Tournai

Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal (1947) Va-t’en, lui disais-je, gueule de flic, gueule de vache, va-t’en je déteste les larbins de l’ordre et les hannetons de l’espérance. Va-t’en mauvais gris-gris, punaise de moinillon. Puis je me tournais vers des paradis pour lui et les siens perdus, plus calme que la face d’une femme qui ment, et là, bercé par les effluves d’une pensée jamais lasse je nourrissais le vent, je délaçais les montres et j’entendais monter de l’autre côté du désastre

Ecole d’Enseignement et de Promotion Sociale de la Communauté Française Rue Saint-Brice, 53 7500 Tournai Enseignement Supérieur Paramédical Cadre en soins de santé U.F. 14 : Rapport de stage, Une semaine chez les pompiers. Présenté par : Verschelde Aurélien En vue de l’obtention du diplôme de cadre en soins de santé. Année scolaire 2011-2012 Table des Matières Introduction ............................................................................................................

j’ai bien évidement choisie le domaine de la musique. Je devais donc aller signer ce fameux contrat deux semaines plus tard, date à laquelle mon film sortait en salle. Et si je me souviens bien mon père m’a accompagné sur les lieux du film que je tournais en tant que second rôle à l’époque pour les dernières scènes de ce long-métrage mais surtout pour que j’annonce à mon réalisateur que j’arrêtais le cinéma définitivement afin que j’enregistre mon premier album. Il a tout à fait compris il a simplement

guerre. Je ne comprenais pas. L’inconvénient c’était d’aller travailler dans une usine à l’opposé de chez moi : Nom de la ville à trouver La nuit suivante, je n’arrivais point à dormir. J’étais encore sur le choc de cette mauvaise nouvelle, je me tournais dans mon lit essayant de fermer l’œil. Il était maintenant une heure du matin quand je me suis levée pour écrire un peu. Assis à ma table, devant ma feuille blanche avec aucune inspiration, je me suis mise à gribouiller toutes sortes de moyens de

retrouver sur les quais de la Daurade. Ce fut à cet instant que j’entendis un chuchotement; non ça ressemblait plutôt à un cri étouffé. La voix n’était pas distincte, j’ai cru entendre mon nom, elle voulait m’emmener quelque part. Brusquement, je me tournai croyant que quelqu'un m’appelai. Mais il n’y avait personne mis à part une vielle dame d’une soixante dizaine d’année qui me paraissait étrangement familière. Elle était petite, très maigre, ce qui me parut le plus étrange était ses yeux; des yeux

je procédai ! — avec quelle précaution, — avec quelle prévoyance, — avec quelle dissimulation je me mis à l’œuvre ! Je ne fus jamais plus aimable pour le vieux que pendant la semaine entière qui précéda le meurtre. Et, chaque nuit, vers minuit, je tournais le loquet de sa porte, et je l’ouvrais, — oh ! si doucement ! Et alors, quand je l’avais suffisamment entrebâillée pour ma tête, j’introduisais une lanterne sourde, bien fermée, bien fermée, ne laissant filtrer aucune lumière ; puis je passais la

l'interaction avec E. resultat des courses I. coupe notre interaction et veut parler avec E. en privé aux toilletes ( elle la fais quitter du cours de sport et va aux chiottes avec elle) faut pas etre einstein pour comprendre que leurs discussions tournais autour de moi Et T. Cette cretine( c'est vrai en plus elle a que 6 de moyenne) de I. et le specimen T.

machinalement. Mais cela n’avait pas l’air de trop mal marcher et quand, écœuré* de ma stupidité, le général décidait de me faire servir un repas pour voir si je ne serais pas un pu plus intelligent après avoir mangé et que m’asseyant à table je tournais et retournais d’un air embarrassé pour, enfin, me moucher dedans, qu’à ce spectacle le général levait les bras au ciel d’un air désespéré tandis que Capi se jetait à terre les quatre pattes en l’air en donnant toutes les apparences du fou rire,

j’entendis pour la première fois sa voix. « Vous partez déjà ? » La phrase était banale et pourtant un frisson étrange me parcourut le dos, comme si cette voix eût été pourvue d’organes tactiles* que j’aurais senti courir sur ma colonne vertébrale. Je me tournai et fus frappé par sa beauté. Elle me parut d’abord très grande, puis je vis que cette impression tenait surtout à la longueur de ses jambes, moulées dans un pantalon de velours noir .Ses épaules étaient larges mais sa silhouette n’avait rien de masculin

de rendements et de nouvelles cultures comme le tabac se développement. -Renaissance industrielle : elle pratique le protectionnisme(les étrangers paient des droits de douane élevés).Et elle privilégie les nouvelles industries.Ex:porcelaine à Tournai. -Renaissance commerciale:elle crée un nouveau réseau routier et fluvial(construction de canaux). -Renaissance financière:les administrations publiques doivent tenir leurs comptes à jour pour établir des tableau de recettes et de décence.