Torture

Toute personne est autorisée à circuler librement sur le territoire et à faire partie de réunions ou associations. La justice privée est interdite, l’organisation ou le fonctionnement de milices autre que l’armée du Guatemala est punissable. La torture, les abus, les mesures non justifiées par la loi sur un prisonnier ou détenu est passive de sanction. En réalité : Un grand nombre de personnes est victime d’exécutions extrajudiciaires effectués par les forces de sécurité et leurs agents civils

début un télécran. O’brien apparait alors comme un membre du Ministère de l’Amour, où ils sont amenés. A partir de ce moment, l’ami de Winston travaillant au Ministère de la vérité, Julia, et Winston lui-même sont torturés pour avoir été des opposants au régime de Big Brother. La torture, personnalisée selon les phobies des personnages (les rats pour Winston) est alors pratiquée afin d’obtenir des personnages leur complète soumission et adhésion au parti. Winston tente de résister, en s’imaginant

démoniaque (l 16-19) → wagon (apporte le travail, torture) + monstre et machine vivantes (personnification et verbes d'actions) b) Un lieu de tortures : la souffrance au travail ► La souffrance des hommes : la souffrance physique Mie à mal des sens → ouïe (hyperbole, CL bruit) + toucher (feu) + odorat Corps mis à mal → gradation des coups (l5) + CL des vibrations ► Présence de tortures infernales ( la chaine de travail) Tortures infini → CL + Répétition (l20-21) Structure

charniers, dégageant une odeur épouvantable, d'hommes et de mulets : il s'agissait de caravanes prises en chasse par l'aviation. Dans les villages habités de la zone non interdite, que nous traversions, un certain nombre de civils étaient en général torturés devant la troupe, avec même participation active de quelques appelés ou maintenus. Au mois de juillet, alors que nous étions absents de Biskra, notre compagnie fut rappelée précipitamment. A notre arrivée, la place du marché de Biskra brûlait encore

typiquement adolescent à des sites qui n'hésitent pas à diffuser des images de torture et de sadisme. D'un simple clic de souris, les jeunes peuvent télécharger de la musique aux paroles très violentes (parfois censurées dans les disques vendus en magasin) et des images, vidéoclips et jeux en ligne tout aussi inquiétants. Les jeunes aiment également les sites « sanglants » qui montrent des images réelles d'accidents, de tortures ou de mutilations. Beaucoup d'adolescents considèrent ces sites comme inoffensifs

La Corée du nord : conditions carcérales LA TORTURE ET LES AUTRES MAUVAIS TRAITEMENTS Quelque 200 000 personnes sont incarcérées dans les centres de détention et camps pénitentiaires de Corée du Nord. Un grand nombre d’entre elles sont soumises à la torture et à d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Les conditions de détention varient d’un centre à l’autre, mais de manière générale elles sont plus difficiles dans les camps pour prisonniers politiques (kwanliso) que dans

parfois même la cruauté de sa vie, de cette existence qui l’a tordu depuis son jeune âge et lui a écrasé la face. Les discriminations incultes, injustifiées et philistines envers les juifs avaient brulé les uns en réchauffant les autres, comme le feu torture ou conforte. C’est ça la guerre, une chasse, traque, embusque, verbeuse, menteuse, trompeuse, cauteleuse dont les boucs émissaires étaient des enfants qui ne connaissent rien à la vie, des enfants dont la simple pensée des billes pourrait préoccuper

peut aboutir à des exécutions de mineurs). Malgré cette modification, cette politique n’en reste pas moins choquante. En effet, les policiers ont pour obligation de trouver un coupable quel qu’il soit, dans un très court délai, d’où le recours à la torture pour obtenir des aveux. On peut dire que se sont des aveux forcés, qui ne sont pas toujours vrais mais qui aboutissent à des erreurs judiciaires. On notera quelques exemples de ces erreurs tels que Ting Xinshan, exécuté en 1989 pour l’assassinat

lieu dans la plus grande discrétion et aucune information ne devait sortir des murs des camps de rétention, camps qui étaient bien sûr non officiels. Ainsi donc, les dissidents étaient arrêtés, placés dans des camps dont on ignorait l’existence, torturés et le plus souvent tués et enterrés dans des fosses communes dans l’ignorance la plus totale des familles des victimes. Cette pratique redoutablement efficace n’a pas tardé à s’exporter. On la retrouve notamment en Irlande du Nord en 1972, aux

de silence, muet, attendre, espace vide, affreuse solitude, aucune distraction, atroce pression du néant, vide inexorable, maussade, … » et de la violence : « humiliation, torture, malheureux, fil de fer barbelé, arracher, coups de bâton, tortures corporelles, guerre, brusquement, hostiles, procès-verbal, redoutable, mort, torture interminable, cruauté, génie diabolique, tueur d'âmes, mains saignent, m'étouffent, détruit, signes inquiétant, emprise mortelle, suffoquant, sombre, … ». 3. Notons aussi