Tocqueville De La Source Principale Des Croyances Chez Les Peuples Démocratiques

Lʼhégémonie de la chrétienté prend fin avec la réforme protestante (donc plus dʼEmpire chrétien possible), car les thèses protestantes étaient républicaines et démocratiques, et donc non monarchiques; cʼest cette opposition au régime monarchique qui empêche lʼimperium chrétien et encourage le développement des pensées; les sources principales de cette réforme se trouvent dans la Renaissance (avec le développement du savoir et de lʼuniversité). Il y a donc une libération intellectuelle mettant fin à

résultent de l’intervention de gouvernant et du pouvoir qui leur est reconnu. En ce sens, pour les uns, la notion principale doit être l’Etat qui est la conception la plus ancienne (antiquité grecque) elle renvoie à l’étymologie même du mot politique (polis : la cité, l’état). Cette vision reste dans la continuité des travaux d’Aristote qui considérait la cité comme le type de société principale. Aujourd’hui, la cité grecque a pour synonyme l’état. Cette première conception qui privilégie l’état et la

Pas une science unifiée : il y a des écoles, différents paradigmes. Paradigme de la croyance « nous croyons que » : le plus ancien : le pouvoir repose sur sa sacralité, mais qui n’a pas disparu avec la modernité Types wébériens de la légitimité Analyse durkheimienne du lien social comme rapport sacré Etude des idéologies comme religions séculières Explication des comportements politiques par les croyances et les valeurs Le paradigme de la domination La politique n’est que rapport de forces

notamment celui qu'il a fait en Angleterre. TOCQUEVILLE (19ième) : il est l'auteur de De la démocratie en Amérique (une oeuvre en 4 tomes). Il a rédigé cet écrit sous la restauration lorsque la pensée libérale était la pensée dominante. ** Pour les libéraux la démocratie est dénuée de conséquence politique. Tocqueville part alors en Amérique et revient de son périple avec la conviction que la démocratie a des répercutions sur la société. Sa croyance se fonde sur les réalités du système politique

représentation 23 III.- Rousseauisme et jacobinisme 30 A. Le problème de la souveraineté populaire 31 B. Le problème de la représentation parlementaire 36 IV.- Benjamin Constant 41 Liminaire 41 A. Libéralisme démocratique contre absolutisme démocratique 43 B. La question de la liberté chez les Modernes 46 C. La doctrine politique de Benjamin Constant 49 V.- Trois modèles de démocratie 51 A. Le modèle participatif 51 B. Le modèle représentatif 57 C. Le modèle délibératif 62 I La

cette multiplicité une essence commune afin de parvenir à une définition du « fait religieux ». 1. La dimension sociale La dimension sociale est un élément essentiel de la religion. C’est ce qui distingue la religion de la magie ou de la simple croyance personnelle. La religion est toujours, par définition, organisée en Eglise et s’accompagne toujours d’un minimum de rites. Durkheim a beaucoup insisté sur cette dimension sociale. Cherchant à comprendre d’où vient la puissance coercitive de la

conditions de notre vie. L’homme démocratique créé le cadre le plus neutre possible, le plus vide de sens pour pouvoir y vivre d’autant plus librement. « L’espace public est de plus en plus vide pour que nous soyons de plus en plus libres ». L’organisation des séparations Que cherche à être la démocratie ? la démocratie est le pouvoir du peuple ou le régime politique où tous les pouvoirs puisent leur légitimité dans le peuple, où tous les pouvoirs sont exercés par le peuple ou ses représentants. Mais

cites étaient indépendantes par rapport aux autres, certains étaient plus fortes que d'autres. Chaque cite s'organise comme elle l'entend, il n'y a pas un seul régime précis. Il y avait une instabilité politique: on passe facilement d'un régime démocratique a tyrannique. Un autre critère est que seul les citoyens participaient a la vie politique (ne comprend pas les esclaves, les enfants, les femmes, … ). Platon est le premier à accorder de l'importance aux femmes. Ce dernier était un citoyen et

disparition de l’appareil étatique sans proposer de solution de remplacement. Marx souhaite la disparition de l’Etat, mais il réfléchit à une nouvelle organisation du pouvoir qui soit dégagée du modèle étatique. Il faut donc supprimer la classe sociale, source de l’oppression, qui devrait être remplacée par le prolétariat. C’est le prolétariat qui devrait ainsi s’affirmer comme le seul détenteur du pouvoir étatique, de manière à le transformer et à l’utiliser à son profit. C’est la dictature du prolétariat

1.3.2.2 La perspective du genre " " " 1.3.2.3 La perspective de l’âge et des générations " 2. L’histoire de la sociologie (il s’agira de montrer comment le point d’arrivée vu au 1 est le fruit de cette histoire) " " 2.1 Grands ancêtres (Comte, Tocqueville, Marx) " " 2.2 traditions nationales fondatrices puisqu’on a choisi de distinguer de grands ancêtres plutôt que des pères fondateurs (analyse idéale-typique, c’est-à-dire qui ne prétend pas à l’exhaustivité) " " France - explication, " " Allemagne