Tombe du Soldat inconnu

la Grande Guerre sont pillés. Avec la complicité passive des autorités.   Il pleuvote. Les labours d'automne ourlent une terre riche, parsemée de bois et de prés, qui moutonne sous le ciel lourd. Le Chemin des Dames... Ici sont morts 1 200 000 soldats durant la Première Guerre mondiale. Et pourtant, l'oubli règne sur le «plateau maudit». Une trentaine de kilomètres de long entre Soissons et Berry-au-Bac, quelques centaines de mètres dans ses parties les plus étroites, ce site, taillé dans le calcaire

Industrie de chimie → médicaments pour les blessés mais aussi nouvelles poudres pour canons et gaz asphyxiants. 2ème effort de guerre : Financer la guerre : -Impôts : on fiscalise, mais pas durable : max 1 an. -Hommes au front : solde du soldat (= très petit salaires). Soldes insuffisantes. En temps de guerre, on diminue fortement les salaires, donc impôts sur le revenu baisse. -On emprunte a deux échelles : - A un autre état (ex : Amérique), l’entente trouve de l’argent comme ça. (Les

Son grand-père : « C’est un devoir de désobéir ! » Pierre Lefranc : J’aime mieux mourir dans les bras d’une femme que dans ceux d’un tirailleur. Alors les jeunes a u fond du désespoir entendent cette voix inconnue venue de nulle part. Jean-Louis Crémeux-Brillac : (pour de Gaulle, des pétainistes) : « Ce salaud veut tout faire casser la gueule. Les appels forment 1 bloc ils ne sont pas séparables. Sans de Gaulle et sans Jean Moulin, il y aurait

des montagnes de fange.   Mais il y a au monde, Une chose sainte et sublime : C'est l'union de deux de ces êtres, Si imparfaits et si laids...   On est souvent trompé en amour, Souvent blessé Et souvent malheureux.   Mais au bord de la tombe, on se retourne Pour regarder en arrière Et on se dit :   " J’ai souffert souvent, Je me suis trompé quelquefois Mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu   Et non un être factice Créé par mon orgueil et mon ennui. "   Alfred de Musset Le

Gérard de Nerval (1808-1855) 3. Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivièreAccrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil de la montagne fière,Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade

de nos pères, nous combattons pour les droits et la civilisation ». Maurice Barrès suit les obsèques de son vieil ennemi Jaurès. Réactions de personnalités socialistes → sous des applaudissements unanimes, E. Vaillant (figure de l’antimilitarisme) tombe dans les bras d’Albert de Mun. Gustave Hervé, antipatriote militant, se convertit brutalement. Il écrit : « ils ont assassiné Jaurès, nous n’assassinerons pas la France ». Tous les députés de la SFIO votèrent les crédits de guerre le 4 août. 2 dirigeants

1)Choisissez 4 personnages. Donnez leurs caractéristiques en justifiant par des exemples précis.Le comte Almaviva : Il est l’amant inconnue de Rosine. C’est un jeune amoureux. Il a un premier temps un caractère très téméraire sur le fait qu’il fait tout pour libérer Rosine du docteur Bartholo. Aussi comme souvent il a le rôle d’amant naïf qui est encore plus mise en valeur par l’intelligence de Figaro.Figaro : Figaro est un homme qui a un passé très rempli. Il vu beaucoup d’aspect de la vie. Grace

l'abandonne. Réformé, Bardamu décide de partir pour l'Afrique. Il y découvre les horreurs de l'exploitation coloniale. Il retrouve Robinson, rencontré sur les champs de bataille, et lui succède en reprenant la gérance d'un comptoir commercial. Il tombe malade et connaît des crises de délire. Devenu médecin , mais menant une existence toujours aussi misérable, il s'installe à Rancy, banlieue triste et pauvre. Il y découvre les côtés les plus répugnants et les plus désespérants de la condition humaine

le mythe des origines : les circonstances de la naissance de Fabrice appartiennent à un passé déjà mythique : le Milan de 1796 où pénètre l'armée napoléonienne se réveille soudain aux sons joyeux de ces soldats en guenilles, tous jeunes et enthousiastes, et commandés par un général qui n'a pas vingt-sept ans. Stendhal évoque la période comme une image d'Épinal où l'armée fraternise avec un peuple qui ne s'était pas rendu compte jusqu'alors de son ennui. Cette passion, cet enthousiasme sont incarnés

alors une discussion, et un questionnement mutuel sur Elsy, cherchant tous deux à en apprendre d’avantage sur son adolescence ou sa vie adulte. Par la suite elle s’en va rendre visite à Britta qui va se mettre à lui parler de « vieux os » et de «soldat inconnu » avant de sombrer dans une crise d’amnésie. En effet, Britta souffre de la maladie d’Alzheimer. Au fur et à mesure de ses investigations, Erica ne comprend pas pourquoi tous ceux qu’elle rencontre lui décrivent sa mère comme une personne chaleureuse