Tibre

soit pas assez efficace. Montherlant laisse un mot à Jean-Claude Barat, qui devient son légataire universel : « Je deviens aveugle. Je me tue. ». Ses cendres sont dispersées à Rome, sur le Forum, entre les pierres du temple de Portunus et dans le Tibre, par Jean-Claude Barat et Gabriel Matzneff

« audacieux » accentue cette idée de mépris de la ville de Rome. De plus, il utilise une anaphore accompagnée d’un déterminant possessif afin de comparer Rome à Liré toujours en montrant la supériorité de Liré à ses yeux : « Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin, plus mon petit Liré que le mont Palatin ».

transformé en humain. « justice avec une femme » v.2 périphrase. - personnification des palais « front » v.10 - opposition historique entre gaulois v.12 et latins avec les 2 fleuves : Loire et le Tibre et entre les noms des villages. On peut ressentir la nostalgie du pays natal. ( annonce du plan : 1er quatrain ( réflexion générale sur les voyages qu’il rapporte dans le deuxième quatrain à son expérience personnelle. I- Premier quatrain

semble que ceci soit erroné; on a voulu exprimer par cette affirmation l'hégémonie exercée par Albe sur une fédération de cités de même origine. La première colonie romaine est Ostie, fondée, dit-on, par le roi Ancus Martius pour garder l'embouchure du Tibre. Les rois suivants imitèrent son exemple, mais comme ils étaient chefs de la confédération latine, ces colonies sont considérées comme colonies latines. Exception faite pour Ostie, et peut-être pour Labici, fondée en 416, on peut dire que jusqu'à la

choisit d’évoquer de manière pittoresque son pays natal, pour en faire l’éloge. On a dans le texte une série d’oppositions frappantes : il ose préférer la fragilité (ardoise) à la durabilité (marbre dur), l’obscurité du petit Liré à la célébrité (Tibre) et la douceur de l’Anjou à l’esprit de conquête de l’Empire romain (c’est ce qu’on peut entendre par « vers marins ») Pour qualifier son village, Du Bellay emploie des déterminants possessifs : « mon » vers 12 et 13, et « petit » vers 5 et 13. Ou

désormais ce dernier, il reste évident que, malgré le cauchemar de sa vie à Rome, l’humaniste demeure sensible à la splendeur passée, de la évoquent Rome à travers son regard d’humaniste. Dans ses comparaisons, il choisit les lieux célèbres de Rome ; « Le Tibre », l’un des symboles de la Rome antique, fleuve sur lequel est arrivé le futur fondateur de Rome : Romulus ; ensuite, « le monte Palatin », ou ce même Romulus a établi la première cité de Rome, colline qui s’est couverte par la suite de tous les palais

« Je vis, je meurs... »« Heureux qui comme Ulysse... »« Mignonne, allons voir si la rose... »« Quand vous serez bien vieille... »« Je vous envoie un bouquet... »« La complainte du progrès... »RECUEILSonnetsLes RegretsLes Amours de CassandreSonnets pour HélèneSecond Livre des AmoursDATE155515581545157815551955AUTEURLouise LABEJoachim DU BELLAYPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDBoris VIANGROUPE/MOUVEMENT LITTERAIREEcole lyonnaise – Rennaisance (influencé Pétrarquisme)La Pléiade – Renaissance

de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l’air marin la douceur angevine. Commentaire sur les thèmes du poème Joackim du Bellay a écrit ce sonnet (poème composé de 2 quatrains et de 2 tercets) lors d’un séjour à Rome. Il

de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Joachim du Bellay Analyse « Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage » est un sonnet mélancolique écrit en 1558 par Joachim Du Bellay, poète

Enée, héros de Troie. Episode de Didon à Carthage. Fondation d’Albe par Ascagne. 13 générations plus tard, la petite fille du roi d’Albe, Rhéa Silvia, une vestale, est violée dans son sommeil par le dieu Mars: Rémus et Romulus. Abandonnés sur le Tibre par l’oncle de Rhea Silvia, Amulius. Louve. Restaurent leur grand-père Numitor sur le trône. 753: fondation de Rome. Romulus roi. Rapt des Sabines. Successeurs de Romulus: le Sabin Numa Pompilius (pieux et pacifique); Tullus Hostilius (détruit Albe