Théorie Des Idées

contexte intellectuel où l'homme, avec Copernic et Galilée, passe « du monde clos à l'univers infini », selon l'expression d'Alexandre Koyré, soit le monde de la Renaissance où la créativité humaine se libère d'un ordre cosmique prédéterminé. Les théories mercantilistes sous-tendent cet objectif et développent une problématique basée sur l'enrichissement en identifiant les activités ayant un rendement croissant, soit les produits manufacturés par opposition aux produits bruts. Dans ce cadre, on peut

L'autonomie de la volonté ce que ça comporte : son origine son influence son déclin Son origine : A la suite des idées libérales qui guident la révolution de 1789 ; au 19e siècle, la philosophie générale était favorable à une certaine forme d'individualisme et de libéralisme, ce qui a pu conduire à la reconnaissance d'une sorte de ' principe non écrit celui de l'autonomie de la volonté. ' quelques citations résumant l'autonomie de la volonté : ' la volonté humaine

dissocié des hommes et existerait en tant qu'absolu ? Or, le bien, comme d'autres valeurs, n'est-il pas d'origine humaine ou, autrement dit, le bien ne serait-il pas une invention humaine ? C'est dans cette optique que nous allons évoquer plusieurs théories philosophiques qui serviront à notre réflexion. Une valeur absolue est aussi une chose dangereuse par le fait qu'elle peut être un moyen de contrôle puissant, les cas des valeurs chrétiennes et des valeurs civiques sont à mettre en exergue. Cela

« L'esthétique (ou théorie des arts libéraux, gnoséologie inférieure, art de la beauté du penser, art de l'analogon de la raison) est la science de la connaissance sensible »[4]. En effet, Baumgarten considère l'idée du beau comme une perception confuse ou un sentiment et de ce fait comme une forme inférieure de connaissance, d'où l'usage du terme esthétique[5]. L'esthétique s'oppose à la logique comme les idées confuses s'opposent, dans l'école de Wolff et Leibniz, aux idées claires. Son esthétique

Professeur a l’université de Chicago, il est le représentant le plus connu du courant monétariste. Partisan du Libéralisme, oppose au courant Keynésien (critique de la courbe de Philips, notion de revenus permanent, de chômage naturel…) : >Dans la "théorie générale" publiée en 1936, John Maynard KEYNES proposa de relancer l'économie par une politique expansionniste faite de création monétaire et de déficits publics finançant grands travaux et soutenant les dépenses de consommation. C'est l'antithèse

"LES THÉORIES LIBÉRALES, UNE OPPOSITION À KEYNES ?" Introduction I. Le degré d’intervention de l’Etat : A. Les Keynésiens et l’interventionnisme B. Les Libéraux : anti-étatiques Transition II. Rejet des deux instruments essentiels des Keynésiens : A. La monnaie B. Le Budget Transition III. La désinflation compétitive : A. La question du chômage B. L’explication de l’inflation Conclusion     " Le Keynésianisme est mort, vive le Libéralisme ! " La contre

plusieurs dieux (dieu de la chasse, de la fécondité…) Le monothéisme : tout est imputé à un Dieu qui est unique, tout ce qui arrive à l’homme se rapporte à ce Dieu. b- L’état métaphysique Il est caractérisé par le recours à des abstractions, à des idées, à des concepts (loi, justice, bonté, mal…) qui sont utilisés et par lesquels on pense pouvoir expliquer la nature des choses et la cause des évènements. Il est considéré comme état intermédiaire car il a des traits de l’état théologique et de l’état

politiques » ou dans « idées politiques », le mot le plus important n’est pas politique. La politique et le politique c’est quelque chose qui est produit par la société. En retour le politique produit certaines dimensions de la société. On ne peut pas détacher des idées du contexte social. Il y a un jeu subtil d’interaction réciproque entre les deux. Chez MARX, le MARX le plus connu, on peut parler de la théorie du reflet : les idées dominantes dans une société sont les idées de la classe économiquement

Rechercher La pensée économique peut être découpée en trois grandes phases : les précurseurs (grec, romain, arabe), les pré-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'économie moderne (qui débute avec Adam Smith à la fin du XVIIIe siècle). « […] les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique ont plus d’importance qu’on ne le pense en général. À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences

HISTOIRE DES IDÉES POLITIQUES APRÈS 1789 « Idées politiques » contient différents discours. Conjugaison de différents critères: objet des idées politiques, leur impact, leur influence effective Etude des rapports d'assujettissement ou participation que l'Etat entretient avec les citoyens, la place que l'Etat a dans la société, le degré souhaitable de l'Etat, naissance des idées politiques... Ces idées se situeront après 1789 car période propice à l'effervescence des idées. Des idées rivales se