Théme De Bérénice

référence et un questionnaire à chacun des groupes. Idéalement, le genre de l’extrait devrait être différent du genre du résumé sur lequel le groupe avait travaillé. ▪ Extraits proposés o Molière, Tartuffe, Acte i, Scène 1 o Racine, Bérénice, Acte iv, Scène 5 o Corneille, Le Cid, Acte i, Scène v o Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, Acte iii, Scène 8 o Beaumarchais, Le barbier de Séville, Acte ii, Scène 1 o Alfred de Musset, Lorenzaccio, Acte ii, Scène 2

pense à la galerie des personnages amoureux on pense aussi à Roméo & Juliette. Mais aussi Le Cid et Chimène. « Dans un mois, dans un an comment souffrirez vous seigneur que tant de mers sépare Bérénice et vous, que le jour recommence et que le jour finisse sans que Titus puisse voir Bérénice » Bérénice, Racine « Le temps et l’absence ralentirent sa douleur et éteignirent sa passion » Excipit de La Princesse de Clèves Comparer l’excipit avec Un amour de Swann Marcel Proust Le Prince de Clèves

littérature potentielle ..................... Sujet 9. Objets d’étude : Le théâtre : texte et représentation. Convaincre, persuader et délibérer....... Texte A. Jean Racine, Bérénice, acte I, scène 1 ...................................................................................................... Texte B. Jean Racine, Bérénice, acte V, scène 5 (vers 1303-1347) ......................................................................... Texte C. Interview du scénographe et peintre Gilles Aillaud, Théâtre

de Charlot. Là encore, il tourne en dérision les dialogues parlés puisqu'il chante. Les paroles sont inventées et le sens passe par le travail de mime. La musique par contre est très présente ; elle caractérise les différents personnages : thème de la gamine, de Charlot, des moutons. Elle accompagne les actions, souligne les gestes : travail à la chaîne, bateau qui coule. Elle traduit aussi les émotions par des thèmes romantiques : la vie à deux, la maison rêvée et des thèmes mélodramatiques

2e partie : les groupements de vers et les formes fixes o 3e partie : la prosodie • Étudier un texte poétique • Étudier un texte théâtral • Étudier un texte romanesque • L’analyse d’un personnage • L’analyse d’un thème • Le point de vue du narrateur • Comprendre la focalisation (avec un exemple) • La fiche de lecture • Quelques notions pour le commentaire stylistique Autres fiches de méthode • L’argumentation • La rédaction d’une préface

(contre les dieux). Ainsi, Cléopâtre dans Rodogune, envisage de tuer ses deux fils et sa rivale pour accomplir sa vengeance. Enfin, quelques personnages animés d’une volonté farouche considèrent la « gloire pour la gloire »: l’héroïne de Tite et Bérénice, entre autre. Ces exemples montrent que la mort, si elle est la finalité, l’objectif, n’en est qu’un élément. Ces morts sont « tragiques » et non « pathétiques ». C’est un moyen qui permet de supprimer un obstacle, d’arriver à ses fins: dans Rodogune

citer Ondine de Giraudoux, qui est une œuvre où les intentions du dramaturge restent mystérieuses. Effectivement, on peut penser qu’elle vise à mettre en évidence la difficulté des rapports hommes/femmes, comme elle peut avoir pour but d’aborder le thème de la nixe (génie ou nymphe des eaux dans la mythologie germanique) qui cherche à s'incarner dans l'humain. Ces deux visions peuvent aboutir à des représentations fortement différentes, pouvant être qualifiées de créations à part entière, l’une mettant

Monde réel. Conformément à sa théorie littéraire, Aragon donne à l’incipit, sorte de « donné », un pouvoir d’expansion tout particulier. Ce récit d’amour débute en effet par une phrase où domine la mise à distance (« La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide ») qui ouvre sur le scepticisme et l’indifférence se dégageant de l’ensemble du livre, reflet de la société instable de l’après-guerre. Quant au dernier roman du cycle du Monde réel (les Communistes, 1949 et 1951)

des thèmes divers mais connus de l’Homme afin de refléter le mieux possible la vie de l’époque et ses caractéristiques. Le théâtre du courant romantique et ses auteurs comme Musset, Marivaux ou encore le théâtre de Molière, reprennent souvent le thème de l’amour et du mariage, préoccupation importante de l’Homme à toute époque, en le montrant sous ses différents aspects dans lequel l’homme peut facilement faire une faute. Dans On ne badine pas avec l’amour, l’auteur montre combien hypocrite l’homme

conscience que la langue française avait une histoire, que les mots pouvaient changer de signification, former des générations… C'est cette " vie " de la langue que je souhaite aborder après avoir travaillé avec Bernardo Montet, lorsque nous avions monté Bérénice, sur la notion de langue maternelle. Or, le français de Corneille s'y prête tout particulièrement. Il laisse encore entendre les patois de province, tels qu'on peut les lire dans les œuvres de Rabelais, tout en empruntant déjà au français du dictionnaire