait principalement les courses de chevaux. 3- L'amphithéâtre. On y voyait des combats de gladiateurs ou des chasses. 4- Les thermes de Constantin.Ce sont des bains publics. -Précision : comme l'empereur à Rome, les magistrats distribuaient du blé, multipliaient constructions ou jeux, moyen de se concilier le peuple. Q4 = Qu'est-ce que l'épitaphe nous apprend de plus sur la romanisation

en résumant de manière très schématique. La titulature comporte : - les titres d’Empereur César (Imperator Caesar) qui font partie du nom de l’empereur - les noms de l’empereur : Lucius Septimius Severus, Marc Aurèle Antonin (notre Caracalla), Marc Aurèle Sévère Alexandre etc… - des surnoms honorifiques tirés de victoire (vainqueur des Parthes (Parthicus), très grand vainqueur des Parthes (Parthicus maximus)) ou de qualités propres à l’empereur (Pieux et Heureux s’imposent progressivement

romain, 10-54) 7 Colisée (amphithéâtre où se tenaient notamment les combats de gladiateurs) 4 Capitole (colline de Rome où Romulus aurait été allaité par la louve, devenue centre religieux et siège du Sénat – également appelé « curie ») 8 Thermes de Trajan 62 3 1 2 4 5 6 7 8 2 Les ruines de Timgad Timgad est fondée en Numidie (Algérie actuelle) en 100 après J.-C. par l’empereur Trajan pour les vétérans de la IIIe Légion, sur la longue voie romaine qui longe les Aurès par le

chercher santé, détente, forme et plaisir. Pendant plus d’un siècle, les établissements ont su maintenir l’intérêt pour ces bains thermaux et ils sont restés ainsi en capacité de faire évoluer leur concept et moderniser leurs équipements. Les thermes de Caracalla à Baden-Baden, en Allemagne, sont connus de tous les adeptes des bains thermaux ; plus de 20 ans après, ils restent une référence rarement égalée. Aujourd’hui, la plupart des stations thermales en Allemagne proposent non seulement ce qu’il

nom de Thamugadi (colonia Marciana Traiana Thamugadi) dans l'Antiquité, a été fondée par l'empereur Trajan en 100 ap. JC et dotée du statut de colonie. Il s'agit de la dernière colonie de déduction en Afrique romaine. Bâtie avec ses temples, ses thermes, son forum et son grand théâtre, la ville, initialement d'une superficie de 12 hectares, finit par en occuper plus d'une cinquantaine. La ville, au vu de son état de conservation et du fait qu'on la considérait comme typique de la ville romaine, a

000 places. Il était le plus grand des Gaules et l’un des plus grands du monde romain. L’aqueduc de Gorze à Metz long de 22 km traversant la Moselle et dont on voit les arches à Jouy-aux-Arches alimentait la ville en eau. Les vestiges de plusieurs thermes — dont l’un sur le site de l’actuel musée — ont été trouvés. Par ailleurs, une vaste nécropole s’étend au sud de la ville de part et d’autre de la voie vers Lyon. Les nombreuses stèles funéraires exposées au musée gallo-romain de Metz ainsi que de

consacré : • Aux temples : un pour chaque divinité de n’importe quelle religion car les romains sont superstitieux • Au forum : c’est un lieu de délibération • À une basilique : on y rend la justice, fait du commerce, on expose des oeuvres d’art • À des thermes • À un amphithéâtre : on y fait des naumachies, des nemationes, des gladiateurs Tous ces éliments impriment un paysage romain, où tout le monde vénère l’empereur et Jupiter, dieu des dieux. Les peuples conquis adoptent rapidement l’usage romain. On