Todd Phillips

de biens en fonction du niveau des prix. On pourra noter a′ = ln(A). 6) Représentez et interprétez cette fonction d’offre globale dans le cas où γ ∈ (0, 1) et dans le cas où γ = 1. Exercice 3 - Equilibre Offre Globale - Demande Globale et courbe de Phillips En forme réduite, la fonction d’offre et de demande agrégées peuvent s’écrire respectivement: y d = A − αp y s = B + (1 − γ)p avec γ ∈ (0, 1]. 1) Dans un premier temps nous considérerons que γ = 1. Calculez le niveau du produit y ∗ et des prix p∗

théorie établie indiquait que, avec une légère hausse de l’inflation, il était possible de baisser de manière permanente le chômage et d’augmenter le niveau réel de l’activité économique. Cette théorie a été exposée dans la « Courbe de Phillips » (A.W. Phillips, 1958), qui montrait une relation négative et supposée stable entre le taux de chômage et le taux d’inflation. La relation entre l’inflation et l’emploi se fait à travers du pas intermédiaire des salaires. La hausse des prix incite à

Les plans de relance apres 2008 cherche de la même façon a atteindre un même niveau de stabilité. Pol monétaires permettent de relancer la croissance (USA 2011 , GB 2011) C. Epusiement des recettes keynesiennes (70’s) Inversion de la courbe de phillips, stagflation marquent la fin de la regulation keynesienne ds le contexte de l’internationalisation. Le contexte impose des politiques d’offre. Plus grande mobilite des capitaux pour assurer l’efficience au niveau mondial. Le dev des pays emergnts

l’économie fléchit, sans qu’il y ait de conséquences majeures. Cette hausse de salaire va donc provoquer le début d’une réaction en chaine dont le premier pallier et la formation de pression à la hausse sur les coûts. Comme vu ci-dessus la courbe de Phillips et relativement courbée. Avec cette pression à la hausse des coûts, la courbe va se déplacer plus ou moins vite vers la droite. Le chômage va alors commencer à grimper, notamment à cause du refus du gouvernement de valider les nouveaux coûts qui

demande de monnaie infinie. La politique monétaire depuis 1929 a été contra cyclique. Lorsque la croissance économique ralentie, les autorités monétaires ont une politique expansionniste afin de réduire le taux d’intérêt. La courbe de Phillips : Relation entre taux d’inflation et taux de chômage. Quand le chômage augmente, il existe d’avantage de concurrence entre les salariés, et donc les salaires baissent. Si le chômage baisse, les salaires montent, et il y aura inflation. Stagflation

COURS DE DYNAMIQUE ECONOMIQUE Cours de Valérie Mignon. valeriemignon@u_paris10.fr 608bis, 01 40 97 58 60. Interprétation suggérée par Phillips : en termes de demande excédentaire : Si la demande de travail est forte, les entreprises ont tendance à augmenter les salaires chômage. Interprétation suggérée par Phelps (1970) : Il n’existe jamais un taux de salaire équilibrant parfaitement offre et demande de travail. Ce constat résulte de l’existence d’imperfections de l’information (On y

plus les prix baissent (déflation, qui n’est pas à confondre avec la désinflation qui correspond à un ralentissement de la hausse des prix et non pas à leur diminution), plus le chômage augmente. C’est ce que l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips a mis en évidence, en 1958, dans une courbe à laquelle on a donné à tort son nom. Dans ce graphique, il a observé une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l’inflation. Ainsi, Philips observa une relation

mesures de politique économique. La relation prix salaires est analysée à partir du modèle WS-PS qui propose une analyse du fonctionnement du marché du travail sensible aux aspects institutionnels et des différentes formulations de la relation de Phillips qui seront particulièrement utiles pour comprendre le modèle AS-AD qui apporte un nouvel éclairage du fonctionnement de l’économie à moyen terme. Il s’agit d’établir un pont entre le fonctionnement de l’économie à long terme qui sert de référence

accepte de payer plus cher afin que le producteur puisse amener au marché l'unité supplémentaire dont le coût de production est plus élevé que la précédente (coût marginal croissant). Lorsque Paul Samuelson et Robert Solow intègrent la courbe de Phillips (1958) au modèle à prix-fixes IS/LM (John Hicks, 1937) pour forger le modèle demande globale/offre globale (AD/AS) en 1960, ils traduisent cette contrainte à court terme sur la production potentielle, par un effet prix : lorsque la demande s'élève

profonde qui remet en cause le système monétaire international établie en 1944. A partir du milieu des années 1970 en particulier, la théorie néo-keynésienne selon laquelle le chômage et l’inflation évoluent dans des sens opposés (« Courbe de Phillips ») fut clairement infirmée par l’expérience de la stagflation. Sous l’impulsion de M. Friedman, les économistes monétaristes furent entendus des principales autorités gouvernementales et des grandes banques centrales : aux Etats-Unis, la politique