Thrène

solidaire des rites, la poésie de circonstance a recours à un discours codifié qui s’explique par le caractère lui-même très réglé des cérémonies. C’est la circonstance, alors, qui dicte la forme : les épithalames pour le mariage ; les nénies et les thrènes pour les funérailles ; les péans pour la victoire ; les dithyrambes pour les éloges ; les poèmes d’apparat pour les généalogies ; les hymnes, les psaumes, les litanies pour l’adoration des dieux, l’énumération de leurs noms, le catalogue de leurs

paroles une série de nouvelles lues dans la presse, accolé à une « ritournelle » de Paul (« Woke up, fell out of bed… »), le tout séparé par 24 mesures contenant un fameux glissando d'orchestre symphonique (clairement repris de Krzysztof Penderecki (Thrène à la mémoire des victimes d'Hiroshima, 1960) et de Iannis Xenakis (Metastasis, 1955), donnent le titre A Day in the Life. Ils écrivent ensemble la phrase « I'd love to turn you on » (« J'aimerais te brancher ») qui fait scandale pour sa connotation

voyons donc, Juste ! Je ne veux rien à ton cerveau torpide. « C'est toi le Juste, enfin, le Juste ! C'est assez ! C'est vrai que ta tendresse et ta raison sereines Reniflent dans la nuit comme des cétacés ! Que tu te fais proscrire, et dégoises des thrènes Sur d'effroyables becs de canne fracassés ! 63 VOYELLES A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles

voyons donc, Juste ! Je ne veux rien à ton cerveau torpide. « C'est toi le Juste, enfin, le Juste ! C'est assez ! C'est vrai que ta tendresse et ta raison sereines Reniflent dans la nuit comme des cétacés ! Que tu te fais proscrire, et dégoises des thrènes Sur d'effroyables becs de canne fracassés ! « Et c'est toi l'oeil de Dieu ! le lâche ! Quand les plantes Froides des pieds divins passeraient sur mon cou, Tu es lâche ! ô ton front qui fourmille de lentes ! Socrates et Jésus, Saints et Justes, dégoût

voyons donc, Juste ! je ne veux rien à ton cerveau torpide. " C'est toi le Juste, enfin, le Juste ! C'est assez ! C'est vrai que ta tendresse et ta raison sereines Reniflent dans la nuit comme des cétacés, Que tu te fais proscrire et dégoises des thrènes Sur d'effroyables becs-de-cane fracassés ! " Et c'est toi l'oeil de Dieu ! le lâche ! Quand les plantes Froides des pieds divins passeraient sur mon cou, 72 Tu es lâche ! Ô ton front qui fourmille de lentes ! Socrates et Jésus, Saints et Justes

Je ne veux rien à ton cerveau torpide. " C'est toi le Juste, enfin, le Juste ! C'est assez ! * 80 Poèmes C'est vrai que ta tendresse et ta raison sereines Reniflent dans la nuit comme des cétacés ! Que tu te fais proscrire, et dégoises des thrènes Sur d'effroyables becs de canne fracassés ! " Et c'est toi l'oeil de Dieu ! le lâche ! Quand les plantes Froides des pieds divins passeraient sur mon cou, Tu es lâche ! ô ton front qui fourmille de lentes ! Socrates et Jésus, Saints et Justes, dégoût

paroles une série de nouvelles lues dans la presse, accolé à une « ritournelle » de Paul (« Woke up, fell out of bed… »), le tout séparé par 24 mesures contenant un fameux glissando d'orchestre symphonique (clairement repris de Krzysztof Penderecki (Thrène à la mémoire des victimes d'Hiroshima, 1960) et de Iannis Xenakis (Metastasis, 1955), donnent le titre A Day in the Life. Ils écrivent ensemble la phrase « I'd love to turn you on » (« J'aimerais te brancher ») qui fait scandale pour sa connotation

nouvelles lues dans la presse, accolé à une « ritournelle » de Paul (« Woke up, fell out of bed… »), le tout séparé par 24 mesures vides, qui sont remplies par un fameux glissando d'orchestre symphonique (clairement repris de Krzysztof Penderecki (Thrène à la mémoire des victimes d'Hiroshima, 1960) et de Iannis Xenakis(Metastasis, 1955), donnent le titre A Day in the Life. Ils écrivent ensemble la phrase « I'd love to turn you on » (« J'aimerais te brancher ») qui fait scandale pour sa connotation

nouvelles lues dans la presse, accolé à une « ritournelle » de Paul (« Woke up, fell out of bed… »), le tout séparé par 24 mesures vides, qui sont remplies par un fameux glissando d'orchestre symphonique (clairement repris de Krzysztof Penderecki (Thrène à la mémoire des victimes d'Hiroshima, 1960) et de Iannis Xenakis (Metastasis, 1955), donnent le titre A Day in the Life. Ils écrivent ensemble la phrase « I'd love to turn you on » (« J'aimerais te brancher ») qui fait scandale pour sa connotation

; on peut les dire fils de la Terre ^, laquelle « enfanta les apparitions des soitges* », ou bien «est mère des songes aux ailes noires' ». 1. Perse, Prologue. 2. Voir plus loin, chap. VIII. 3. Homère, Iliade, II, début; Pindare, frg., Thrènes, 2» édit. Puech; Eschyle, Eumén., 104; Platon, Banquet, 203 a; Républ., 571 c; Timée, 71 d. 4. Iliade, II, 5. 5. Odyssée, XXIV, 12; Virgile, Enéide, VI, 283. 6. Euripide, /. T., 1283. 7. Euripide, Hécube, 69-71. CÉRÉMONIES DIVERSES