Thomas Corneille

Nous sommes à l’époque du théâtre classique, l’un des auteurs de ce courant littéraire se nomme Corneille. Nous étudions une pièce de théâtre, Le Cid, écrit en 1636 par cet auteur. C’est une tragi-comédie, qui met en scène pour personnages principaux deux amants, Rodrigue et Chimène, ainsi que leurs pères et des servantes. Rodrigue et Chimène s’exprime de façon lyrique dans leur discours avec certains passages de registre pathétique. Les deux amants s’aiment réciproquement, or le père de Chimène

Pierre Corneille Pierre Corneille est né à Rouen en 1606 dans une famille de magistrats. Après des études chez les Jésuites, il se détourne de la carrière juridique pour se consacrer à l'écriture dramatique. Le triomphe du Cid (1637) en fait le maître du théâtre classique français. Ses pièces jouées par la troupe de l'Hôtel de Bourgogne obtiennent de vifs succès. Élu à l'Académie Française (1647), il connaît par la suite plusieurs échecs retentissants : un jeune rival ambitieux, Jean Racine,

Corneille et Racine Corneille et Racine étaient des dramaturges français du 17e siècle. Ils étaient des rivaux et chacun avait des opinions très différentes à cause de leur âge. Plus tard dans leur vie, quand Corneille avait déjà 64 ans et que Racine était encore très jeune avec ses 31 ans, ils entreront en compétition en écrivant chacun une pièce de théâtre sur le même thème, une ancienne histoire romaine: celle de Titus et Bérénice. Jean Racine Jean Racine est né le 22 décembre 1639. C’était

Cette scène commence par des répliques très courtes dans lesquelles Rodrigue interpelle le Comte («À moi, Comte, deux mots»). Les répliques de Rodrigue se poursuivent par une série d'interrogations auxquelles le Comte répond tout d’abord par des monosyllabes traduisant le mépris qu’il éprouve pour son interlocuteur («Parle», «Oui»…). Ces questions n’attendent pas particulièrement de réponses («Connais-tu bien don Diègue ?», «Sais-tu que ce vieillard fut la vertu même […] ?»). Ce sont des interrogations

En 1637, Pierre Corneille, un dramaturge français, écrit la pièce Le Cid. Cette tragédie lui valut son succès et son échec : l’œuvre fut très admirée, mais tant de gloire lui attira la jalousie des autres écrivains de son époque. Elle fut donc fortement critiquée, car elle ne respectait pas les règles du classicisme, le courant littéraire de cette époque. L’analyse portera sur un extrait de cette pièce, la sixième scène du premier acte soit le monologue de Rodrigue. Celui-ci est alors déchiré dans

registre fantastique b) Une faute omniprésente c) Le caractère injuste de cette mort III/ Utilisation du registre du malheur a) Le tragique b) L’élégiaque c) Le pathétique Rodogune (1645), Pierre Corneille, Acte V, Scène 1 Le monologue de Cléopâtre Corneille : * 1606 – 1984 * Dramaturge * Baroque et Classicisme I/ Fonctions du monologue a) Informative b) Justification des crimes c) Autour de Rodogune (personnage omniprésent) II/ Autoportrait du monstre

Face à ces exigences contradictoires, les héros tragiques se trouvent placés devant ce qu’on appelle un « dilemme » : ils doivent faire un choix entre deux solutions, souvent extrêmes.  Exemples de dilemme « cornélien » : E Dans Cinna de Corneille (1642), Auguste est tiraillé entre sa volonté de vengeance et la clémence, qualité d’un grand souverain. Il apprend que tout son entourage, à l’exception de sa femme Livie, souhaite sa perte. Cinna a été poussé par Émilie qui souhaite tuer

Présentation : Le menteur a été écrit par Pierre Corneille, édité par Magnard dans la collection «  Classique & Contemporain ». Il est organisé en V actes. L’Auteur : Corneille est de nationalité française (originaire de Rouen), il vécut au XVIIème siècle. Biographie : Pierre Corneille est né à Rouen le 6 juin 1606 d’une famille de moyenne bourgeoisie. Il devient avocat en 1628, non pas par vocation mais pour faire plaisir à son père

Le texte étudier est un extrait de l'Acte I, scène 4 de l'oeuvre théâtrale Médée écrit en 1635 par Pierre Corneille auteur dramatique français du XVII eme siècle et appartenant au mouvement littéraire du Classicisme. Ce texte écrit en alexandrin nous montre une Médée emprunte de passion de vengeance. Nous nous demanderons donc quel portrait de Médée nous offre ce monologue ?Tout d'abord Médée s'offre à nous dans le portrait d'une femme furieuse. Médée se trouve donc dans une grande colère. Le ton

Commentaire de texte, Médée (Corneille), Acte V, scène 2 Ce monologue est issu d'une tragédie écrite par Corneille en 1634, intitulée Médée. Dans ce passage, Médée, personnage éponyme exprime sa douleur et sa colère qui l'amène à débattre intérieurement sur la possibilité de se venger de la trahison de son époux. Dans un premier temps nous verrons comment Médée exprime sa soif de vengeance puis dans un second temps, le dilemme auquel elle se trouve confrontée. Au début de ce monologue, Médée se pose