Tournai

ce qu'il ressent et c’est l’un des qualité qu’a Ursule pour son amie Suzanne. Mais parfois ce n’est pas une qualité car sa l’affecte aussi nous pouvons le constaté dès les première ligne de la page 110 « Mais quelle fut ma surprise lorsque je tournai les yeux sur cette jeune amie qui s’interresait à mon sort ! Elle me parut presque aussi changée que moi. Elle était d’une maigreur à effrayer , elle avait sur son visage la pâleur de la mort, les lèvres blanches et le yeux presque éteint. » En

douloureux : toutes ces lumières m'éblouirent, cette atmosphère chaude et embaumée m'étouffa... Tout mon sang reflua vers mon coeur et je fus près de défaillir... Mais, en ce moment, je sentis un peu de fraîcheur, on venait de lever le rideau. Je me tournai instinctivement, cherchant de l'air à respirer... C'est alors que j'entendis une voix... oh !... qui vibra jusqu'au fond de mon coeur... Tout mon être tressaillit... Cette voix disait des vers mélodieux comme je n'aurais jamais cru que des lèvres

du 15° siècle. Elle vient de Picardie où la richesse industrielle et commerciale et dynamisme démocratique qui l’accompagnent expliquent la floraison culturelle du théâtre de rue en Picardie. A partir du 13° siècle, avec comme ville phare Arras et Tournai. A cette époque la France était sous le règne de Charles 8 qui fut le dernier roi de la succession directe de la branche des Valois de la dynastie capétienne. 3) Présentation du sujet / du propos de l’auteur : La farce du cuvier est considérée

j'abandonne aux morsures mon buste, Timide et libertine, et fragile et robuste, Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi, Les anges impuissants se damneraient pour moi ! " Quand elle eut de mes os sucé toute la moelle, Et que languissamment je me tournai vers elle Pour lui rendre un baiser d'amour, je ne vis plus Qu'une outre aux flancs gluants, toute pleine de pus ! Je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante, Et quand je les rouvris à la clarté vivante, A mes côtés, au lieu du mannequin

Nombre d'enfants: 2 (dont un décédé) | Médecin traitant: Dr Dujardin ThibaultTéléphone: 056/33.01.33Médecins spécialistes: Dr Ercoli GuyTéléphone: 03/20.44.64.68 | Mutuelle: Fédération des Mutualités Chrétiennes de Tournai 44 Rue Saint Brice 7500 TOURNAINISS: 2260208109008 111/111 | Personnes à prévenir: Nom: DUPONT GillesAdresse: 2 Rue des peupliers 59242 TEMPLEUVETéléphone: 03/20.52.95.45GSM: 06/56.12.45.78 | COORDONNÉES

précis qui renforcent l’effet de réel de certains mots (ex : « baromètre à capucin » L14, « poêle vert » L16) - Balzac utilise aussi l’emploi de noms propres qui mettent en exergue la réalité historique et sociale des objets (ex : « porcelaine de Tournai » L11, « quinquets d’Argand » L 16) C. Elever le sordide jusqu'à son point culminant (via 3 moyens) - En effet H de B augmente les aspects repoussants du salon de la pension en utilisant un effet de crescendo dans l’impression de dégoût.

d’abandon Description des meubles et les bibelots dessus « buffets gluants » l.35 // toile cirée l.47 : provoque le dégoût « carafes échancrées » l.36 // « filets d’or effacée à demi » l.10 / vieux, délabré  pauvreté, mort « Assiettes « de « Tournai » l.38 : fonction didactique « Boîte à casse » pour serviette  description des serviettes à l’image des pensionnaires « tâchées ou vineuses » l.39 : Saleté, dégoût « Meubles indestructibles….incurables » l ?4042 : personnification des meubles comme

envoûtent par leur magie |-La privation de la femme est source de malheur pour le |-Elle a dit de Firmin : « Je le | |l’esprit de Macbeth. |vicaire. |tournais sur le grill comme un | |Le mal féminin se pense sous la forme de magie, de | |hareng » | |l’asservissement de l’homme, du désordre. |

accroché là-bas, pas dans les capes et les tweeds bruts, ces bottes qui sont venus au genou. Pirates, ces femmes, avec leurs serviettes distinguées pour le butin et leurs dents Horsy acquisitive. Je me suis senti le commandant me regardait comme je tournais les pages. Je savais que je faisais quelque chose que je n'aurais pas fait, et qu'il trouvait du plaisir à me voir le faire. J'ai dû me sentir mal, par des feux tante Lydia, j'étais mal. Mais je ne me sentais pas mal. Au lieu de cela je me sentais

faible pénombre lumineuse qui flottait autour de la bougie ne servait qu’à rendre les ténèbres plus visibles. Je crus voir qu’elle avait la tête tournée en sens inverse. La peur commençait à me travailler sérieusement ; je soufflai la lumière. Je me tournai du côté du mur, je mis mon drap par-dessus ma tête, je tirai mon bonnet jusqu’à mon menton, et je finis par m’endormir. Je fus plusieurs jours sans oser jeter les yeux sur la maudite tapisserie. Un soir, pourtant, je m’aguerris au point de