Thiers

députés peuvent de nouveau donner leur avis au pouvoir (p.138), en 1862, le Corps Législatif peut voter le budget des ministères et donc contrôle les finances nationales. Les élections de 1863 permettent de redonner de la voix à l’opposition emmenée par Thiers qui en 1864 prononce un discours sur les libertés nécessaires. Ensuite au niveau économique : le pouvoir en ouvrant le marché français à l’Angleterre permet la modernisation de l’économie et donne le coup de départ de la grande période d’industrialisation

ses partisans estiment que la charte de 1830 n’est qu’une étape vers un régime plus démocratique. Ils sont favorables à une extension du pouvoir du suffrage (abaissement du cens). On trouve dans ce parti le centre gauche dont le leader est Adolphe Thiers, et l’opposition dynastique dont le leader est Odilon Barrot. - Parti de la Résistance, ou centre droit, estime que l’essentiel a été fait avec la charte de 1830. Cette branche accède au pouvoir avec Casimir Perrier. Il met en œuvre une politique

l'enseignement primaire et sous sa direction, le nombre d'écoles primaires en France a augmentait jusqu’à 23 000 pendant 15 ans. Le 5 février 1840, il était envoyé comme ambassadeur à Londres mais la chute de son rival Adolphe Thiers le fait revenir au gouvernement. Démission de Thiers, trop militants pour le chef du gouvernement, conduisait maréchal Soult sur la poste de tête de gouvernement mais c’était Guizot qui était le réel chef du Cabinet de 1840 à 1848. Sa politique se résume en trois mots :

IHEP : « La république existe, elle est le gouvernement légal de la France, vouloir autre chose serait une révolution et la plus redoutable de toute » (Adolphe THIERS) « Mon principe est tout, ma personne n’est rien » (conte de CHAMBORD) « 7 ans, c’est le temps nécessaire pour que Dieu lui ouvre les yeux ou lui les ferme » (conte de CHAMBORD) «  Monsieur le président, lorsque le pays aura parlé il faudra vous soumettre ou vous démettre » (GAMBETTA) HDIP : RI : DC : « chacun a le droit

heures le matin, âgé de 65 ans, du à d’incessantes maladies qui l’ont affaiblie et fini par achever. Pas d’information sur les maladies. Pour ce qui l’a influencé dans sa peinture, c’est son amitié avec les protagonistes du conflit comme Adolphe Thiers qui hésitaient encore entre maintien de la Monarchie constitutionnelle et rétablissement de la République. Sa dépendance des commandes institutionnelles et des membres de la famille royale, et son ambiguïté personnelle l'auraient confiné dans le rôle

village de La Treille, à la périphérie de Marseille6, et ses collines constitueront ce paradis de l'enfance heureuse où se déroulent les plus beaux épisodes de ses fameux Souvenirs d'enfance. Reçu second à l'examen des bourses, il entre au lycée Thiers en 1905 où il poursuit de brillantes études, malgré une vie de demi-pensionnaire mouvementée, épopée savoureuse qu'il racontera dans les deux derniers tomes de Souvenirs (Le temps des secrets, Le temps des amours). C'est là qu'il commence à écrire

Paris. Les élections municipales du 26 mars 1871 portent au Conseil de la Commune une majorité de membres délégués par le Comité central de la Garde nationale, la minorité modérée élue (Clemenceau, Ranc, etc.) démissionnant rapidement. Adolphe Thiers, chef du gouvernement installé provisoirement à Versailles, l'écrase militairement entre les 22 et 28 mai lors de la Semaine sanglante qui reste à ce jour la dernière guerre civile qu'ait connu Paris. Les élections municipales du 30 juillet 1871

critère pour accéder au droit de vote et une méthode restrictive. Il existe d’autres impôts et contributions qui ne sont pas prises en compte et qui pourtant pèsent sur une grande partie de la population. Le discours du 31 mai 1850 d’Adolphe Thiers à l’Assemblée législative concerne la restriction du suffrage universel. La gravure diffusée en avril 1848 aborde également le thème du suffrage universel, qui selon la légende, permet une lutte politique loyale. Ces deux documents ont un thème commun

et journaliste Marrast. Le parti orléaniste, parrainé par Talleyrand, s’érige en contre et réclame la déchéance de Charles X et l’intronisation du duc d’Orléans. Tous ces opposants sont publiquement soutenus par les fondateurs du National, Adolphe Thiers, Armand Carrel et Auguste Mignet. La presse censurée ne cesse plus dès lors d’être à l’avant-garde du combat, jusqu’à être à l’origine directe des Trois Glorieuses. II. De la crise à la Révolution 1. Les ordonnances de Saint-Cloud

Mimerel, puissant filateur roubaisien, on l'avait surnommé le « vice-roi du Nord » qui tint sous le Second Empire le rôle officieux et généralement ignoré de chef du patronat françai[s]. Il convient aussi de noter leurs liens d'amitié avec Adolphe Thiers, et leur refus déterminé du libre-échange. Ils exercèrent quelques mandats locaux, souvent de conseillers généraux ou municipaux ; de plus, Gustave Scrive-Thiriez fut élu maire de la Madeleine en 1936, ce qui le plaça dans la position délicate d'avoir