Thrène

attributs d’une musique de contestation Je sais reconnaître une musique contestataire et le justifier Autres exemples de musique qui dénonce : • • • • U2 : Sunday bloody Sunday http://www.youtube.com/watch?v=EM4vblG6BVQ&feature=fvst Penderecki: Thrène aux victimes d’Hiroshima http://www.youtube.com/watch?v=_Fsqa55qhUQ&feature=related Boris Vian: La Java des Bombes Atomiques http://www.youtube.com/watch?v=eryzp0Pklc8 Jean Ferrat : Nuit et Brouillard http://www.youtube.com/watch?v=dey3HRTJKEM

ont lieu après l'accouchement. La femme emmène son enfant tout autour du foyer avec le père qui reconnaît alors son enfant. Les femmes se chargent du soin des corps des morts. Elles font des rituels de déploration des morts. Elles exécutent alors le thrène. Certaines fêtes religieuses civiques sont dédiées aux femmes. Les femmes de citoyens ont des places importantes dans les fêtes de la cité comme celle des Thesmophories consacrée à Déméter et à sa fille Korê. Cette fête dure trois jours au mois

l’horreur de la guerre ? Arts du langage : Mémoire de guerre, De Gaulle –Quoi de neuf sur la guerre, Robert Bober (1993) – théâtre : Le voyageur sans bagage, Jean Anouilh – L’Atelier, J.C. Grumberg Arts du son : « War Requiem » de B Britten – « Thrènes à la mémoire des victimes d’Hiroshima » de Penderecki – « Un survivant de Varsovie » de Shhöenberg Arts du spectacle vivant : L’Atelier de Grumberg, mise en scène de Gildas Bourdet au Théâtre de la Criée à Marseille, 1999 (extraits sur TV5.org)

engagé : -« Né en 17 » de J.J GOLDMAN -« Sunday, bloody Sunday » de U2 -« La nuit transfigurée » de SCHOENBERG -« West side story » de GERSHWIN -« Manhattan Kaboul » de RENAUD L’art, La Shoah et le devoir de mémoire : -« Thrènes à la mémoire des victimes d’Hiroshima » de PENDEREKI La Ville  L’art et les utopies : -« Pacific 231 » de HONEGGER -« Paris Canaille », « Il est cinq heures, Paris s’éveille »…FERRE, DUTRONC… -Musiques de films:

spectacle, qui se déploiera à nouveau en deux temps. C'est toujours le fusil à deux coups de la représentation de l'horrible : d'abord l'enfant mort (vers 38-42), dont l'expression phonique dominante d'assonances en [u] et de nasales plaintives figure le thrène. L'enfant est déjà un cadavre doté, si l'on peut dire, de tous ses attributs : il est dans le cercueil de sa « couche » et porte un masque mortuaire. Le vocero des vers 39 à 42 redonne sa dignité à une agonie dont le narrateur n'a pourtant pas été

XENAKIS L’art engagé : -« Né en 17 » de J.J GOLDMAN -« Sunday, bloody Sunday » de U2 -« La nuit transfigurée » de SCHOENBERG -« West side story » de GERSHWIN -« Manhattan Kaboul » de RENAUD L’art, La Shoah et le devoir de mémoire : -« Thrènes à la mémoire des victimes d’Hiroshima » de PENDEREKI La Ville  L’art et les utopies : -« Pacific 231 » de HONEGGER -« Paris Canaille », « Il est cinq heures, Paris s’éveille »…FERRE, DUTRONC… -Musiques de films: « Star wars » (WILLIAMS), « Blade

De sorte que, si nous évitons les outrances de Platon contre le corps et la sensibilité, si nous nous défions de l’ascétisme antihédoniste de la religion, si nous fuyons la tonalité de la philosophie lorsqu’elle débute le chant de la liberté par le thrène du déterminisme universel, il devient possible en toute conscience de goûter la chance extrême d’être un homme, puisqu’aussi bien les plus terribles tyrannies, les plus odieuses idéologies n’ont jamais pu que renforcer ce besoin fondamental de liberté

Histoire des Arts MEMOIRE VILLE 1. Présentation Titre Auteur Date Guernica Pablo Picasso 1937 Thrènes à la mémoire des victimes d’Hiroshima, Krzysztof Penderecki 1960 Personnes Christian Boltanski 2010 Villa Savoye Le Corbusier 1931 City Life Steve Reich 1995 2. Contextualisation Auteur Commande et processus de création Lieu Période Pablo Picasso (1881-1973), peintre espagnol

bien la scène) ; mais à peine présenté comme plein, le coffre se vide.. Pour se remplir de nouveau, dans une exclamation de joie atroce :« les titres y sont», cri de victoire dans une maison où ne devraient retentir que pleurs et lamentations, le thrène funèbre. Et d’insister sur ce qui importe : «entendre ce cri, au retour de la banque» (deux fois dans le texte) d’où revient la veuve après avoir pu faire ouvrir le coffre de son mari grâce à la «procuration» qu’il évoque plus loin, avec cette obsession

successivement composent leur Concerto de pour clavecin et leur Concerto champêtre. Référence à un fait historique La Symphonie des psaumes (1942-45) de Stravinsky reprend les événements d’un passé très récent : la deuxième guerre mondiale. Pensez également à Thrène à la mémoire des victimes d’Hiroshima de Penderecki que nous avons largement développé dans la problématique sur l’œuvre et son codage. Cette dernière référence à l’histoire nous amène à de possibles parallèles avec la séquence sur l’œuvre et son