Théories Néoclassiques Du Commerce International

française d’une multinationale étrangère est comptabilisée dans la balance des paiements françaises. Les personnes physiques de nationalités étrangères demeurant en France depuis plus de deux ans, à l’exception des fonctionnaires internationaux sont également des résidents. La balance des paiements va enregistrer des transactions qui mettent en relation des entreprises, des ménages, des banques ou des institutions appartenant au secteur public.

A) Panorama de la pensée économique : (économie standard ou orthodoxe) Une théorie observe des phénomènes, les décrit, essayer de comprendre, les expliquer, et ce travail débouche sur des lois générales exprimant la plupart du temps la causalité. L’objectif de la politique économique est d’améliorer la situation économique, Dans l’amélioration il faut qu’il y’est une conception du bien et du mal qu’on appelle la théorie de la justice (permettre de définir la pauvreté), hors cette conception correspond

pas l'or mais les marchandises qui ont un double avantage : comme la monnaie (l'or de l'époque), elles peuvent servir de moyens d'échange ; contrairement à la monnaie, elles peuvent être consommées. D'autre part, l'État n'a pas à intervenir dans le commerce : il ne faut pas chercher à réduire les importations car il est profitable d'acheter à l'étranger ce qui y est moins cher et il ne faut pas favoriser les exportations car cela nuit à la concurrence en favorisant artificiellement certains producteurs

exemple) - Les néoclassiques vont pousser à l'extrême le scientisme et prétendant trouver les lois naturelles du comportement économique. Ils prétendent que les lois sociales sont des lois naturelles qui s'impose à l'homme sans modification possible. Il y a de plus un fort déterminisme dans cette vision de l'homme vu comme homo économicus : Mais beaucoup de critique ont été faites aux néoclassiques sur leurs théories : le comportement humain est plus complexe, il faut intégrer les théories psychosociales

1. Antiquité - Moyen Âge C’est avec la civilisation grecque (Platon et Aristote) qu’apparaissent des amorces de théories économiques. Malgré, cela l’économie n’est pas encore un sujet d’étude en soi. Au Moyen-Âge, la religion (le christianisme) est un obstacle au développement économique. En effet, le commerce à but lucratif était interdit aux Chrétiens. Puisque ce commerce ne leur est pas interdit, les juifs sont alors l’élément moteur de l’économie. En dénonçant l’immobilisme du Moyen

Introduction Le libre échange, c’est à dire la suppression de toute entrave aux échanges entre pays, s’impose. La quasi-totalitéé des économistes considère qu’il présente de nombreuses qualités. Il mène à la spécialisation internationale et profite à tous. Pourtant certaines voix s’élèvent pour le dénoncer car il serait à l’origine de nombreux maux que connaissent nos sociétés. Le libre échange engendrerait des inégalités. Le libre échange, malgré l’apparente unanimité, est objet de débat :

Introduction: La diversité des approches théoriques. Une théorie n'est pas un ensemble de certitudes mais un ensemble de propositions et de résultats provisoires, résultant de recherches analytiques et empiriques susceptibles d'éclairer les décisions des acteurs publiques et privés. Les théories permettent de dégager des concepts, c'est-à-dire des modèles de penser qui représentent abstraitement la réalité. Les théories permettent de dégager des paradigmes, c'est-à-dire des modèles de penser

économistes depuis l'existence de cette discipline. Les économistes classiques considèrent le travail comme n'importe quel autre bien ; le salaire constitue pour e eux un élément régulateur de la population. À partir de la fin du XIX siècle les néoclassiques vont montrer que le salaire détermine le niveau de l'emploi et que la flexibilité des prix permet un retour au plein emploi en cas de déséquilibre sur le marché du travail. Keynes quant à lui, va rompre avec ces auteurs qu'il appelle « classiques

Locke, David Hume, Montesquieu…), est la doctrine selon laquelle la liberté d’action individuelle la plus complète est souhaitable en matière économique et où l’intervention de l’Etat doit être limitée un maximum. Dans sa version moderne dite néoclassique, cette doctrine, relevant exclusivement d’un raisonnement économique se reposant sur l‘équilibre général, conteste aussi l’efficacité de l’action étatique et est extrêmement sensible aux critiques en rapport avec les défaillances du marché, autrement

DESEQUILIBRE GENERAL. Le libre jeu de la loi de l’offre et de la demande conduit au déséquilibre général des marchés. La théorie centrale de l’économie néoclassique est que dans une économie organisée en marchés concurrentiels, par le jeu de l’offre et de la demande, un équilibre général est possible et cet équilibre est stable (en cas de choc, on revient à la situation d’équilibre). Cette théorie est infirmée par les résultats de la science économique puisque les conditions d’un équilibre général ne sont jamais