Thermes de Trajan

maintenant les nations converties qui constituent le "vrai Israël spirituel et sont appelées à devenir "dieux" par la grâce du Saint-Esprit. Continuant ses périples, Justin fit deux séjours prolongés à Rome et s'installa dans une maison, près des Thermes de Timothée, où il enseignait la doctrine de la vérité à ceux qui venaient le trouver. Pour lui, philosophe devenu Chrétien, la Parole de Dieu, révélée dans l'Evangile, représente non seulement l'accomplissement des oracles des Prophètes mais elle

nature des sources mais c’est les places qu’on leur accorde qui ont évoluée et ceci découle de notre façon de penser le droit. Chapitre I : Pensée de droit Les concepts de droit et de justices nous sont familiers. La façon dont nous utilisons ces thermes traduit la conception moderne du droit. Par exemple : « j’ai le droit ! » est une expression courante de nos jours qui traduit une idée ; le droit est l’attribut d’une personne, d’un pouvoir, d’une capacité. C’est la théorie, la conception du droit

royale, qui, en consommant la ruine de l’oligarchie, rénovât l’empire et l’impérialisme de Rome ». Octave parachève l’évolution en trouvant une solution définitive mettant fin aux tâtonnements politiques. Cent cinquante plus tard, l’empire en paix de Trajan compte 3 300 000 km². Dès Auguste, Virgile, Horace proclament le nouvel âge d’or, « époque de paix et de bonheur » selon les inscriptions. Mais l’âge d’or ne va pas sans sacrifices : Florus (II, 14) note que l’empire autoritaire était inévitable et

Ce type de décor a une capacité structurante intéressante. La Domus Aurea (64-68 p.C.) était un lieu d’ostentation du pouvoir. Avec le suicide de Néron et les incendies, la maison est désinvestie. Au IIe siècle, Trajan décide, pour favoriser sa popularité, d’y construire des thermes. Plutôt que de détruire les restes de la maison, il va les combler pour construire au-dessus. C’est alors qu’on découvre les cycles de peinture et la statue d’Aurum, qui va avoir un impact énorme. On découvre aussi

architecturaux ont été dégagés par les fouilles : l’arc de Trajan placé à l’entrée de la ville sur le décumanus, le Forum au croisement du décumanus et du cardo, entouré du tribunal, de la curie, d’un temple et de boutiques, un théâtre à proximité. Plus loin, on trouve les thermes et à nouveau des boutiques et un temple. 3. Les bâtiments correspondent à des fonctions politiques et militaires, judiciaires, culturelles et commerciales. Les thermes abritant les bains publics sont en même temps un lieu de

par l'expansion grecque, a fait de l'Occident une civilisation urbaine. La ville fut pour Rome, un relais de pouvoir, mais ce fut aussi un lieu d'implantation culturelle que l'architecture matérialisait : rues, places, temples, théâtres, arènes, thermes, etc. • Quant aux routes, disons que jusqu'aux temps modernes, les Occidentaux ont toujours trouvé plus simple de se déplacer et, surtout, de transporter les marchandises par voie d'eau (cabotage le long des côtes et transports fluviaux). Cependant

Sala (actuelle Salé) et aux Îles Purpuraires de Mogador. Au cours de la période romaine, les cités, colonies et municipes de droit romain ou latin, se dotent de monuments civiques et utilitaires (temples, forums, basiliques, arcs de triomphe, thermes, et même théâtre à Lixus) et de résidences privées ornées d'œuvres d'art (sculptures, mosaïques) et destinées à l'élite maure romanisée. Les plaines cultivées sont partagées par l'aristocratie locale, qui s'enrichit notamment de l'exploitation de

de Dioclétien la province est réduite à la côte nord et à Sala (actuelle Salé). Au cours de l'occupation romaine les cités, colonies de droit romain ou latin, se dotent de monuments civiques et utilitaires (temples, forums, basiliques, arcs de triomphe, thermes, et même théâtre à Lixus) et de résidences privées ornées d'œuvres d'art (sculptures, mosaïques) et destinées à l'élite maure romanisée. Les plaines cultivées sont partagées par l'aristocratie locale, qui s'enrichit notamment de l'exploitation de

: Suétone, Vie de Vespasien, XXIII. 36 © Eyrolles Pratique « Du pain et des jeux. » JUVÉNAL, vers 110-120 Le Latin Juvénal (vers 55-vers 140) fut un satiriste assez obscur, au cœur de la pax romana sous les empereurs Domitien, Nerva, Trajan puis Hadrien (qui ont régné de 81 à 138). Cet auteur famélique, ancien professeur d’éloquence, se plantait aux carrefours et déclamait ses poèmes. Dans une langue souvent crue, il moquait les sénateurs ventripotents, les affranchis parvenus ou les

est créée avec : Vespasien, 69-79 ; Titus, 79-81, au règne attristé par la destruction de Pompéi en 79 ; Domitien 81-96. Puis la dynastie des Antonin remplaça celle des Flavien et fonctionna par adoption. Six empereurs se succédèrent. Nerva, 96-98 ; Trajan, 98-117 ; Hadrien, 117-138 ; Antonin, 138-161 ; Marc-Aurèle, 161-180 ; Commode, 180-192, fils de Marc-Aurèle et monstre incapable, fut assassiné. L’Empire du IIIe siècle et le Bas-Empire des IVe et Ve siècles connurent des périodes d’anarchie, favorables