Tocsin

très énergique est lancé:”femme”, premier mot du texte ( apostrophe au singulier)/ deux verbes à impératif présent ( réveille toi reconnais) dans une injonction à l’action qui en montre l’urgence.Ce réveil est souligné par une impression sonore: le “tocsin” qui sonne l’alerte. la rupture est complète ainsi que le marque la négation “ne plus” et l’usage du passé composé: c’est une rupture consommée qu’Olympe revendique. Les métaphores des signes du pouvoir associés aux Lumières sont présentes: “toscin

Thérèse ait songé à l’avertir qu’il a doublé sa dose habituelle. Tout le monde a quitté la table — sauf elle qui ouvre des amandes fraîches, indifférente, étrangère à cette agitation, désintéressée de ce drame, comme de tout drame autre que le sien. Le tocsin ne sonne pas. Bernard rentre enfin : « Pour une fois, tu as eu raison de ne pas t’agiter : c’est du côté de Mano que ça brûle... » Il demande : « Est-ce que j’ai pris mes gouttes ? » et sans attendre la réponse, de nouveau il en fait tomber dans son

nourriture et l’extrême inquiétude des populations, dans un climat politique plein d’incertitudes. L’on s’imagine que ces rassemblements sont des troupes d’« aristocrates » (terme qui désigne pendant la révolution les contre-révolutionnaires). On sonne le tocsin, des émissaires sont envoyés dans les villages voisins qui, à leur tour, répandent la rumeur. De partout, on prend les armes. Et même si rien ne se passe, on croit les contrées voisines attaquées par de mystérieux ennemis. Parfois, pour prévenir toute

semblable au plomb dans la fournaise, Et roulais furieux sur une plage anglaise Trois couronnes dans ton limon ! Tu fus beau, tu fus magnanime, Le jour où, recevant les balles sur ton sein, Tu marchais d’un pas unanime, Sans autre chef que ton tocsin ; Où, n’ayant que ton coeur et tes mains pour combattre, Relevant le vaincu que tu venais d’abattre Et l’emportant, tu lui disais : Avant d’être ennemis, le pays nous fit frères ; Livrons au même lit les blessés des deux guerres : La France

En province, à partir du 15 juillet 1789 jusqu'au 6 août 1789, les campagnes bruissent de rumeurs confuses appelées « Grande Peur ». Les paysans craignent que les récoltes ne soient pillées par des brigands. À l'annonce de l'arrivée de brigands, le tocsin sonne dans les villages. Les paysans s'arment de fourches, de faux et autres outils. Quand ils s'aperçoivent qu'il n'y a aucun danger, au lieu de retourner vaquer à leurs occupations, ils se dirigent vers le château du seigneur. Ils exigent les titres

jugements qu'ils portent sur les insurgés est aussi un fait réel, le témoignage de Maquan, prisonnier des forces insurrectionnelles le 7 decembre alors qu'il est retranché dans la mairie de Lorgues avec les Blancs, nous en donne un parfait exemple : "Le tocsin sonne ; le générale bat ; de grands rassemblements d’hommes à figure sinistre, armés de fourches et de bâtons, parcourent les campagnes, hurlent La Marseillaise, se répandent partout, activent le mouvement, forcent à marcher, le pistolet sur la gorge

tes droits », « opposez courageusement », « réunissez-vous », « déployez toute l’énergie de votre caractère ». L’appel gagne donc en énergie, et, dès le début, nous comprenons qu’il s’agit d’une véritable guerre à mener, dont sonne l’alarme : « le tocsin de la raison sonne dans tout l’univers ».Les armes du combat​La raisonPour mener cette guerre, une arme s’impose en cette fin de « siècle des Lumières », « la force de la raison », principe qui a guidé toute la réflexion des philosophes de cette époque

Émolument : = le salaire. Immuable : ce qui n'est pas possible de changer. Bienséance : =convenir. Dogme : = lois. Prédilection : ce qu'on favorise. Férue : passionner de... Bocks : verres de bière. Miasme : odeurs désagréable. Airain : =bronze. Tocsin : sonnerie d'alarme pour, un incendie, une guerre,... Emmantelle : éveille, excite. Incipit : début d'un roman. Étymologie : l'étude de l'origine du mots. Le trépas : la mort. Délétère : qui attaque la santé. Incarcéré : prisonnier. Impétueux : fougueux

En province, à partir du 15 juillet 1789 jusqu'au 6 août 1789, les campagnes bruissent de rumeurs confuses appelées « Grande Peur ». Les paysans craignent que les récoltes ne soient pillées par des brigands. À l'annonce de l'arrivée de brigands, le tocsin sonne dans les villages. Les paysans s'arment de fourches, de faux et autres outils. Quand ils s'aperçoivent qu'il n'y a aucun danger, au lieu de retourner vaquer à leurs occupations, ils se dirigent vers le château du seigneur. Ils exigent les titres

dans le premier vers qui évoque la dureté (-ba) de la guerre - Un rythme ample qui donne un souffle épique au texte Les images poétiques : - métaphore et comparaisons qui assimile le corps humain à une machine de guerre ( vers 10, cœur devient tocsin, vers 4/5 corps devient un explosif)métaphore épique du vers 15 : « assaut »vocabulaire militaire - La métaphore de l’aube proche vers 21, qui embellit une réalité politique et militaire ( la libération) en l’assimilant au renouveau du jour. III