Thèmes Iphigénie

Lecture, Iphigénie, Racine - Tragédie classique. - XVIIème siècle (1674). 1) RESUME Acte 1. Agamemnon raconte à Arcas qu'il doit sacrifier Iphigénie ; pour la faire venir avec sa mère Clytemnestre, il a promis de la marier au grand guerrier Achille. Il regrette à présent cette ruse et demande à Arcas d'aller au devant de sa femme et de lui dire que le mariage est repoussé. Or Arcas manque Clytemnestre, qui arrive à Aulis avec Iphigénie. Acte 2. Avec Clytemnestre et Iphigénie est arrivée

premières pièces au cours des années 1660 (Alexandre le Grand, 1665, etc.). Mais c'est véritablement en 1667, avec la pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront, comme Britannicus (1669.), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677), feront de Racine un grand nom du théâtre tragique. Par la suite, il fut nommé historiographe du roi Louis XIV, et décida d'abandonner le théâtre. Il composa cependant deux tragédies bibliques à la fine de sa vie (Esther

étaient du roi Tyndar, les deux autres, Pollux et la belle Hélène de Zeus. Tandis qu'Hélène déclenchait ce qui fut plus tard la guerre de Troie et que Clytemnestre assassinait son mari Agamemnon qu'elle pensait coupable du meurtre de leur fille Iphigénie, Castor et Pollux s'aimaient d'un amour fraternel si fort que rien n'était assez puissant pour les séparer. Malheureusement, lorsque Castor mourut au combat, Pollux reste inconsolable et supplie alors Zeus de partager son immortalité avec son frère

modestie,l'étrangeté[...] la splendeur ». Elle renforçait d'autant plus cette fausseté par le mensonge, en « lui jur[ant] qu'il était un dieu.» ligne 31. Le sacrifice d'Iphigénie a été l'élément déclencheur de la haine meurtrière : Agamemnon a donné Iphigénie en sacrifice et Clytemnestre ne s'en est jamais remise. Elle emploie d'ailleurs le mot « horreur », qui ici a une connotation très forte, comme si on assistait au passage de l'amour à la haine. De par son explication, Clytemnestre explique à Électre

allégorisent les querelles qui se succèdent au XVIIe siècle autour du modèle tragique : querelle des cornéliens et des "doucereux", querelle des règles, querelle des anciens et des modernes, querelle des dévôts ou "des Visionnaires". D’Andromaque à Iphigénie et de Bérénice à Phèdre, Racine s’avance caché sous le masque de ses héros et sous le voile de ses intrigues. Ce sont ses argumentations que cet ouvrage déchiffre sous l’argument des tragédies. Fffffgfffffffrfffrrrfrr L’extrait qui nous

Électre de GIRAUDOUX, acte II scène 9 Lecture analytique du récit du Mendiant, depuis « Alors voilà la fin… » jusqu’à « Il me rattrape » (Poche p.129) Dans la cité d’Argos menacée par les envahisseurs corinthiens et par la révolte intérieure, le Mendiant a raconté, devant l’assemblée des mendiants, le meurtre d’Agamemnon. Délivré de ses liens, Oreste se précipite vers Égisthe et Clytemnestre, demandant au Mendiant de raconter leur mort. Le Mendiant lui laisse « le temps d’arriver ». il entame

Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.atramenta.net Iphigénie TABLE DES MATIERES Iphigénie......................................................................................................1 Préface.................................................................................................2 Introduction.........................................................................................7 Acte premier...................................................

carrière ecclésiastique, il se consacre tout entier au théâtre. Il fait jouer La Thébaïde en 1664, puis Alexandre en 1665, mais c'est le succès de la tragédie d'Andromaque en 1667 qui assure sa réputation. Il donne ensuite Britannicus en 1669 puis Iphigénie en 1674 et enfin Phèdre en 1677. Très mondain, Racine est souvent détesté de ses confrères, qui lui reprochent aussi son allure de bon bourgeois, ses placements financiers, son désir de respectabilité. L'année de la mort de Molière, en 1673, l'Académie

annulé par les dieux pris en pitié. Pour se faire pardonner d’un dieu (Artémis-> Iphigénie ou Dieu->Isaac) et obtenir sa faveur (-> sacrifice d’Iphigénie) ou pour prouver sa foi (-> Isaac) le Roi du peuple (Agamemnon-> Iphigénie ; Abraham-> Isaac) doit sacrifier aux dieux ce qu’il a de plus cher : son enfant. Cependant au moment du sacrifice le dieu en question pris de pitié remplace l’enfant par un animal (Biche->Iphigénie ; Bélier-> Isaac). Ces deux textes possèdent le même schéma narratif. Quelles

pièce préférée du roi, Louis XIV. En 1674 il écrit Iphigénie, à Aulis, les Grecs se préparent à aller attaquer Troie. Mais ils ne peuvent atteindre Troie, car les dieux retiennent les vents nécessaires au départ de l'expédition. Agamemnon, leur chef, est donc contraint de consulter l’oracle Calchas, qui lui ordonne de sacrifier sa fille, Iphigénie, afin d’apaiser la déesse Artémis. Dans le chaos provoqué par les indécisions d'Agamemnon, Iphigénie se soumet aux volontés de son père. Ambition d'Agamemnon