Torah

sur le respect et permettent de célébrer un Dieu. Les 3 religions sont bien-sûr basées sur des écrits anciens. Ceux-ci sont une base pour la pratique de la religion ; ils témoignent d’une existence très ancienne, qui est un symbole : Judaïsme : Torah ; 5 premiers livres de la bible et présente l’histoire et la religion des Hébreux. Le croyant en récite des passages chaque jour. Christianisme : Bible ; Ancien Testament (Bible des Juifs) et du Nouveau Testament comprenant les 4 Evangiles, les Actes

divine de l'ensemble des livres sacrés du judaïsme et du christianisme5, tout en considérant qu'ils sont, dans leurs écritures actuelles, le résultat d'une falsification6 : le Suhuf-i-Ibrahim (les Feuillets d'Abraham), la Tawrat (le Pentateuque ou la Torah), le Zabur de David et Salomon (identifié au Livre des Psaumes) et l'Injil (l'Évangile). Outre le Coran, la majorité des musulmans se réfère à des transmissions de paroles, actes et approbations de Mahomet, récits appelés hadiths. Cependant, les différentes

est désespéré, grimpe sur le Mont Sinaï, reçoit par Dieu la transmission d’un message. Il parle longtemps, lui transmet la Torah. C’est l’ensemble des 613 principes qui définissent ce qu’est un juif. La tradition juive pense que Moïse a mis par écrit cette Torah qui constitue le début de la Bible hébraïque. Ce n’est que le début, la bible est achevée au 1er siècle ap JC. La Torah n’est que les 5 premières parties de la Bible. Le pentateuque, c’est seulement le début. La Bible chrétienne, c’est d’abord

Le Livre de la Genèse (du grec Γένεσις, « naissance », « commencement », « source », « origine », « cause ») est le premier livre de la Torah (Pentateuque), donc du Tanakh (la Bible hébraïque) ou de l'ancien Testament. En hébreu, son intitulé est Bereshit (« au début de …») d'après le premier mot de la première parasha du Livre1. La tradition juive considérant qu'il a été écrit par Moïse, on l'appelle parfois le Premier Livre de Moïse. Le livre de la Genèse veut expliquer l'origine de l'homme et

aborder pour un non-initié. Ici, il faut entendre par ésotérique un accès direct à Dieu, sans prêtre, du domaine du mystique (comme le tableau Sainte Thérèse, en extase du Bernin).Yahvé donna à Moise, sur le Mont Sinai la loi écrite et publique : la Torah et la loi orale et secréte : la Kabbale. On la compare à un état d'esprit, un courant à l'intérieur du judaisme, une branche. (Un kabbaliste est toujours juif, mais un juif n'est pas forcèment kabbaliste). Elle apporte des réponses à des questions

l'ensemble des livres sacrés du judaïsme et du christianisme[6], tout en considérant qu'ils sont, dans leurs écritures actuelles, le résultat d'une falsification partielle[7] : le Suhuf-i-Ibrahim (les Feuillets d'Abraham), la Tawrat (le Pentateuque ou la Torah), le Zabur de David et Salomon (identifié au Livre des Psaumes) et l'Injil (l'Évangile). Outre le Coran, la majorité des musulmans se réfère à des transmissions de paroles, actes et approbations de Mahomet, récits appelés hadiths. Cependant, les

vecteur culturel. Pour Spinoza, c'est le latin qui sera la langue de l'expression écrite. Spinoza fréquente le Talmud Torah (école juive élémentaire) de sa communauté, acquérant ainsi une bonne maîtrise de l'hébreu et de la culture rabbinique. Sous la conduite de Rabbi Mortera[3], il approfondit sa connaissance de la Loi écrite et accède aux commentaires médiévaux de la Torah (Rachi, Ibn Ezra) ainsi qu'à la philosophie juive (Maïmonide)[4]. À la mort de son père, en 1654, il reprend l'entreprise

mourront pas mais gagneront la force et la puissance. Eve est la première à accepter de tenter l'expérience. Elle croque le fruit, et en donne à Adam, qui en mange à son tour. Ces deux extrait font partit de l'Ancien Téstament et du livre "la Torah" qui est un livre très sacré pour la communauté juive, tout comme "Les Nevi'im" ce qui veut dire les Prophètes et "les Kitouvim" qui sont les autres écrits. 3) Après l'Ancien téstament. Le Nouveau Testament est la seconde partie, après l'Ancien Testament

Kasher, en Hébreu, veut dire « propre », « conforme ». Manger Kasher, c’est consommer des aliments qui conviennent aux règles du Cacherout, qui est l’ensemble des lois diététiques de la religion judaïque. La plupart de ces lois dérivent de la Torah écrite. Leurs détails et les applications pratiques sont, en revanche, transmis par la tradition orale et seront plus tard élaborés dans la littérature rabbinique. Pourquoi est-ce que les Juifs mangent des aliments kasher? Les origines de cette pratique

descendants les Juifs, serait basée sur une alliance contractée entre Dieu et Abraham[7], qui aurait ensuite été renouvelée entre Dieu et Moïse[8]. Les juifs fondent le judaïsme sur la religion abrahamique qui fleurira ensuite dans la Loi mosaïque (la Torah, les Nevi'im et les Ketouvim), collectivement désignés par l'acronyme Tanakh, dont le texte constitue la Miqra ou Bible hébraïque. Cette religion se fonde sur le culte du Dieu[9] d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, au Nom ineffable, qu'elle conçoit