Théorie De La Firme Bancaire

par opposition au management occidental : 1- L’acteur économique de base : Si l’on s’intéresse aux « modèles asiatiques », il faut tout d’abord élargir la notion d’acteur socio-économique au delà du modèle anglo-saxon traditionnel de la firme. La firme reste en effet, l’acteur socio-économique de base aussi bien que le centre décisionnel dans la pensée économique occidentale. En Asie, au contraire, l’entreprise s’efface souvent comme centre décisionnel derrière une entité plus puissante :

l’EBE se mesurent essentiellement par rapport au résultat d’exp. C’est le dernier solde avant la prise en compte des amortissements, c’est donc une excellente mesure de la performance de la firme, ne tient compte ni d’activités exceptionnelles ni d’activités financières : on reste au corps de métier de la firme. L’EBE est à la base des prévisions de trésorerie. C’est le solde comptable le plus opérationnel dans une approche financière. Répartition de l’EBE : - Rémunérer les pourvoyeurs de fonds

former qu’une seule entité. Exemples : XIXème siècle : industrie sidérurgique. XXème siècle : télécommunications - câblo-opérateurs et TV - rares exemples pour la grande distribution : Intermarché ( MDD). Explications théoriques : - approche par la théorie des coûts de transaction et des contrats incomplets - approche par les aspects stratégiques. Analyse économique de l’intégration verticale Effets de l’IV sur l’efficacité productive et sur l’efficacité allocative. Effets de l’IV sur l’efficacité

être instituée par une seule personne (EURL, …) Les associés s’engagent à contribuer aux pertes. Firme : Terme anglo-saxon utilisé pour évoquer les théories de concurrence sur les marchés. Institution : Il s’agit d’un ensemble de règles de fonctionnement sociaux-économiques. Elles interviennent plus au niveau de l’environnement qu’à celui des entreprises (institutions financières ou bancaires…) Association : Loi de 1901 : Convention par laquelle deux ou plusieurs personnes mettent en commun

former qu’une seule entité. Exemples : XIXème siècle : industrie sidérurgique. XXème siècle : télécommunications - câblo-opérateurs et TV - rares exemples pour la grande distribution : Intermarché ( MDD). Explications théoriques : - approche par la théorie des coûts de transaction et des contrats incomplets - approche par les aspects stratégiques. Analyse économique de l’intégration verticale Effets de l’IV sur l’efficacité productive et sur l’efficacité allocative. Effets de l’IV sur l’efficacité

la masse monétaire. Les BC ont le monopole de la création des billets, les billets en euro zone font partie de la masse monétaire de base (monnaie centrale).Les comptes créés auprès des banques centrale font partie de la base monétaire. La monnaie bancaire peut être remboursée en une monnaie plus fondamentale (la monnaie de base) tandis que la monnaie de base ne peut pas être remboursée par une monnaie plus fondamentale. Les banques commerciales peuvent être incapables de donner suite à des demandes

19/09/2014 Chapitre 1. Politique de croissance et développement De quoi parle-t-on? I.    Définitions Pourquoi s'intéresser à la croissance Evolutions Les théories de la croissance Les politiques de croissance   Référence principale : Bénassy-Quéré, Coeuré, Jacquet, Pisany-Ferry, Politiques économiques (De Boeck)‫‏‬ • De quoi parle t-on? 1. Définition      Définition: La croissance économique est généralement définie comme l'augmentation

pays développés et dans une moindre mesure les pays émergents. Sur le plan des travaux théoriques, une abondante littérature sur l’investissement international s’est constituée principalement durant la deuxième moitié du 20éme siècle, ces théories ont cherché à apporter, généralement des éléments de réponse à une question ; Qu’est ce qui pousse les firmes d’un pays déterminé à s’engager dans des opérations d’investissement à l’étranger plutôt que de limiter leurs activités au marché

d’autant plus cruciales que l’environnement monétaire et financier international a été soumis, au cours de vingt-cinq dernières années, à des transformations à la fois rapides et sans précédent qui ont conduit à une véritable mutation des systèmes bancaires et financiers : redéfinition de l’activité des banques ; innovations (c’est-à-dire création de nouveaux produits) multiples tant en matière de moyens de paiement qu’en matière de produits financiers ; libéralisation et déréglementation des mouvements

la libéralisation bancaire et financière ne sont que très (trop ?) récentes. En effet, il a fallut attendre la fin des années 1970, pour que les marchés financiers s’internationalisent et le début des années 1980 pour, qu’en Europe, ils s’intègrent enfin. Avant cette internationalisation des places boursières, les entreprises ont pu se développer et devenir des multinationales. Leur essor a été permis par les prêts gouvernementaux, d’une part, et par l’intermédiation bancaire, d’autre part. Les