Tirade Du Nez

longuement discuter de tout et de rien. En effet, premier personnage à s'exprimer dans la pièce, Hermile Lebel a un nombre important de répliques à son actif, et notamment de longs monologues, lors de la première scène par exemple, ou de longues tirades, comme celle qui ouvre la scène 19, « Les pelouses de banlieues ». Ces deux répliques citées en exemples sont longues notamment parce qu’Hermile Lebel dit beaucoup de banalités, il discute de la vue sur « les voitures et le centre d’achat » depuis

Le Cid, acte I, scène 3 ; les 15 premiers vers du Misanthrope de Molière : Alceste, en colère contre son ami Philinte. Une tirade : Longue réplique ; elle permet au personnage de développer une argumentation ou de s'épancher avec lyrisme. Réduits à un temps de silence, ses interlocuteurs rejoignent en quelque sorte la situation de spectateurs. Exemple : la tirade du nez dans Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand, acte 1, scène 4. Un récit : Au théâtre, un récit raconte un événement lié à l'action

paisible de la bataille, « L’infini du ciel bleu ». Idée que l’homme s’est écarté de la nature en s’industrialisant. Nature apparaît comme mère avec divinité protectrice, consolatrice, recours dans le désespoir. Molière, Don Juan. Acte I, Scène I, La tirade de Sganarelle. | * Début de la pièce. * Sganarelle (valet de DJ) discute avec Gusman (valet de Don Elvire). Gusman s’inquiète du départ brutal de DJ qui vient d’épouser DE. Sganarelle lui apprend que DJ est un séducteur. Lecture du

elle fait croire que cet homme est son frère. Mais, au dernier moment, elle avoue sa faute en même temps que son amour longtemps caché pour Montriveau. Ce début amène un long retour en arrière, à l’époque où la duchesse menait le monde par le bout du nez, faisant ménage à part avec son mari et méprisant ses soupirants. L’esprit des Treize imprègne le roman, en particulier la scène de violence où l’on voit Montriveau, conseillé par Ronquerolle, menacer la duchesse de la marquer au front avec une croix

pierres posées en cercle et se mirent à discuter de ce qu’ils allaient faire ; Ambre pris la parole la première le regarda droit dans les yeux se redressa et lui dit « peut m’importe où on va j’abandonne tout, emmène-moi avec toi » elle acheva sa tirade d’un sourire, lui pris la main et son expression s’adoucit. Il se mit alors à parler, haut et fort malgré qu’il soit couché en se tenant l’épaule « écoute je suis un type qui ne doit pas trainer, il faut que je disparaisse de la circulation si je

particulier grâce au changement d'identité entre les deux personnages, imposé par Trivelin. Ce dernier va très vite devenir, tant aux yeux des autres personnages qu'à ceux du spectateur, le moraliste représentant l'idéologie utopique de Marivaux. La tirade de la scène 2 répond à une double exigence : le personnage va indirectement informer les spectateurs de la trame dramatique de la pièce, en la situant dans un contexte pseudo historique ; il va également se poser d'emblée en détenteur de la loi et

universel qui serait accessible directement à tous sans besoin de connaissance, tout comme le sont certains arts plastiques. Aussi cette univers de la marionnette est un monde où l’on joue un rôle et les personnages semblent tous déclamer des tirades comme au théâtre. Même Pinocchio qui ne fait pas parti à proprement parler de ce lieu tend aussi à entrer dans ce jeu, ce qui va lui sauver la vie. En effet pour son salut et celui de son ami Arlequin il exécute une grande scène à effet qui à pour

syntaxique aux vers 4 à 7 : quoi qu’elle fasse, Chimène se trouve dans une situation inextricable la poussant au malheur. À ce premier argument logique, s’ajoute celui de la passion amoureuse qu’elle oppose systématiquement à son devoir de fille dans sa tirade comme pour exprimer une lutte intérieure mimant le combat de Rodrigue et de son père : « en ce dur combat de colère et de flamme  ». Finalement, le connecteur adversatif « Mais » introduit l’ultime argument de Chimène qui garantit à Elvire que son

j’ai vu », « je l’ai vu » (nombreuses anaphores) → parle à la 1ère personne : ceci donne du poids à ses propos. (Las Casas a vécu de nombreuses années parmi les Indiens) → Il donne à voir la scène à son auditoire : - Champ lexical de la mutilation (« nez, oreilles, langue, les mains, les seins, ses entrailles qui s’échappaient ») [figure de style appelée hypotypose : le spectateur a l’impression de voir la scène se dérouler devant lui ]→ suggère une vision d’horreur. On se croirait dans l’enfer peint

Michel Houellebecq • D�compos�e de Cl�mentine Beauvais Le th�7tre du XVIIème au XXIème siècle Juste la :n du monde de Jean-Luc Lagarce Explications de textes tir�s de la pièce Juste la :n du monde • Texte 5 : Le prologue de Louis • Texte 6 : La tirade de Suzanne (première partie, scène 3) • Texte 7 : Antoine contre son frère (deuxième partie, scène 3) Parcours de lecture Crise personnelle, crise familiale • Texte 8 : Int�rieur de Maeterlinck, (les tergiversations du vieillard) Lecture cursive