Titre Spleen Et Idéal

Baudelaire exprime la volonté de créer un tableau à la fois musical et vivant du paysage qu’il observe, le port, thème récurant des marines. Il ne s’agit pas de décrire un port précis, comme souvent il est dit dans les critiques, mais de présenter un lieu idéal et inaccessible. D’emblée, il nous donne l’impression de suivre le regard du narrateur qui surplombe la vue avec un certain recul, comme le montre l’utilisation de termes comme le mot « yeux » ou le verbe « contempler », ou encore l’énumération

L’albatros de Charles Baudelaire I. Lecture à haute voix II. Contexte  2e poème extrait de "Spleen et  idéal", la deuxième partie du  recueil Les Fleurs du mal. III. Forme • Poème de 4 quatrains d’alexandrins:  1re strophe : mise en situation, récit d’habitude →  présent : jeu de la capture des albatros. 2e strophe : effet de l’appontage sur l’albatros. 3e strophe : perte de dignité de l’albatros, jeux de  l’équipage. 4e strophe : comparaison albatros / poète. • Analyse des rimes: 

* Les Fleurs du Mal (titre oxymorique) : éditions en 1857 et 1861. Procès qui a condamné le recueil, obligeant Baudelaire à retirer 6 pièces. Il s’agit d’extraire la beauté poétique de la laideur, de la noirceur du monde. *Poème 50 (1ère éd.), 54 (2ème éd.) Section « Spleen et Idéal » dont le titre initial était « A la Belle aux cheveux d’or » = Marie Daubrun (joue dans une féérie). 1ers poèmes.

les plus connues, on peut citer les Fleurs du Mal. Mais il n'a pas connu à son époque le même succès que ses contemporains tel que.... Et sa vie, pleine de déceptions et de difficultés notamment financières le mène au désespoir, au spleen. Ses œuvres reflètent son spleen et s'avèrent malséants pour l'époque. C'est grâce à lui que la prose, forme libre, a connu son émergence. Baudelaire explique que la prose est la plus apte à traduire la sensibilité de la vie moderne, surtout pour celle de la ville

voyage qu'il a fait à environ 20 ans où l'on y retrouve beaucoup d'exotisme. Le premier titre de poème était '' La Chevelure'' avec pour sous titre ''parfum exotique'' puis il a abandonné ces titres pour les donner à d'autres poèmes. En 1862, il prend pour titre définitif ''Un hémisphère dans une chevelure''. Les thèmes de l'exotisme, du voyage et de la sensualité sont récurrents dans ''Spleen et Idéal''. Le titre et le poème posent un problème car la chevelure est réelle et on y intègre un hémisphère

Baudelaire adopte une nouvelle forme poètique, le poème en prose. « Le port » est le 42ème de ces poèmes publiés à titre posthume en 1869 dans le recueil « le Spleen de Paris ». Constitué d’un seul paragraphe, il décrit un paysage maritime à la manière d’un tableau de son ami peintre Eugène Boudin. Fasciné par le spectacle, le poète évoque à la fois sa quête de l’idéal et le spleen

drogues 1862 : des poèmes en prose sous le titre du « Spleen de Paris » Il souffrait de + en + de la syphilis et après son séjour de 2 ans en Belgique, il est frappé d’hémiplégie et s’éteint a son domicile. La drogue, la migrène, l’alcool et la dépréssion également ne l’arrange pas. Paralysé à 45 ans Deux parties dans « les fleurs du mal » : Spleen et Idéal et Tableaux parisiens Baudelaire cherche le luxe et il aime se faire remarquer sous-titre de l’œuvre : Petits poèmes en prose recueil

j'en ai fait de l'or. ». Il compare donc sa poésie au travail de l'alchimie destinée à réaliser la transmutation des métaux vils en métaux nobles, lui Baudelaire transforme la mal qui l'entoure et l'envahit en beauté, un idéal. Cette transformation apparaît d'ailleurs dès le titre «  Les fleurs du mal » suggérant une tranformation du mal en fleur. D'autres poètes empruntent aussi la voie de l'alchimiste comme Ponge dans « Le parti pris des choses » qui invite le lecteur à porter un nouveau regard

Satan, la beauté du mal. Les 3 derniers montrent la place importante qu’occupe le spleen, cette mélancolie. I- La toute puissance du Mal - La présence du Spleen Baudelaire est en proie au Spleen (= mélancolie, ennui profond), écrire lui permet d’exprimer ce mal-être. Baudelaire nous expose donc une vie qui n’a rien d’attrayant. Il décrit le destin comme un « chemin bourbeux » se rapprochant ainsi du Spleen. Ainsi, il s’oppose à l’habituelle représentation de la vie telle une longue route

1Le poème se trouve dans la partie de spleen et idéal. Le spleen est l’état d’angoisse et de parano dans lequel se trouve l’auteur pour différentes causes. Une des cause est la déception face à l’idéal justement (l’idéal de Baudelaire est la perfection de la beauté, en référence à Platon, et au divinité, en référence au christianisme). D’autre cause secondaire sont le manque d’argent, et la douleur physique. Le poème commence dans un spleen et finit en Idéal. Le poème précédent traite de la même