These De L Inconscient

moins une question psychologique que la question de la psychologie. » Freud, L’interprétation du rêve, O.C.,IV, Paris PUF, 2003, p.666. Introduction Qu’est-ce que l’esprit ? Et peut-il être inconscient ? Ce sont là deux questions distinctes qui pourtant ont été confondues dans la thèse conscientialiste, thèse qui identifie l’esprit à la conscience et qui est très explicitement formulée chez Locke. Une idée ne peut exister dans l’esprit sans que ce dernier ne puisse en être conscient, car si une telle

projeter consciemment et librement vers des fins en sauvant ainsi l'homme de la notion de déterminisme qui régit les phénomènes naturels. De fait, si une personne décide de faire le mal, il n'est en aucun cas poussé par ses passions, ni par son inconscient ni par l'influence d'une autre personne. La question de savoir si on peut vouloir le mal nous amène à nous demander si l'on peut faire le mal volontairement et librement, en sachant que ce l'on fait est mal ? Ou bien fait-on le mal que par aveuglement

une patiente tente de réfuter la thèse avancée par Freud en lui racontant un de ses rêves. Le deuxième, de la ligne 10 à 29, montre l’analyse du rêve faite par Freud avec la patiente. Enfin, de la ligne 30 jusqu’ à la fin du texte, il donne une seconde explication au rêve de sa patiente, ce qui constitue le troisième mouvement du texte. Dans la première partie du texte, Freud donne la parole à une patiente qui commence par le contredire et aussi contredire sa thèse qu’il avance, en lui racontant

montrer la nécessité de sa théorie qui donne un sens à l’insensé, Alain se demande aussi comment se passer de la psychanalyse pour expliquer l’inconscient. Pour lui, la thèse de Freud n’est pas indispensable et il démontre que l’on peut tout expliquer sans le Freudisme. Par le biais de ce texte polémique, l’auteur illustre la thèse suivant : L’inconscient est un mécanisme du corps, nous sommes une seule et unique personne. Il y a aussi pour Alain la nécessité de reconnaître la primauté du sujet

Traité de la nature humaine, Hume défend une thèse empirisme quant au sujet. D’après lui, le sujet se constitue à travers la somme de ses expériences, autrement dis grâce à la perception. En effet, la perception est ce qui nous relie au monde par l’entremise de nos sens. Perception vient du latin per-capio qui signifie « prendre à travers », c‘est à travers les sens que nous prenons et comprenons le monde. Ainsi Hume, s’oppose manifestement à la thèse cartésienne qui défend un sujet dégagé de

surgirait d'une partie inconsciente présente en l'homme. On peut diviser cet extrait afin de traiter quatre parties distinctes. La première nous montre que Freud réfute la thèse de Rousseau, en donnant sa position. Nous verrons ensuite les différentes formes d'agressivité qui surviennent chez l'homme ainsi que les conditions qui poussent cette agressivité à s'exprimer. Enfin nous analyserons les conséquences de cette violence sur les sociétés. Rousseau énonce une thèse qui serait que l'homme est

échappe à notre connaissance, refoulées en dehors de notre conscient par un phénomène appelé censure , il existe une sorte de gardien entre notre conscient et notre inconscient , qui pousse dans l’inconscient les désirs refoulés , les souvenirs désagréables , ceux qu’on veut oublier , ceux qui nous dérange. Mais les forces inconscientes arrivent quand même à passer dans notre conscient, grâce à ce qu’on appel des actes manqués , comme par exemple des oublis , des lapsus , ainsi que dans les rêves ou

Cet extrait de texte de Bergson, L'énergie Spirituelle s'appuie sur la thèse que la conscience se retire de nos actions lorsque celles ci deviennent automatiques. La conscience est une capacité de retour sur soi, de réflexivité, c'est la question même de l'identité. Dans ce texte, Bergson affirme qu'à un certain moment de notre apprentissage, la conscience laisse place à l'inconscience, ce qui développe en l'homme un automatisme.Ici, Bergson nous parle du libre arbitre, à partir de quand ne sommes

connue, ou objet. Inconscience : absence totale de conscience psychologique et morale. L’inconscience n’est là que grâce à l’inconscient, ce n’est en aucun cas une réalité a part entière. L’inconscience n’est là que par nature ou momentanément. Inconscient : il désigne une obscurité fondamentale dans l’être humain, qui l’empêcherait d’avoir une parfaite maîtrise de lui-même, et qui dans les cas extrêmes le rendrait étranger à lui-même. Il est une partie du psychisme. C’est une réalité à part entière

nécessaire, il faut prendre conscience de l’inconscient, il en donne d’ailleurs les raisons en citant les actes manqués et les rêves pour les personnes saines et les symptômes psychiques, phénomènes compulsionnels chez les malades. La formation de cette thèse est nécessaire afin de faire comprendre aux personnes cartésiennes que tout n’est pas forcément calculé, prévu et décidé, qu’il y a une pensée en dehors de la conscience : l’inconscient, qui a une grande place dans les agissements de chacun même si