Théorie Monétaire Keynes Pertinence

investissement immobilier (logement neuf et travaux). Au final, ressources et emplois sont équilibrés. a) Le pouvoir d'achat On définit le pouvoir d'achat comme la quantité de biens et de services qu'une certaine somme d'argent peut acheter. Dans la théorie, on compte le pouvoir d'achat du revenu disponible brut des ménages : on élimine alors les éléments du patrimoine qui sont très peu liquides. Dans la conjoncture, le pouvoir d'achat se situe dans une mauvaise passe ces huit dernières années : après

macroéconomie / pays développés / pays en développement / rôle des syndicats / droits des travailleurs / travail précaire / développement économique et social / emploi / conditions économiques / Brésil / Mexique / balance des paiements / politique monétaire / endettement / balance commerciale / revenu des ménages / Données de catalogage du BIT Les désignations utilisées dans les publications du BIT, qui sont conformes à la pratique des Nations Unies, et la présentation des données qui y figurent

Incidemment, le gouvernement espagnol est conduit à mettre en place une politique très stricte en matière de contrôle économique, laissant peu de libertés aux agents issus du secteur privé : interdiction des sorties d’or (d’où l’accumulation de masse monétaires que connaît l’Espagne, et l’inflation qui en découle) ; interdiction des importations (pour éviter les sorties de monnaies) ; interdiction des exportations (afin d’éviter la fuite dissimulée de capitaux). Cette politique a pour conséquence

Groupe d’Analyse et de Théorie Economique – UMR n°5824 Université Lumière Lyon 2 - CNRS - Ecole Normale Supérieure LSH Institut Supérieur de Gestion de Tunis – ISG- Université de Tunis Politique de Ciblage d’Inflation Règles de Conduite, Efficacité, Performance Thèse de Doctorat (NR) en Sciences Economiques Présentée et soutenue publiquement par Zied FTITI Le 24 février 2010 JURY Valérie Mignon Gilles Dufrénot Adel Boughrara Boutahar Mohamed Jean François Goux Abdelwahed Omri Professeur

Commission des Nations Unies pour l'Amérique Latine (et les Caraïbes) Commission Mondiale sur l'Environnement et le Développement Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement Organisation pour l'Alimentation et l'Agriculture Fonds Monétaire International Accord Général sur le Tarif Douanier et le Commerce Nouvel Ordre Économique International Nouveaux Pays Industrialisés Organisation de Coopération et Développement Économique Organisation Internationale du Travail Organisation Mondiale

Chapitre 2 Les théories traditionnelles du développement économique 1- Développement = retard de croissance • Rôle central de l’accumulation du capital. Idée que le sous-développement est une sous-accumulation : épargne insuffisante (Harrod-Domard) ou un simple retard dans la croissance (Rostow). 2 1 Définitions 1 • La croissance économique d’un pays est la hausse de long terme de sa capacité d’offrir à sa population une gamme sans cesse élargie de biens économiques (S. Kuznets, prix

des marchés financiers considérée de cette manière ont fait l’objet d’une sérieuse remise en cause. Cette assertion constitue une critique à peine voilée de la rationalité des investisseurs, dont le comportement s’apparenterait à celui décrit par Keynes (1973). Celui-ci assimilait le fonctionnement des marchés financiers à des concours organisés dans lesquels les concurrents doivent choisir parmi des centaines de photographies des jeunes femmes les six plus jolies. Le prix allant à celui dont le

Une crise de confiance générale s’est installée. Avec la globalisation financière et le décloisonnement des marchés, ce qui prédomine aujourd’hui, c’est la connexion du système financier international et la contagion de la crise. ainsi, le fonds monétaire international (fmi) estime à 945 milliards de dollars le coût de la crise pour les institutions financières, américaines et autres ; cela représente l’équivalent du budget de l’état français, c’est dire l’ampleur des dégâts. la facture risque d’être

............................................ 32 10. L’ampleur des phénomènes de contagion .............................................. 33 11. Une nouvelle forme de crise boursière : le krach « rampant » ou lent .... 39 Chapitre II. Du côté des théories des crises financières : sept propositions ..................................................................................... 43 1. Première proposition : les marchés financiers sont des marchés de promesses… .................................

finance comportementale tente de montrer que certains comportements peuvent créer des anomalies de prix susceptibles d’accentuer les mouvements boursiers. Des anomalies boursières qui représentent des « dysfonctionnements » de marché au vue de la théorie néo-classique des marchés financiers. Cette dernière ne concevant les marchés qu’{ travers l’efficience de ceux-ci, leurs capacités autorégulatrices et la concordance permanente des prix des actifs échangés à leur valeur fondamentale. Page |