Tirade Sganarelle Acte 5 Scène 2

(Relation homme / Dieux, Eléments fantastiques ?)· Transmission orale· Il est un récit des origines par lequel un peuple en train de se créer représente l’ordre du monde tel qu’il envisage (récits des origines) · Il est un récit qui met en scène des personnages aux prises avec des aventures dont les péripétie ont une valeur d’exemple· Porter d’un sens qui éclaire notre rapport au monde, indépendamment du lieu et du temps ; · Universalité et exemplarité ;

Acte I, scène1 : une scène d’exposition. Problématique : En quoi cette scène est-elle une scène d’exposition efficace et originale? Les objectifs du dramaturge : 1. Informer de ce qui s’est produit auparavant  principe de la double énonciation. Sur scène, des personnages dialoguent et n’ont pas l’air de s’occuper de nous ! En fait, leur discours s’adresse au spectateur. Pour que la scène d’exposition soit réussie, il faut que le spectateur soit vite informé, sans pour autant avoir l’impression

manipuler les gens à son aise. Il renie Dieu. * Sganarelle : valet de Don Juan, il le suit partout et essaye parfois de le raisonner. Très croyant, il est atterré par l’attitude de son maitre. * Don Louis : père de Don Juan, lui aussi est atterré par l’attitude de son fils, et tente de le remettre dans le droit chemin. Les actes : * Dans le premier acte, on apprend qui est Don Juan, et qu’il vient de jeter Elvire. * Dans le deuxième acte, Don Juan séduit deux paysannes, puis s’enfui

opinions que l’on n’a pas, que l’on n’approuve pas. Nous retrouvons ce comportement dans les quatre extraits de textes différents qui nous sont proposés : « Dom Juan, acte 5 scène 2 en 1665 de Molière » ; « La tragi-comédie de la cour du Duc de Saint Simon » ; « Tartuffe, acte 1 scène 5 en 1664 de Molière » et «  Lorenzaccio, acte 2 scène 4 en 1834 de Alfred de Musset ». Ces trois poètes, sont assez différents les uns des autres, par exemple Molière a vécu au XVIIème siècle (1622-1673), c’était un dramaturge

statue, qui mettent un terme — mais par quel artifice ? — à une vie peut-être déréglée mais infiniment préférable à tous les consensus d'une existence normée. L'éloge paradoxal est au cœur de la pièce, comme l'a montré Patrick Dandrey[2]. La tirade d'ouverture de Sganarelle, consacrée au tabac, est ainsi la défense d'un redoutable pacte social, d'autant plus impérieux dans ses modalités d'exécution que l'adhésion des individus est requise autour d'un incontestable artifice. On s'est jadis plu à lire cette

grandement influencé par le baroque. Cette scène d’exposition fait entrer le valet du héros éponyme qui nous dresse un portrait de son maître à travers une longue tirade. Extrait 1, Acte 1 scène 1 : Comment Sganarelle, en présentant son maître, dresse-t-il son propre portrait ? I) Le portrait de Dom Juan. 1) La volonté de faire un portrait. * Le champ lexical de l’art « ébauche », « portrait », « pinceau » montre que le portrait qu'a entrepris Sganarelle n'est pas fini. « Il faudrait bien d'autres

[pic] Acte I synthèse : • Personnages : le personnage principal est présenté progressivement aux spectateurs. Après un premier portrait péjoratif fait par Sganarelle, le libertin fait son apparition à la scène 2 et manie devant son valet toutes les ressources de son éloquence pour justifier le libertinage et les tromperies. Done Elvire l'épouse délaissée de Dom juan fait son apparition scène 3 mais Dom Juan choisi d'abord le silence puis la cruauté en disant la vérité.

Ronsard invente une histoire fictive de sa vie amoureuse donc ce n'est pas une auto-biographie]. I. Une demande amoureuse pour le moins original. * Évocation centrée sur le futur. * 2 quatrains qui évoquent le futur d'hélène. * Chadelle : une fine de vie prévue. * Cadre précis (ou scène précise). * Présence de participes présent, montre une action en cours * attitude de regret pour la femme → fin de vie dans la tristesse et la solitude. * Image peu flatteuse. *

Acte I Scène 1 : Dom Gusman, Sganarelle. Après un éloge burlesque du tabac, Sganarelle, valet de Dom Juan reprend sa conversation avec Gusman, écuyer de Done Elvire. Le spectateur apprend que Dom Juan, après avoir séduit, enlevé Done Elvire du couvent et l’avoir épousée, l’a abandonnée. Dom Gusman s’interroge sur le pourquoi de la fuite de celui-ci. Sganarelle esquisse le portrait d’un maître « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », « libertin » qui ne craint ni « Ciel

à des lubies médicales). Il fait scandale en épousant la jeune sœur de Madeleine Béjart (qui passe pour être sa fille et le fait souffrir de jalousie). Sa rivalité avec Lully perturbe la mise en scène de ses derniers divertissements royaux, comédies-ballets jouées pour la cour. Épuisé, il meurt en scène en 1673. Sept ans après sa mort, la fusion de sa troupe (Hôtel Guénégaud) et de celle de l’Hôtel de Bourgogne donne lieu à la naissance de la Comédie-Française. Comique et comédie au XVIIe siècle: