Tonalite Serieuse Ironique

passion. Le texte se compose d'une série de distiques, qui fragmentent la perception de la réalité. Verlaine évoque un décor fantomatique et instaure un faux dialogue entre des personnages qui n'ont plus rien à échanger. Verlaine veut traiter de façon ironique une situation banale, la sienne peut-être. I. Les rendez-vous amoureux sont des stéréotypes littéraires. Les poètes romantiques, à l'exemple de Musset ou Lamartine nous ont habitué à perpétuer le souvenir de la passion. Verlaine va mettre toute

en passant en revue les textes, ainsi que différentes interprétations ou tendances interprétatives, ce afin de montrer à quel point l’interprétation de l’œuvre de Rabelais pose problème et que dans ce cadre il est très difficile de cerner un ton Ironique. Dans ce contexte quel est donc le statut de cette figure? Au côté d’une Ironie assez définissable que l’on pourrait qualifier de ponctuelle et que lecteur rencontre de manière éparse dans l’œuvre de Rabelais, on trouve également des marques d’une

dans Candide, en deuxième partie celle de l'ironie et finalement celle de l'implicite. En premier lieu, La parodie. C'est un texte qui, à des fins satiriques ou comiques, imite en la tournant en ridicule, une partie ou la totalité d'une oeuvre sérieuse connue. Le lecteur doit donc être capable de reconnaître l’œuvre parodiée et de mesurer l’écart entre le modèle et le détournement. Les principaux procédés de la parodie sont d'amplifier les tics d’un écrivain, d'inverser le rôle des personnages

et de tonalités qui rendent chaque tentative d’argumentation très originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître * lâche ou serrée, * courte ou longue, * formelle ou informelle, * lourde ou subtile, * produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, * classique ou novatrice, * un long siège ou un coup d’audace, * simple ou à effets, * sérieuse ou bouffonne, * évidente ou ironique, *

semble plongé dans un univers qui lui rappelle celui des contes de fées, il se rend rapidement compte que la présence d’un certain nombre de tonalités moqueuses invite à une lecture ironique du texte et que derrière une façade sérieuse le monde du baron n’est pas ce qu’il semble. Il nous montre un monde idéal, voire même utopique en utilisant le ton ironique et humoristique. Ce que Candide et Cacambo regardent avec émerveillement et naïveté, Voltaire lui regarde avec une certaine distance et un certain

collectif et de nombreuses tournures passives. On a l’impression que seul subsiste sous la plume de Voltaire des gestes, des mouvements, des sons, des images, un rituel, dépourvues de signification. - Plusieurs procédés de style confèrent au récit sa tonalité humoristique : L’horreur est présentée de manière légère. Le vocabulaire employé est mélioratif (« bel musique », « chantait », « cadence »…) et ne se rapporte pas au champ lexical de la torture et de l’exécution capitale. Ainsi le bûcher est évoqué

également au désespoir notamment avec ce dernier poème Colloque sentimental. Verlaine, en refusant ici l’idéalisation du souvenir amoureux, opère une vive rupture avec ses précédents poèmes, en reniant l’ensemble de son recueil sur une note ironique et funèbre. Le poète fait plonger le lecteur dans un cadre spatio-temporel loin d’être idyllique et propice à l’échange amoureux, ce qui renforce le caractère sombre et désespéré que Verlaine confère à l’amour. Dès le premier vers

connaissance de la sottise d’une vieille. » 1er, titre censuré, phrase complète dénonçant d’emblée l’hypocrisie des gens d’Eglise et la réalité discutable des miracles. Le second titre finalement retenu est moins subversif. Mais ce titre donne déjà la tonalité comique en lien avec la dévotion. 2) Situation initiale (1à6) : Fonction traditionnelle : présenter époque, lieu et personnages. Ici, lieu clairement et précisément décrit par des CC2 : « En l’Eglise St Jean de Lyon » (lieu véritable : fonction

Objet d’étude 2 Le théâtre l’ile des esclaves Marivaux Extrait 1 : Scène d’exposition 1. IPHICRATE. Esclave insolent ! 2. ARLEQUIN, riant. Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes; mauvais jargon 3.que je n'entends plus. 4. IPHICRATE. Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? 5. ARLEQUIN

Au chapitre 15, tout le monde retourne au Mans. Enfin, au chapitre 16, Ragotin reçoit chez lui, « près de Sillé-le-Guillaume ». La Province / Paris : deux univers qui s’opposent et se complètent. Scarron le Parisien observe la province d’un œil ironique, tandis que les Provinciaux admirent les Parisiens et tentent de les imiter ; Paris, de fait, prend presque autant de place dans le récit que Le Mans. Une ouverture sur le monde. Elle n’existe que par l’intermédiaire des récits, qu’il s’agisse de