Théodore De Banville

Villon en personnage, comme Rabelais qui en fait un personnage à part entière dans ses romans Pantagruel et Gargantua imaginant la vie de Villon après la disparition de celui-ci. Ou encore il influence énormément Théodore de Banville qui va jusqu'à lui dédier un poème: Ballade de banville à son maître. Dont le refrain est «Ressuscite, François Villon! » Son œuvre a même fait le tour du monde. Exemple: Osamu Dazaï, écrivain japonais du 20ème siècle qui écrit le roman: La femme de Villon

perfection formelle. - Description souvent exotique ou antique. - Théorie de « l’Art pour l’Art » - 5 Auteurs majeurs: - Théodore de Banville (1823 – 1891) - Théophile Gautier (1811 – 1872) - Leconte de Lisle (1818 – 1894) - Sully Prudhomme (1839 – 1907) - José-Maria de Heredia (1842 – 1805) - Deux textes majeurs => La ville enchantée , poème de De Banville appartenant aux recueils des Odes Funambulesques qui le font être « un poète du bonheur ». Le Vase brisé, élégante métaphore

siècle. En incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l’esthétique classique. Il est aussi celui qui a popularisé le poème en prose. Le spleen de Paris est un recueil posthume de poèmes en prose, établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. L’Invitation au voyage est un poème en prose faisant partie de ce recueil. Il a été écrit en 1859, et il s’agit d’une réécriture de l’Invitation au voyage en vers, publié dans les Fleurs du Mal en 1857. Ce dernier appartient à la section Spleen

proclamée : Louis-Napoléon Bonaparte est élu président. 1852 : Coup d’État de Napoléon III, Second Empire (jusqu’en 1870). Lautréamont Villiers de l’Isle-Adam Huysmans Le Parnasse, « l’art pour l’art » Théophile Gautier Théodore Banville de Leconte Lisle de 1870 : Guerre francoprussienne, Le symbolisme chute du Second Empire, IIIe République. Charles Baudelaire 1871 : Défaite contre l’Empire allemand. La Paul Verlaine Commune. Arthur

des problèmes de santé. Il meurt subitement le 8 mai 1880, foudroyé par une hémorragie cérébrale. Son enterrement se déroule le 11 mai 1880, en présence de nombreux écrivains importants tels qu’Emile Zola, Alphonse Daudet, Edmond de Goncourt, Théodore de Banville ainsi que Guy de Maupassant. * La bibliographie : * Mémoires d'un fou (1838) * Madame Bovary (1857) * Salammbô (1862) * L'Éducation sentimentale (1869) * Lettres à la municipalité de Rouen (1872) * La tentation

au Panthéon, le 31 mai 1885. III) Genre(s) de l’œuvre * Le mélange des genres On retrouve dans ce recueil plusieurs genres que l’on peut identifier grâce à notamment l’article du National consacré aux Châtiments en 1870 rédigé par Théodore de Banville. Il a en effet constaté que : « [Victor Hugo] a en une fois et tout d’un coup, comme une créature à qui les mondes ne coûtent rien, rajeuni, repétri, retransformé vingt formes de l’art, forçant la satire à se faire, sous sa main de géant, ode

cérébrale. Son enterrement au cimetière monumental de Rouen se déroule le 11 mai 1880, en présence de nombreux écrivains importants qui le reconnaissent comme leur maître, qu'il s'agisse d'Émile Zola, d'Alphonse Daudet, d'Edmond de Goncourt, de Théodore de Banville ou de Guy de Maupassant, dont il avait encouragé la carrière depuis 1873.6

propos général. Dans « L’olive », le quatorzième vers souligne que la femme célébrée est « adorée », ce qui éclaire l’aspect spirituel du poème puisque l’amante est ici élevée au rang de déesse. « Le dernier vers du Sonnet », dira au xixe siècle Théodore de Banville dans son Petit traité du sonnet, « doit contenir un trait – exquis, ou surprenant, ou excitant l’admiration par sa justesse et par sa force ». Dans un sonnet comme « Le dormeur du val » d’Arthur Rimbaud (XIXe siècle) —que vous trouverez

lyrisme impersonnel, et le culte du travail. Ce courant se reconnaît aussi par trois grandes figures qui sont Gautier, Théophile (1811-1872) '' Émaux et Camées'' ; Leconte de Lisle, Charles (1818-1894) '' Poèmes antiques, Poèmes barbares''; Banville, Théodore (1823-1891) '' Les Stalactites, Les Princesses''. Ainsi à travers, ces différents mouvements et l' usage de règles éthiques, le lecteur n'est pas conduit à percevoir le reflet de sa personnalité. En guise de conclusion, on peut affirmer

que brossent, touche après touche, les vingt-sept contributions de ce volume, de Villon et Marot à la Pléiade et à la poésie baroque, de La Fontaine et Racine à Voltaire et Diderot, de Chateaubriand et Soumet à Musset, Vigny, Gautier, Baudelaire et Banville, d’Apollinaire, Proust, Valéry, Cendrars à François Cheng, en abordant les questions spécifiques à l’emblème, au frontispice, à l’almanach, à la vignette, apporte beaucoup à la compréhension de ce relais des imaginaires, finalement essentiel à l’alliance