Tigre et Dragon

vil qu’un chien » (II, 4). De chien, il devient tigre quand il s’entraîne avec Scoronconcolo : « Tu y vas en vrai tigre ; mille millions de tonnerre, tu rugis comme une caverne pleine de panthères et de lions. » (III, 1). L’image du tigre est reprise par Lorenzo luimême : « De quel tigre a rêvé ma mère enceinte de moi ? » (IV, 3). Mais ce fauve se sent aussi « pas plus gros qu’une puce » face au duc qui « est un sanglier » (III, 1). Chien, puce ou tigre, Lorenzo est tout cela à la fois sans qu’une identité

III, 6, Alexandre la quittait pour aller à la chasse ; il y a donc une légère contradiction, mais ce détail date la scène par rapport à l'acte précédent. Acte IV, scène 2 : - «que je les broie» : les Médicis. Acte IV, scène 3 : - «De quel tigre a rêvé ma mère enceinte de moi?» : une croyance veut que l'objet des rêves de la femme enceinte influe sur la nature de l'enfant. - «Pétrarque» : poète et humaniste italien (1304-1374) dont les poèmes expriment une conception idéaliste de l'amour

sortir ;J'ai craint une fureur à vous−même fatale.PhèdreOenone, qui l'eût cru ? j'avais une rivale !OenoneComment ?PhèdreHippolyte aime, et je n'en puis douter.Ce farouche ennemi qu'on ne pouvait dompter,Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte,Ce tigre, que jamais je n'abordai sans crainte,Soumis, apprivoisé, reconnaît un vainqueur ;Aricie a trouvé le chemin de son coeur.OenoneAricie ? PhèdreAh ! douleur non encore éprouvée !A quel nouveau tourment je me suis réservée !Tout ce que j'ai souffert

redoutes la différence du formidable au sinistre. L’une semblait une gueule ; l’autre un masque. En admettant que la gigantesque et ténébreuse insurrection de juin fût composée d’une colère et d’une énigme, on sentait dans la première barricade le dragon et derrière la seconde le sphinx. Ces deux forteresses avaient été édifiées par deux hommes nommés, l’un Cournet, l’autre Barthélemy. Cournet avait fait la barricade Saint-Antoine ; Barthélemy 7 la barricade du Temple. Chacune d’elles était l’image

religieuses. Les enfants décident de déclencher une bataille entre les deux plus grosses. Joseph leur avait dit "avec une certaine joie laïque" que "la mante dite 'religieuse' était un animal féroce et sans pitié...qu'on pouvait considérer comme 'le tigre des insectes'...". Les deux garçons constatent que les mantes religieuses sont capables de "vivre sans griffes, puis sans pattes, et même sans une moitié de la tête...." Pagnol appelle ce divertissement "gracieusement enfantin" et souligne donc

bien savoir son chemin. Elle prend ce tour indescriptible qu'il faut bien décrire quand même. Accrochée à la falaise violette, elle bondit par-dessus les gros levains erratiques de grès noir, — sinueuse dans tous les sens comme la colonne infinie du dragon. Brusquement la voici perdue sous une futaie où elle se prolonge cependant, d'où l'on ne peut plus enfin regarder en arrière. — D'où l'on ne peut plus voir d'où l'on vient... La route qui menait ici est étouffée, est perdue, est mangée de plantes

Route des mycorocs,1,V,0,non, f7=Yowie,Grotte du priant volé,1,V,0,non, f8=magasin,tous,1,A,50,non, [eau bénite] f1=Mortier v.97,Dôme de Yevon,3,V,0,non, f2=Tekkick v.11,Dôme de Yevon,3,V,0,non, f3=magasin,tous,1,A,300,non, [écaille de dragon] f1=Aquaflambos,Via Purifico (Yuna),2,V,0,oui, f2=Flambos d'eau,Ile de Besaid,1,V,0,oui, f3=Maze larva,Via Purifico (Yuna),2,V,0,oui, f4=Phlegyas,Via Purifico (Tidus),2,V,0,non, f5=Pieuvre,Via purifico (Tidus),2,V,0,non, f6=Remora,Via Purifico

qu’un chien » (II, 4). De chien, il devient tigre quand il s’entraîne avec Scoronconcolo : « Tu y vas en vrai tigre  ; mille millions de tonnerre, tu rugis comme une caverne pleine de panthères et de lions. » (III, 1). L’image du tigre est reprise par Lorenzo luimême : « De quel tigre a rêvé ma mère enceinte de moi ? » (IV, 3). Mais ce fauve se sent aussi « pas plus gros qu’une puce » face au duc qui « est un sanglier » (III, 1). Chien, puce ou tigre, Lorenzo est tout cela à la fois sans qu’une

redoutes la différence du formidable au sinistre. L’une semblait une gueule ; l’autre un masque. En admettant que la gigantesque et ténébreuse insurrection de juin fût composée d’une colère et d’une énigme, on sentait dans la première barricade le dragon et derrière la seconde le sphinx. Ces deux forteresses avaient été édifiées par deux hommes nommés, l’un Cournet, l’autre Barthélemy. Cournet avait fait la barricade Saint-Antoine ; Barthélemy 7 la barricade du Temple. Chacune d’elles était l’image

vierge, cette martyre, c'était Nella! (Eclatant en larmes.) Oh! oll ! (Se jetant tout à coup aux pieds deLorenzino). Laissez-moi vivre ! laissez-moi vivre ! que je me venge, et puis, sur l'honneur, quand je serai vengé, quand j'aurai égorgé le tigre, je reviendrai me coucher là à vos pieds... je vous tendrai la gorge, et je vous dirai : A ton tour, Lorenzino, à ton tour; venge-toi de moi comme je me suis vengé de lui. LORENZINO, le regardant. Ce n'est pas tout, Michèle. MICHELE. Que voulez-vous