Tombeau de François II de Bretagne

Paris-Diderot Table des matières Livre premier – La guerre entre quatre murs .......................... 6 Chapitre I La Charybde du faubourg Saint-Antoine et la Scylla du faubourg du Temple ..................................................... 7 Chapitre II Que faire dans l’abîme à moins que l’on ne cause ?.........................................................................................17 Chapitre III Éclaircissement et assombrissement ................... 23 Chapitre IV Cinq de moins, un de plus

Paris-Diderot Table des matières Livre premier – La guerre entre quatre murs .......................... 6 Chapitre I La Charybde du faubourg Saint-Antoine et la Scylla du faubourg du Temple ..................................................... 7 Chapitre II Que faire dans l’abîme à moins que l’on ne cause ?.........................................................................................17 Chapitre III Éclaircissement et assombrissement ................... 23 Chapitre IV Cinq de moins, un de plus

s’il est donné à l’auteur d’achever ce travail, en précéderont et en amèneront un autre qui sera intitulé : Quatre-vingt-treize. Hauteville-House, 1869. 1 PREMIÈRE PARTIE LA MER ET LA NUIT DEUX CHAPITRES PRÉLIMINAIRES I. – URSUS II. – LES COMPRACHICOS 2 I URSUS I Ursus et Homo étaient liés d’une amitié étroite. Ursus était un homme, Homo était un loup. Leurs humeurs s’étaient convenues. C’était l’homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s’était aussi choisi

par force, retrouvée – je forge en même temps 2 Flaubert, Correspondance, Paris, Gallimard (Pléiade), II, p. 782-83 ; lettre de novembre 1857 à Ernest Feydeau. 3 Ibid., II, p. 784 ; lettre du 12 décembre 1857 à mademoiselle Leroyer de Chantepie. Ibid. , II, p. 837, Croisset, milieu d’octobre 1858, à Ernest Feydeau. Ibid., III, p. 95 ; lettre du 3 juillet 1860 aux Goncourt. Ibid., II, p. 845 ; lettre du 19 décembre 1858 à Ernest Feydeau. 4 5 6 3 que je l’apprends, dans la douleur

réveillé par «deux nomades», qui s’adressent à lui dans un mélange de mots de langues étrangères. Il leur offre de «l’essence de fenouil», sa boisson favorite. À peine sont-ils partis, qu’il ne se souvient plus d’eux, et s’endort à nouveau. Chapitre II On apprend que le duc avait une femme qui est morte et lui a laissé des triplées. À Paris, il se trouve auprès du «saint roi» Louis IX qui veut mener une huitième croisade, et se rendre à Carthage. Mais le duc s’y refuse ; aussi «manants, artisans

réveillé par «deux nomades», qui s’adressent à lui dans un mélange de mots de langues étrangères. Il leur offre de «l’essence de fenouil», sa boisson favorite. À peine sont-ils partis, qu’il ne se souvient plus d’eux, et s’endort à nouveau. Chapitre II On apprend que le duc avait une femme qui est morte et lui a laissé des triplées. À Paris, il se trouve auprès du «saint roi» Louis IX qui veut mener une huitième croisade et se rendre à Carthage. Mais le duc s’y refuse ; aussi «manants, artisans

19€ # S O M M A I R E C O M P L E T E N PA G E 2 8 Afrique CFA : 2 200 F CFA, Algérie : 160 DA, Allemagne : 4,90 €, Antilles-Guyane : 4,95 €, Autriche : 4,90 €, Belgique : 4,90 €, Canada : 6,95 $C, Espagne : 4,90 €, Etats-Unis : 6,75 $US, Grande-Bretagne : 3,95 £, Grèce : 4,90 €, Hongrie : 1 500 HUF, Irlande : 4,90 €, Italie : 4,90 €, Luxembourg : 4,90 €, Maroc : 28 DH, Pays-Bas : 4,90 €, Portugal (cont.) : 4,90 €, La Réunion : 4,95 €, Suisse : 7,80 CHF, TOM : 700 CFP, Tunisie : 5,40 DT. Vingt-cinq

BIBLIOGRAPHIQUE : ·1 Jacques ELULE «  L’HISTOIRE DES INSTITUTIONS » tome 1 et 2 ·2 Manuel de Jean louis HAROUEL « L’HSTOIRE DES INSTITUTIONS DE L’EPOQUE FRANC A LA REVOLUTION » Collection : le droit fondamental. ·3 LEMARINIER Jean-François « La France médiévale » ·4 « Histoire du droit français, des origines à la révolution » ·5 Pierre-clément TIMBAL «  histoire des institutions et des faits sociaux » ·6 Dictionnaire (moyen-âge) Moyen-âge : La période que l’on

aimable personne, toujours gaie et rieuse. On dit toujours : Qui se ressemble s’assemble. Ce dicton s’appliquait admirablement à leurs ménages. Hermine avait épousé un homme triste, rigide, sévère d’aspect. Son visage allongé était orné de favoris à la François-Joseph. Le mari d’Anna, au contraire, était un bon vivant, à la ronde figure riante, coupée d’une forte moustache. Les deux beaux-frères portaient le même prénom. Le premier était Adolphe Reinherz, le second Adolphe Taufstein. Les deux familles habitaient

vallon, serré entre deux hautes murailles de roche. Il était bordé sur la droite d'oliviers bien entretenus, et sous la barre de gauche par un fouillis d'arbres touffus : c'étaient des pruniers chargés de fruits ronds, qui commençaient a bleuir. François, les jambes écartées, lançait sa faux à la volée. Lili le suivait, et liait en gerbes les javelles... C'était du blé noir, le froment du pauvre. Les épis étaient clairsemés, et il y avait même de grands vides, où les lapins avaient mangé ce blé