Thraces

(en latin Caius Iulius Phaedrus ou Phaeder, en grec ancien Φαῖδρος) est né autour de 14 avant J.-C. et mort vers 50 après J.-C. C'est un fabuliste latin d'origine thrace, affranchi de l'empereur Auguste. es seuls renseignements dont on dispose au sujet de Phèdre proviennent du fabuliste lui-même, au travers de son œuvre1. Né en Thrace, probablement dans la colonie romaine de Philippi, Phèdre vint comme esclave à Rome, sans qu'on sache dans quelles circonstances, peut-être encore tout jeune : les

Philippe II avait déjà établi les bases de la grande puissance macédonienne. Lorsqu'il était arrivé au pouvoir en 359 av. J.-C., l'État limitrophe grec se trouvait dans une situation déplorable. Il menaçait d'imploser en raison des conflits entre les Thraces et les Illyriens. Philippe II avait évincé ses adversaires, éradiqué la menace de guerre civile et mis en place une armée macédonienne exceptionnellement puissante, qui fut un excellent point de départ pour les campagnes d'Alexandre.     En battant

Christianisme. Nous allons d’abord raconter le mythe en question, voir ses origines possibles et des interprétations du mythe, puis ses influences dans les cultes et les religions. I. LE MYTHE[2] Le père d’Orphée serait Œagre[3], un roi de Thrace ainsi qu’un dieu fleuve. Parfois, Orphée est dit fils d’Apollon. Sa mère serait la muse Calliope, fille de Zeus et de Mémoire[4]. Orphée est reconnu pour ses extraordinaires talents de musicien. On dit qu’il pouvait charmer les bêtes sauvages, faire

Achille qui était déguisé en jeune fille dans l’île de Scyros, et l'emmena combattre devant Troie. Au cours de cette guerre, il enleva le Palladium, statue de Minerve, protectrice de la ville et enfermée dans la citadelle d'Ilion ; il tua Rhésus, roi de Thrace, venu au secours des Troyens, et emmena ses chevaux au camp des Grecs ; il contraignit Philoctète, quoique son ennemi, à le suivre au siège de Troie avec les flèches d'Hercule.C'était à ces trois conditions seulement que la ville pouvait être prise

Au début du XXe siècle, il ne possède plus que l’Albanie, la Macédoine et la Thrace car de nombreux petits pays sont nés : (par exemple) la Serbie (1882) et la Grèce. En 1912 et 1913 les Guerres Balkaniques éclatent, elles ont pour but de chasser les Turcs et les Bulgares. Les grands vainqueurs de ces guerres sont les Grecs et les Serbes. Les grands vaincus sont l’Empire Ottoman (qui ne conserve que la Thrace Orientale où se trouve Constantinople) et la Bulgarie. Le nationalisme serbe

et d’Ianthé. "son manteau couleur de safran"  : Les jeunes mariées, à Rome, portaient un voile jaune safran. "la contrée des Ciconiens"  : Les Ciconiens, ou Cicones, habitaient les côtes méridionales de la Thrace, la patrie d’Orphée (au nord de la Grèce). "la torche même qu’il tient"  : Il s'agit de la torche nuptiale, tenue par le dieu Hyménée conformément aux rites du mariage ; mais ici elle brûle mal, se consume sans flamme en faisant

Oural et de Sibérie. L'armée perse, victime de la stratégie de la terre brûlée menée par les Scythes, échappera au désastre et à l'encerclement grâce à la loyauté du contingent grec, qui gardera le pont sur le Danube (Ister). Darius annexera la Thrace. Le roi Amyntas Ier de Macédoine reconnaîtra la suzeraineté de la Perse en 513 avant Jésus-Christ. L'île de Samothrace tombera sous le joug perse cinq années plus tard. Athènes sollicitera l'alliance achéménide au cours de la même période. Les

la poésie courtoise. Origine du lyrisme: Le lyrisme vient de la mythologique avec Orphée. À l'origine on trouve le mot lyre. C'était l'instrument de prédilection d'Orphée, le premier poète dans la mythologie grecque. C'était le chantre de Thrace : L'Europe centrale. Orphée lorsqu'il récitait ses poèmes, sa voix avait une telle puissance qu'il pouvait charmer les monstres ou déplacer les pierres. Il avait un pouvoir sur les éléments. A l'époque d'ailleurs, on considérait le poète était celui

éditées dans le recueil " Alcools " par la nrf, Poésie/Gallimard. Le cycle de poèmes présente de façon rythmique Orphée, en le reliant directement à la culture chrétienne. Dans ses notes, Guillaume Apollinaire commente : " Orphée était natif de la Thrace. Ce sublime poète jouait d'une lyre que Mercure lui avait donnée. Elle était composée d'une carapace de tortue, de cuir collé à l'entour, de deux branches, d'un chevalet et de cordes faites avec des boyaux de brebis. […] Quand Orphée jouait en chantant

Marc-Aurèle qui retrace la vie de l’empereur romain et pacifiste : Hadrien. Dans cet extrait situé dans la dernière partie du roman : intitulé « patienta » où Hadrien organise ses dernières tâches et notamment celle de sa mort.1ère partie (L1-10 «..cavalier Thrace ») : La préparation d’Hadrien à sa mort qui approche2e partie (L10-25 « ..pleurs délicieux»): Les réactions des intimes à sa mort qui approche3e partie (L25-fin texte « ..yeux ouverts »):un adieu lyrique qui efface HadrienComment Hadrien recourt-il