Tournure

(répétition) Paragraphe 1-2 : « Paris est aussi grand qu'Ispahan » : Comparaison .→ référence a l'Orient . Celui qui écrit la lettre amène à ce qui est connu du Destinataire → vraisemblance . Ligne 5: «Si haute que ».. : Etonnement des Perses, tournure intensif → on insiste Ligne 6 : « astrologue » : Référence a la Perse . Ligne 6 : « tu juge bien » : Renvoi au destinataire , tutoyement → implique le destinataire . Ligne 7 : «Maison les unes sur les autres » : Périphrase Ligne 7 : « Six

d'insistance (anaphores, énumérations, répétitions...) et d'exagération - Tournures interrogatives et exclamatives - Musicalité syntaxique - Vocabulaire des émotions et des sentiments | Faire partager au lecteur les sentiments fervents et l'intensité des émotions de l'auteur | Pathétique | - Figures rhétoriques visant à impliquer le lecteur, à le faire réagir (apostrophes...) - Figures de l'exagération (hyperboles...) - Tournures exclamatives - Rythmes saccadés, ellipses - Vocabulaire de la compassion

Eloge de l'hypocrisie et des vices : un paradoxe : - Tournures impersonnelles - Hyperboles, figures de rhétorique - Métaphores théâtrales : hypocrite vient du grec : hupocrités qui veut dire : acteur : "masque", "art", "grimace", "roulement d'yeux" : on est dans le jeu de la comédie humaine. - métaphore filée du vêtement : "manteau", "rhabillé", "habit" : DOm juan fait semblant d'être un homme d'église. Art de convaincre : "l'hypocrisie est un vice à la mode tous les vices

Conséquence : elle montre à sa fille sa faiblesse et sa propre force, avec la tournure insistante : « de grands efforts et de grandes violences », qui focalise sur l’énergie déployée par la mère (et incidemment la responsabilité de la fille, qui pousse la mère à une attitude héroïque). Songez ce que vous

dans un quiproquo comique (De « Ah ! mon père, que je vous suis obligée » à « Qui vous l’a dit, à vous ? ») Angélique, par ses exclamations répétées et la tournure hyperbolique au pluriel (« toutes vos bontés ! »), se réjouit d’avoir échappé au couvent et d’épouser celui qu’elle aime. L’insolente Toinette redouble cet éloge par la tournure présentative et le superlatif : « voilà l’action la plus sage que vous ayez faite de votre vie. » Le spectateur rit de l’ironie de Toinette qui suggère que

de (il y a beaucoup des gens qui l’on fait), comme à la place de comment ( je ne sais pas comme il fait pour les trouver), adverbes ou négations placé devant des participes présent ( en ne pas regardant, on fait des bêtises) et des particulières tournures de la région franco-provençale ( j’ai personne vu, ça fait pas rien). Si on veut établir l’age des fautes on verra que elles sont plus âgées qu’on croit. Le journal tenu par Jean Héroad, précepteur du jeune roi Loius XIII de 1601 à 1628 où il notait

et la reconnaissance du forçat. La seconde étape du mouvement poursuit le rappel du passé et le 1er crime de Rastignac. Toujours au passé composé « il vous a fallu de l'argent » : une tournure impersonnelle impérieuse, la grande nécessité à laquelle l'ambition doit faire face pour mener son train de vie, une tournure impersonnelle qui le déresponsabilise en rappelant la nécessité de manière extérieure (non « Vous avez besoin d'argent ! ») . La plongée dans le crime se fait de manière rapide avec la

la mémoire, pour Baudelaire et Rimbaud, de femmes qu'ils ont aimées, pour Eluard, celle d'un héros de la résistance. Les trois poèmes apparaissent bien, au premier abord, comme une célébration, un hommage : les trois poètes ont recours à des tournures syntaxiques liées à l'éloge. On retrouve chez Baudelaire le même emploi de l'interjection « o », qui marque une invocation laudative « Ô toi,

hyperboles (44) Annihilation de la volonté des peuples : sorcellerie (12-13) + « ne veulent pas » (62) + construction syntaxique 1er paragraphe qui met en valeur la responsabilité des peuples (répétition de tournure restrictive avec anaphore + subordonnées de cause si/que ; non mais que) ces tournures présentent peuples comme sjt de action, cad leur propre sujétion Premières lignes du texte présentent un paradoxe évident : comment le nombre est-il sujet d’un seul ? c. Le portrait du tyran Portrait se

discours 6Par ses récurrences, sa disposition son articulation, le discours signale un imaginaire globalisant et intégré puisqu’il a réponse à tous les cas de figures que les personnages rencontrent. 7On le retrouve à travers les parlers et les tournures imagées des personnages : 3 - Les numéros entre parenthèses renvoient aux pages de l’édition Laphomic, Alger 1985 de l’œuvre. "le cheptel de crânes rasés" (18)3 ,"...escorté d’une meute de civilisés"(187) "des lois conçues à mon exacte